Ben et Thomas en Europe
ben et thomas en europe
Auteur : Atomicfrog
Base : Captain Tsubasa et plus précisement l'épisode 85 du même titre.
Genre : Olive et Tom.
Disclamer : M-Landers : Atf, tu y vas un peu fort la …non ?? / Atf : Nan ! / M-Landers : Enleve au moins le baillon… / Atf : Nan ! Sinon ils vont crier./ E-Warner : Ils peuvent plus respirer… / Atf : Oh !!! Ange de mes nuits parle encore !! *__* / E-Warner : Elle est givrée !
Spéciale cace-dédi a Mimi-yuy qui m'a laissez des rewievs c'est super gentil gros bisous ^_^, voici les réponces à la majorité de tes questions.
Chapitre 2 : Flnb …. Canal alcoolique.
- Léve tes sales pattes ou je te les fait manger !!! Hurla Thomas. [1]
Le jeune blond un peu trop proche de Ben sursauta et sauta à bas des genoux du Brun étonné. Le goal couru vers lui, l'attrapa par le col et dans un magnifique mouvement circulaire, il l'envoya s'écraser très loin de sa chambre, plus précisement dans les escaliers que Hans essayer de monter.
- Ne trapproche plus de Hens. C'est un fourbe et un psycopathe. Ennonca t il en reprenant son souffle.
- Il a l'air gentil pourtant …
- Non, c'est un fou. Si on le garde dans l'équipe, c'est juste pasqu'il court vite et qu'il a pas peur de prendre des coups.
Ben haussa les épaules puis bascula pour s'alonger sur le lit, en baillant. Thomas s'aprocha de sa télé et s'accroupit.
- Tu as pu joindre Papa ? Demanda Ben avant de se décrocher la machoire.
- Non, toute les lignes vers berlin sont coupées. Bizarre.
- Hein ? Il est arrivé quelque chose de grave alors ! S'inquieta t il en se retournant vers la télé, manquant de tomber du lit.
- Je ne sais pas, je vais regarder les infos. Répondit le goal laconique.
L'écran grésilla un instant, puis se cala sur une chaine pour enfant, une musique dégoulina alors de la télé.
" Duuuuu … Du hast … Du hast miche gefrage " [2]
Thomas zappa imédiatement, en grimaçant. Il chercha longtemps avant de trouver une chaine un temps sois peu potable, diffusant en continue des informations.
" Sans transition, des nouvelles consernant l'attenta sans precedent dans l'histoire de l'Allemagne ayant eu lieu à Berlin, il y a quelque heures à peine. En effet nous n'avions pas de nouvelle de la ville coupé du monde à cause d'une dizaine d'explosions placées à des endroits stratégiques. "
Cette fois Ben tomba belle et bien du lit avec un hoquet de douleur et de surprise. Thomas l'aida à se relever.
- Papa !!! Ho non !!! Ho non !! C'est affreux. Gémit il, fondant en larmes dans les bras de Thomas.
- Ecoute, ils n'ont pas dit s'il y avait des victimes. Calme toi.
" On dénombre de nombreuses victimes dans toute la ville le bilan n'est pas encore définitif et les pompiers n'on pas encore de chiffre précit " [3]
Ben pleura de plus belle. Thomas lui était desespéré de ne pouvoir consoler son ami.
" Toute les lignes de comuniquations sont coupées, les routes principales sont endomagées. Les spécialistes attribut cet attenta de grande envergure au nouveau groupuscule extrémiste et indépendantise allemand militant pour la libération de la Baviere. Toute suite un reportage de Hans Vunderbarr en directe de Berlin. "
- C'est affreux !!! Comment je ferais sans lui !! Pourquoi lui ???
Ben se vidait litérallement de son eaux et le pull-over de Thomas était désormais complétement humide. Il le serra plus fort refléchissant aux mots qui pourraient le consoler.
- Je suis sur que ton pére va bien, il était à l'hôtel c'est ca, ce ne sont que les points importants qui ont étés touchés… Tien regarde, un numéro vert on va aller appeler pour savoir … d'accor ?
Ben aquisa en reniflant et essuyant ses yeux rougis par les larmes. Thomas éteignit la télé, il attrapa Ben par les bras et le souleva énergiquement. La frimousse humide du brun attendrit le goal qui le serra dans ses bras avant de le pousser vers le couloir et la pièce muni d'une deuxieme porte grâce à Thomas.
- Appel toi … J'ai trop peur ! Gémit Ben en s'agrippant au pull de son ami.
