Auteur : Taku
Genre : romance, shonen-ai
Base : Yugioh !
Ambre : Ma ptite Ambre !!!!!!! ^^ J’espère que je ne te manque pas de trop, car pour avoir l’ordi avec mes frères !!!! Mais tu me manques bokou bokou !!! Bzous ma ptite puce à moa !!!!!!! ^_______^
Bulma44 : La suite est ici… ^^
Cat : Vi, vi ! Je la prépare !!! ^^
Zick : Et vi ! Je pense bien que Yami va en prendre beaucoup dans sa tronche… et Yugi aussi…
Angel Friendship Girl : Ce que j’ai contre Anzu ? Dans le tome 13 de Yugioh! Elle a dit indirectement à Yugi qu’elle n’était pas amoureuse de Yami, donc elle fait espérer le petit garçon !! Mais ça se voit qu’elle est amoureuse de Yami, et c’est prouvé au tome 17 ! C’est le fait de faire espérer quelque chose impossible à quelqu’un qui m’a plus dégoûté chez elle ! Et c’est pour ça que je ne l’aime pas !
LunaDream : Hé hé ! Tu n’as VU que la sanction mais est-ce qu’Anzu est torturée par ce châtiment ?
Fushicho : Ah ah ! T’en fait pas, elle est là la suite !! ^^
SytEvol : Oh que oui ! Y’aura une très bonne engueulade, même voir plus !!!
Onarluca : Chuis trop contente que tu aimes mes chaps !! Mais dis-moi Artémis, comment tu fais pour répondre toujours la première ? Tu es épatante ! ^^
Sarya_13 : T’en fait pas trop ! ^^ Y’aura d’autre comme ça dans le reste de la fic !! ^^
Sour Schuyler : Je suis contente que tu aimes ma fic. J’espère que ma langue française n’est pas trop dure à comprendre ! ^^’
Tera : Oui, je suis une française ! ^^ Mais quand tu dis « essaye de me répondre », tu veux dire par l’intermédiaire de cette fic ou par mail ? ps : tu es anglais/anglaise ?
2e PARTIE
Chapitre 6 : La lame de la vérité…
« Yugi ? »
Yami posa, lentement, la main sur le dos de Yugi. A peine la main posée,
Yugi se leva, rapidement, et se précipita vers un recoin de la chambre,
s’éloignant ainsi du garçon ténébreux.
Yami clignota des yeux : il ne comprenait pas la situation. Son amour se
tenait devant lui, tremblant et ses yeux exprimaient de la peur, de l’incompréhension… et
de la colère.
Yami était sur le point de faire un pas vers lui, mais ce dernier
cria :
«
Ne t’approche pas de moi !!!!! »
Le ténébreux s’arrêta net. Ses yeux améthystes étaient
voilés de larmes. Yami sentit son cœur se serrer.
«
Yugi… Qu’est-ce que tu… »
«
C’est toi… »
Yugi murmura ses mots mais on l’entendit très bien. Son cœur
battait à tout rompt, et une seule question résonna dans la
tête du garçon : pourquoi ?
«
Il m’as tout dit ! Tout dit ! »
Yugi voyait les yeux de Yami s’élargirent de plus en plus au
fil des mots.
«
Je sais tout… » bégaya Yugi. Les larmes perlèrent,
abondamment, sur ses joues. « C’est toi qui… a pris Anzu… »
Soudain, l’ampoule de la lampe, qui éclairait la chambre, éclata,
plongeant les deux ados dans l’obscurité. Yugi sursauta, en
poussant un cri : que se passait-il ? Yugi commençait à avoir
des spasmes dans son ventre, dû à la peur. Il regarda Yami :
il avait la tête légèrement baissée et son regard était
caché par ses mèches blondes.
Yugi n’osa ni bouger, ni parler. Il resta donc ainsi, bien collé contre
le mur pour ne pas tomber dans les pommes.
«
Donc, cet homme a parlé… »
Yami ria doucement, et regarda le plafond, les yeux, légèrement,
vides.
«
Donc, c’était vrai ??? » s’écria Yugi, pleurant
encore plus. « Non ! Non, non !!! NON !!! »
Yugi secoua, violement, la tête, espérant ainsi se réveiller
de ce cauchemar… Mais c’était, bel et bien, la réalité… Et
la voix de Yami en faisait la preuve…
«
Chuuuuuut, amour… » dit le ténébreux, s’approchant
dangereusement de Yugi. Son regard était doux… et fou. « Je
l’ai fait pour nous, pour notre amour… »
Yugi écarquilla les yeux… Yami était si étrange… et
il était trop près de lui…
«
VA-T-EN !!! GRAND-PÈ… »
Cela se déchaîna très vite : Yami plaqua sa main sur
la bouche de Yugi, le saisit par le bras, l’emmena à son lit,
l’allongea et le bloqua en s’allongeant sur lui, toujours la
main plaquée sur la bouche.
