Ben et Thomas en Europe
Auteur : Atomicfrog
Base : Captain Tsubasa et plus précisement l'épisode
85 du même titre.
Genre : Débile et complétement euh Cartoon.
Disclamer : Tom : ok … je me rend !/ Atf : Haha tu te rend j’ai
gagné !/ Ed : Tu es cruel./ Atf : Oui mais vous aussi, vous ne voulez
pas être à moi!!/ Tom : Je me rend OK OK !/ Mark : C’est
affreux ! / Atf : Il n’y a que ca que vous comprenez !/ Tom : Je me
suis rendu alors dit à Ben d’enlever cette fichu robe rouge
!!!!/ Ben : O.o /Atf : Niark niark !
Chapitre 4 : Plus que trois jour … mouai ;p
Le sourire de Ben s’effaça de son visage, semblant faner, rose
fragile lors d’un hivers trop rude. [1] Il baissa les yeux sur la casquette
noir qu’il avait entre les mains et la serra fortement, mais soudain
son propriétaire la lui arracha et la lança avec un telle force
vers le docteur qu’il perdit l’équilibre et tomba fesses
les premières sur le ventre rebondit du père noël qui
dormait à côté et donc l’électrocardiographie
afficha soudain une ligne en bipant vigoureusement.
- - Encor une blague, c’est ca ? Vous avez un sacrée humour
dans cette m***e d’hôpital pourri !! Cria t il à bout
de nerf.
Ses poing se desserrer en voyant les yeux larmoyant de Ben, il s’assit
et attendit la réponse de Franck.
- - Ach, shiess … Fou les jeune fou ne me laisser chamais finir mes
phrase !
- - Bha alors va y finis et pas de conneries ! Menaça Thomas.
- - Ch’est foulez dire que Herr Becker a de trois jours a Ein an à fivre
si on ne l’opére pas de ce kein Kanzert … Hum aber z’est
n’ai pas vraiment eine Kanzer, che n’ai plus les mots.
- - … ?
- - Komente z’est déchà … Eine Tuteur … nein,
dubeur… Neine.
- - Une tumeur ? Hasarda Ben en attrapant la casquette que lui tendant le
doc.Einstein.
- - Ja !!! Z’est exactement ca, une tumeur béguine, mais elle
appuie sur les zystemes nerfeux, entraînant diverente paralysie… Fou
avez eu de la chance juste qu’ici que les paralysie ne touche pas les
zystéme fitaux [2]
- - Mais, c’est quoi cette histoire d’opération ? Demanda
Thomas en reprenant sa casquette.
- - Bha fa valloir ouvrire et fider.
- - O.o …
- - JE VEUX PAS !!! Hurla Ben en s’agrippant au polo de Thomas.
- - Je demande l’avis d’un autre médecin. Dit le goal
en tapotant les épaules tremblotantes de son ami.
Frank haussa les épaules puis tourna les talons. Durant cinq minutes,
l’ancien numéro 11 tri touilla sa couverture avec anxiété,
sous le regard protecteur de Thomas.
Un fois la couverture ressemblant a de l’art moderne approchant la
forme d’un machin chose voir d’un bidule, un médecin affichant
un sourire a se demander si les greffe de dent coûtent si cher que
ca, avança vers aux d’un pas assuré. Sa coupe de cheveux était
sans le moindre épis à croire qu’il sortait de chez le
coiffeur, la blouse et l’uniforme de médecin, qui sur d’autre
les faisait ressembler à pas grand chose, devenait sur lui un costume
haute couture à la classe folle enfin il portait cette petite chose
longue et flasque, terminée par un cercle en métal souvent
froid comme la glace. Cet objet se tenait bien immobile sur ces épaules,
ignorant les lois de la gravité que Newton avait si durement inventer
s’assurant le haine de tout les lycéens. Chez d’autre
il glissait d’un côté ou d’un autre mais il glissait
réduisant les médecins à le mettre dans une poche. Mais
lui n’avait pas ce problème le bout de plastique et de métal
de broncher pas, il le portait comme un pirate porter son perroquet.
Il tendit une main parfaitement manucurée à Ben, qui la serra
sans quitter des yeux le sourire trop large, agitant sa perfusion comme une
corde à sauter. Thomas rattrapa de justesse le sac de sérum
qui c’était décrocher du porte manteau.
- - Bonjour les jeunes, je suis le docteur Douglas Roçe, mais appelez
moi Doug. Dit il avec un voix grave de séducteur chassant dans les
fêtes dédiées aux dieux alcool, et les fast foods de
bas étages.
Thomas écrabouilla la main tendu vers lui comme une bouteille de ketchup
vide. Le médecin grinça des dents mais son sourire ne s’effaçait
toujours pas. Il arracha sa main de celle de Thomas et attrapas dans un geste
circulaire précis le dossier que tenait Frank sous son bras. Il le
parcouru rapidement le dossier, a croire qu’il n’avait rien lu
ou qu’il était doué d’une omniscience. Il s’installa
sur le matelas au pied de Ben avec un air songeur.
- - J’ai quelque questionna te poser … Il regarda le dossier.
Ben ! Rajouta il en souriant.
Le patient hocha la tête en lui rendant son sourire. Il n’échappait
jamais à une occasion de sourire, tel une tartine de confiture qui
ne ratait jamais un occasion de tombait sur la partie fraîchement étalé avec
patience et amour.
- - Ok. Depuis quand à tu des troubles de la locomotion, de la perception
ou des insensibilités dans les membres. Demanda Doug en fixant les
yeux sombres de Ben.