- D'accord. Dit il tout haut, puis ajouta plus bas. Si je tombe sur une musique d'attente je défonce ce téléphone.
L'appareil émis un petit bruit, comme un couinement. Il décrocha le combiné et composa le numéro qu'il avait mémorisé. Ben quant à lui avait apperçu la vielle télévision et voulu l'allumait mais Thomas reteint l'innocente main au dernier moment.
- Pourquoi ? Je veux savoir ce qu'il s'est passé.
Ben regarda de ses grands yeux humides le pseudo bourreau qui l'empechait d'en savoir plus.
- Si tu apuilles la dessus, tu va te prendre le jus. Répondit Thomas, après un instant de réflexion il reprit. Tu n'as qu'a chercher quelque chose d'isolent.
Il reprit son écoute du bip exaspérent de banalité de ce fichu téléphone. Ben s'assit en tailleur en regardant l'écran désespérement noir. Soudain il se leva puis sortit de la pièce en courant. Thomas fronça les sourcils. Il n'aimait pas du tout le savoir hors de sa porté et de sa protéction, dans cette vielle baraque remplies de ses coéquipiers tous psycopthates.[4] Le téléphone sonna deux fois puis une fois féminine répondit.
- Les renseignements catastrophes, Bonjours !
- Euh … Bonjours.
- En quoi puis je vous aider monsieur ?
- Avez vous la liste des victimes de l'attentat et des batiments touché ?
- Oui, mais la liste de victimes n'est pas encore définitive.
- Monsieur Becker est il dans vos registres ?
- Un instant je vérifie, pouvez vous me l'eppeler s'il vous plait.
- B.E.C.K.E.R … Ha et aussi, l'hôtel Shileur à t'il était touché ?
- Je vous met sur attente et vous reprent dans quelque instants.
- Non attendez, ne me mettez pas sur attente ou je …
- Choubidou … bidou … Lalalalala
- …
Thomas poussa un cri de douleur et desepoir qui fait trembler la piéce. Un morceaux de peinture du plafond lui tomba dessus. Il grogna de mécontentement tous en s'épousetant.
Mais pourquoi avait il accepter de venir dans se trou à rat. Et ce traitre de Freddy qui l'avait lacher pour retourner au japon dans des imeubles moins minables.
Il commença a tourner en rond le téléphone à la main, il s'arréta soudain et le téléphone faillit lui tomber des mains. Sa machoire inferieur fut irresistiblement attrirée par le bas alors que ses yeux papillonnaient frénétiquement. Il n'arrivait pas à croire ce qu'il voyait. Ce n'était pas possible. Que c'était il passé pour qu'une tel chose arrive.[5]
Ben se tenait devant lui, des gants rose fluo enfoncés sur les mains et à la place de son pullover rouge, il portait un débardeur très léger et féminin assortit aux gants en cahoutchou. Il arborait son habituel sourire signifiant que tout aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. Et comme si tout été normal il s'installa devant la télé et l'alluma. Un éclaire bleu parcourut l'écran qui s'alluma sur de la neige. Thomas secoua la tête puis ouvri la bouge pour parler mais aucun son n'en sortit et ce fut ce moment précis que choisi la secrétaire au bout du fil pour répondre à ces questions.
- Monsieur ?
- …
- Monsieur vous êtes encore la ?
- Hein… Euh … Oui oui.
- L'hôtel shileur n'a pas été touché, quant à Monsieur Becker, il a été admis a l'hôpitale Achunmoglich pour une fracture du poignet droit.
- Merci … Avez vous le numéro de l'hôpital ?
A ce mot, Ben ce retourna vers Thomas, complétement paniqué. Il lui fit signe de ne pas s'inquiter. Le brun se mordi la levre inferieur et retourna au bidouillage de la télé dans l'espoir de trouver une image net.
- Un instant s'il vous plait, je vous met sur attente.
- Grrr !!!!!
Thomas posa le téléphone sur son épaule et toisa Ben abasourdit.
- Qu'est ce qui c'est passé ? Demanda il après avoir hésité longuement.
- Ou ? Quand ? Combien ?
Il désigna la tenu plus que bizarre de brun. Celui ci se regarda sans comprendre, puis ouvrit la bouche dans un soupire de compréhension.
- C'est Hens qui …
- Lequelle ?
- Celui que tu trouve méchant.
- Je t'avais dit de pas l'approcher, tu a vu dans quel état tu es !
- Tu aime pas ?
- Non !
- Ha …
- Alors qu'est ce qui c'est passé ?