Tout avait été fait avec une grande force mais aussi une grande
douceur amoureuse.
Tout avait été vu car les deux ados s’étaient
habitués à la pénombre.
Les yeux de Yugi étaient tellement écarquillés, par
la terreur et la surprise. Le jeune garçon essaya de bouger mais en
vain : Yami était bien plus fort. Ce dernier le regarda avec, ce que
l’on pourrait l’appeler, la folie de l’amour. Il embrassa
le front de son amour, puis murmura à son oreille :
«
Chuuuut, amour… Tu ne veux, quand même, pas que ton grand-père
t’entende ? S’il t’entendait, il monterait jusqu’ici… et
il peut avoir un accident… Tu sais. Comme louper une marche et se tordre
le cou… »
Yugi pleura : Yami pourrait-il faire cela ? Faire ça à son
grand-père ? Il avait tellement changé…
«
Mais, il n’y aura pas d’accident si tu me promets que tu ne crieras
plus, amour… Tu me le promets ? »
Yugi hocha la tête affirmativement : il préférait se
sacrifier et sauver son grand-père. Yami enleva, lentement, la main
de sa bouche, caressa, du bout des doigts, ses lèvres et lécha
ses larmes. Yugi gémit légèrement, malgré lui.
Après avoir lécher les larmes, il attaqua son oreille, le mordillant
et le léchant, décrochant ainsi quelques gémissements
de son amour. Si ce dernier était dans une situation habituelle, il
laisserait le ténébreux faire mais, il fallait absolument qu’il
sache… Il voulait savoir la réponse à sa question…
«
Où est Anzu… ? »
Yami stoppa, net, ses actions, pendant un bref moment, comme s’il voulait
réfléchir.
«
Dans la chambre de mon âme, dans une des pièces de mon labyrinthe. »
«
… elle est vivante ? »
«
… Plus pour longtemps… »
Cette réponse était un couteau dans son cœur. Les larmes
recommençaient à couler.
«
Pourquoi as-tu fait ça ? »
Yami se redressa, légèrement et lentement, et le regarda. Il était, étrangement,
calme et passible.
«
Elle t’a fait du mal, amour… Elle s’est jouée de
toi. Cette putain a brisé ton cœur, ton âme… Et,
je ne vais plus me cacher, mais je la détestais depuis le début.
Elle te prenait pour un jouet, mais ne t’en fait plus, amour, ton cauchemar
est fini… Cette chienne va, bientôt, mourir et ce ne sera plus
qu’en souvenir… »
Yugi ne pouvait croire de ça de la bouche de Yami… Pouvait-il être
aussi cru, aussi fou, aussi cruel ? Où était le Yami qu’il
connaissait et qu’il aimait ?
«
Tu… as tellement changé, Yami… » articula, difficilement,
Yugi, le cœur serré.
«
Mais, amour, c’est à cause de toi que je suis comme ça… »
Le jeune garçon écarquilla ses yeux de surprise. Yami lui fit
un doux sourire et caressa sa joue contre la sienne.
«
Amour, je vais te dévoiler un grand secret… Te souviens-tu que
tu as dormi, il y a quatre jours, pendant près de 18 heures ? »
«
O… oui… et tu… tu m’as dit que… que tu avais
pris ma place ce jour-là pour… pour te promener dans la ville
de Domino… »
«
Oui, bel amour, et c’est une part de la vérité. Je t’ai
même promis, il y a quelques semaines de cela, que j’abandonnais
ma mémoire pour rester avec toi. Hé bien, ma curiosité m’a
perdu, amour… Oui, il y a quatre jours, je suis allé au musée… »
Yugi fut de plus en plus surpris, au fil de ses mots.
«
Tu… tu as retrouvé ta mémoire… ? »
«
Oui… Pardon d’avoir brisé cette promesse sacrée à mon
cœur, mais je l’ai bien fait… J’ai retrouvé tous
mes souvenirs d’antan, ainsi que mon ancienne personnalité… Et
je me suis rendu compte, après cela, que j’avais un trésor
devant moi… »
«
Hein ? »
Yami écarquilla ses yeux comme un fou amoureux, et, ce qui se passa
surpris beaucoup Yugi : Yami versait des larmes.