- Ou ?
Thomas cru qu'il aller exploser devant tant de naiveté. Et ce n'était pas la musique d'attente qui dégoulinait du téléphone qui allait le calmer. Ben, assit en tailleur sur l'imonde moquette, le regadait avec de gros yeux ronds plein d'interrogations.
- Avec Hens … Soupira Thomas.
- Bha j'était allé cherché des gants en cahoutchou, pour la télé. Donc j'ai cherché la cuisine, et dans la cuisine, il y a avait Hens qui se préparait un truc dans un mixeur.
- Tu y as pas gouté au moins ?
- Non, il m'en a pas proposer.
- Heureusement…
- Pourquoi ?
- Il mange des trucs vraiment bizarres, des trucs allemands et il les mixent avec autres choses. Il m'a fait gouter une fois je suis tomber malade durant toute une semaine.
- Tu va mieux ?
- Euh, oui.
- Tant mieux ! …
- …
- …
- En ensuite ???
- Ha … Euh ensuite je lui est demandé s il y avait des gants en cahoutchou. Il m'a sourit et puis il ma dit qu'il aimait bien mon pull. Alors je lui est répondu que moi aussi je l'aimais bien. Alors ensuite il m'a dit qu'il me l'échangeait contre les gants et ce truc.
Ben tira sur le débardeur rose qui tenait plus de la nuisette que d'un vrai marcel bien masculin. Thomas grimaça, le pauvre était vraiment ridicule.
- Alors comme j'avais pas envie de discuter ni de le bléssé j'ai accepter. Et voilà !
- Hum … mouai.
- Et mon pére ?
- Il à le poignet cassé, mais il va bien. Je demande le numéro de l'hôpitale…
Il resta interloqué devant cette nouvelle. Son pére c'était fait mal et il n'était pas avec lui pour le soutenir. En tant que peintre c'était un drame de se cassé le poignet. Ces idées ce boulculaient dans sa petite tête alors qu'il essayait de trouver une image correcte.
Thomas allait ajouter quelque chose lorsqu'il remarqua qu'une voix criarde hurlait sur son épaule. Il grogna et reprit l'appareil.
- Oui ?
- Voici le numéro de l'hôpitale. Bip bip bip bip bip. Mais les lignes étant coupées vous n'arriverez pas a joindre l'établissement. Avez vous d'autre question ?
Le goal attrapa un stylo et marqua avec empréssement les numéros sur la paume de sa main.
- Non merci ! Au revoir !
Il raccrocha puis entreprit de fouiller la piéce à la recherche d'un bout de feuille.
Soudain Ben se leva d'un bond.
- Il faut que je retourne à Berlin. S'écria il soudain.
- Ben, ce n'ai pas …
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il était déjà sortit de la piéce en courant.
Mais comment pouvait il envisager de sortit dans cette tenue ? Comment pouvait il envisager d'aller à Berlin sans argent et avec tout les moyens de communications bloqués ? Dans cette tenue, il allait lui faire honte et se ridiculiser définitivement!!
A cette derniere pensé Thomas réagit et marcha rapidement vers la sortit de la piéce, il entendait les bruit de pas de Ben. Il marcha dans leurs direction.
Mais, un bruits plus fort se fit entendre. Le bruit étouffé d'une lourde chute. Thomas fronça les sourcils puis couru en crachant tout les jurons qu'il connaissait vers l'endroit d'ou était venu le bruits, vers l'endroit beaucoup trop silencieux à son gout.
Dans l'entrée, quelque mêtres avant la porte de sortit, Ben était alongé face contre terre, les bras le long du corps. Thomas remercia alors le ciel que toute l'immeuble soit tapissé d'une moquette épaisse. Il se précipita vers le corps immobile de son ami.
Après avoir vérifié qu'il respirait, il le retourna doucement sur le dos et le pris dans ses bras avec toute la délicatesse dont il pouvait faire preuve.[6]
- Toi mon gars, tu es bon pour l'hosto que tu le veuille ou non ! Chuchota Thomas avec humour essayant de masquer son inquietude.
A suivre …
Remarque bidon :
1 - Il aime pas qu'on touche a ses affaires mouarf mouarf
2 - Vive Ramstein !!!!
3 - Ou l'archétype du j'aurai mieux fait de me taire !!! ^_^
4 - Non, il n'exagere pas du tout !!
5 - Lol c'est chiant un suspence aussi bidon, mouwhahahahah
6 - c'est a dire pas beaucoup beaucoup
Fics Captain Tsubasa
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