«
Mon temps m’avait durci au plus bas âge à cause de la
mort de mon père… J’étais devenu Pharaon à l’âge
de 6 ans. Il fallait que je combatte pour garder mon trône, que je
tue tous ceux qui me semblaient infidèles, que ce soit prêtre
ou un simple servant, tout le monde y passait car il fallait garder la paix
dans mon royaume. Le moindre doute, je le fais exécuté. A l’âge
de 16 ans, mon tuteur voulait, absolument, me marier pour garder la descendance,
car les complots étaient très nombreux et je pouvais mourir à tous
moments. Les princesses ne m’aimaient que pour mon titre, mais pas
pour ma personnalité. Je n’ai jamais connu la chaleur humaine,
et je ne ressentais aucune pitié, aucune émotion car j’en
avait trop bavé et je ne croyais plus à l’humanité.
Mais 3 000 ans plus tard, j’ai connu le diamant de mon cœur, la
lumière de mes ténèbres, la chaleur de mon âme… Toi,
bel et précieux amour, tu m’as donné une chose que je
ne connaissais pas : l’amour. Même si, autrefois, je ne m’en étais
pas rendu compte du trésor qui me manquait dans mon être. Et
j’ai aussi découvert que quand on découvre l’amour,
on est prisonnier… Je suis prisonnier de toi… Je t’aime,
je t’aime tellement… Personne ne nous séparera… Personne… Je
ne laisserai personne se mettre entre nous… Je le tuerai si cela devait
arriver… »
Yugi était tellement flatté par ses propos mais aussi, bouleversé.
Donc, s’il avait bien compris, ce n’était plus Yami qui
se tenait devant lui, mais le Pharaon ? N… Non… Pou… Pourquoi
le Destin devait être aussi cruel ?
Yami commençait à déboutonner la veste de Yugi, puis
lécha l’un des deux mamelons roses. Yugi gémit.
«
Non… Yami… »
«
Non, amour. Mon nom est Atemu. »
Il leva la tête pour rencontrer le regard améthyste confus et
perdu de l’ado.
«
Je suis Atemu, le Pharaon Maudi. »
«
… »
«
Autrefois, on m’appelait le Pharaon Sans Nom. »
Yami retourna à ses préoccupations. Yugi n’en revenait
pas… Son Yami était-il mort ?
«
Atemu… ? »
«
Oui, amour… Atemu… »
A ces mots, Yami posa la main entre les jambes de Yugi, puis caressa le tissu
enfermant le membre. Yugi fit un hoquet de surprise, puis gémit
de plus belle. Yami fut très satisfait.
Non… Non… Il ne faut pas, pensa Yugi.
Yugi se mordit la lèvre inférieure, étouffant ainsi
ses gémissements. Yami était de plus en plus bas, et commença à déboutonner
le pantalon.
Je dois, absolument, faire quelque chose ! pensa Yugi, paniqué. Ce
n’est plus Yami, et je dois m’enfuir avec papy, si je veux le
sauver.
Yugi chercha quelque chose qui pourrait être utile et son regard se
figea sur la lampe de chevet. Une idée le traversa… Il devait
aider son grand-père…
Il tendit sa main, et attrapa la grosse lampe.
«
Yami, regarde-moi, s’il te plait… »
Se demandant ce que son amour voulait, Yami leva la tête et découvrit
un regard attristé et désolé.
«
Pardon… » souffla le jeune garçon.
Avec la force du dernier espoir, il frappa la tête de Yami avec la
lampe. Le ténébreux tomba sur le côté, et, avec
l’élan de la frappe, il fut projeté hors du lit et tomba,
lourdement, sur la moquette. Il était, apparemment, inconscient et
du sang coulait de sa tête et se répandit sur la moquette.
Yugi pouvait enfin bougé. Il fallait fuir avec son grand-père.
Fuir avant qu’il ne se réveille. Il sortit du lit, et partit
de la chambre, sans regarder Yami. Pleurant et désespéré,
il descendit les escaliers et appela son grand-père.
«
Papy !!! Papy !!! PAPY !!!!! »
Son grand-père sortit, rapidement, de sa cuisine et fut surpris de
l’état de son petit-fils, et surtout, l’état de
ses vêtements.
«
Yugi ??? Qu’as-tu ??? Que s’est-il passé ??? Et où est
passé Yami ??? »
«
Il faut partir, papy !!!!! Partir le plus loin possible !!!! »
«
Mais… »
«
Tout de suite !!!! Avant qu’il ne se réveille !!!! »
Yugi pris le bras de son grand-père et ils se dirigèrent vers
la porte.
«
Prend, au moins, tes chaussures et ton manteau qui est sur le portemanteau. » dit
le grand-père sur un ton grave. « Tu l’expliqueras sur
la route. »
«
O…Oui… » bégaya le jeune garçon. « Mais
il faut se dépêcher !!! »
Yugi se boutonna les vêtements. Tous deux mirent leurs chaussures et
prirent leur manteau, avec hâte. Puis Yugi pris la manche de son papy
et partirent à toute vitesse. Yugi devait, absolument, voir Jôno-Uchi.
A SUIVRE…
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REVIEWS, svp !!!! ^^