Celui ci réfléchit, il fronça les sourcils, se forçant à se
rappeler, de tout ce qui s’était passé depuis qu’il était
né. Sa cervelle se tordait dans tous les sens sous la contrainte et
enfin ca mémoire sortit le drapeau blanc.
- - Cela fait environ deux ans que j’ai ce genre de problèmes.
Mais ils étaient moins fréquents avant. Avoua t il enfin.
- - Hum. Je vois. A cette époque avait vous subit une opération,
ou un choque violent ou encore avez vous êtes en contacte avec des
produits toxiques ?
- - Il y a deux ans lorsque j’était au japon, je me suis cogner
assez fort contre un poteau de but, durant un match de foot. Mais on à gagner
!
Il souleva alors fièrement sa franche exhibant un fine cicatrise rosâtre.
Thomas frissonna a la vu de l’ancienne blessure, ravivant son sentiment
de culpabilité, petite flamme qui ne s’éteignait pas
même en soufflant de dessus, elle ne faisait que grandire. Le médecin
regarda et tâtonna la cicatrise, ponctuant son examen de « hum » et « ha ».
Ben quand à lui lançait des regard souriant et lumineux à son
ami qui semblait s’assombrire de seconde en seconde.
- - Tu est un vrai champion, Dit il comme si il parlait a un gamin de 11
ans, alors que Ben en avait largement 14 ! Si il te reste un cicatrise après
deux ans cela a du être dextrement violent.
- - Oui c’est vrai, j’entend encore ce bruit de croustillement
dans ma tête. Comme quand on mange des céréales.
Doug et Thomas frissonnèrent de dégoût alors de Ben souriait
fière de son expérience à croire qu’il aimait
se prendre des poteaux dans la figure. Le goal se souvient soudain de ce
bruit, ce choque, il ne l’avait pas oublié. Se son lui revenait
parfois sans qu’il le veuille comme une balle de jokari, incontrôlable
et toujours accompagné d’une forte migraine. Il serra les dents
et enfonça un peu plus sa casquette sur sa tête douloureuse.
Le médecin, les yeux rond comme ceux d’un lapin surprit par
les phares d’une voiture, regarder les deux jeune hommes. Il secoua
la tête puis ouvrit son dossier en dodelinant du chef, il y inscrivit
quelque chose avec un stylo qu’il sortit miraculeusement de sa poche
sans plis.
- - Ca doit être a cause de se choque, il a du provoqué une
petite lésion qui à dégénérée en
tumeur. Dit il. Assois toi, s’il te plait.
Ben obtempéra. Doug passa ses mains sur son dos en fronçant
les sourcils et pinçant les lèvres. Il trifouilla les homoplats
du brun puis s’arrêta au niveau de la colonne vertébrale.
Il enfonça son index à la gauche de l’homoplate à quels
millimètres des vertèbres.
- - Hé ! S’écria Ben en sursautant.
- - Ici. Elle est ici. Elle appuie sur ta colonne vertébrale. Après
deux ans tu as de la chance de pouvoir encore marcher.
- - Alors c’est pour ca que tu as arrêté le foot ? Mais
pourquoi tu n’en as pas parler ?! Pourquoi tu n’est pas aller
voir un toubib plus tôt ?!
- - Bha, je pensais pas que c’était si grave. Bredouilla Ben
en baissant les yeux.
- - Mais …
- - Désolé t’interrompre cette scène de ménage,
mais il faut agire vite. Intervient le médecin. Il faut contacter
tes parents pour qu’ils nous accordent l’autorisation de t’opérer.
Il me faudrait le numéro de téléphone de ton domicile.
- - Bha … Je n’habite pas ici et mon père n’est
pas joignable. Chouina Ben dont le souvenir de son père blessé lui
revient en plein figure.
- - Hein ?
Thomas plaça un doigt sur sa bouche et agita follement son autre main
signe qu’il ne fallait pas aborder le sujet. Doug fronça les
sourcils, il regarda Ben aux yeux mouillés façon cocker puis
passa à Thomas qui continuait à agiter ses mains comme un taré.
Après plusieurs mouvements de tête et l’apparition d’un
début de torticolis, il ne comprenait toujours pas. Thomas lui fit
signe de s’approchait. Doug se pencha vers le goal qui s’apprêtait
a lui postillonner dans l’oreille, mais Ben les regardait et il avança
sa frimousse innocente vers eux. Le goal et le médecin se lèveraient
et laissèrent le brun à ses questions existentielles, dans
le genre « Qu’est ce qui disent ? Ou suis je ? C’est quoi
ce liquide bizarre dans le sac ? Pourquoi la machine fait bip ? bop ? bip
? »
- - Que ce passe t il?
- - Il ne faut pas lui parler de son père. Chuchota Thomas en jetant
des coup d’œil à droite et a gauche.
- - Tu peux parler normalement … Pourquoi il ne faut pas parler de
son père ?
- - C’est une longue histoire …
Le médecin soupira regrettant soudain sa question. Heureusement qu’il
avait était formé à supporté les blablas de ces
patients anxieux. Aujourd’hui il avait ç faire à son
premier discourt de vie, il avait soigné avant un sourd muet. Il appuya
son menton sur sa paume et accrocha sa main gauche à son flanc droite.
Il avait prit la position caractéristique de l’écouteur
blasé tentant de ne pas s’endormire. Il ne capta que quelque
mots par ci par la. Foot. Bus. Argent. Père à berlin. Téléphone.
Attentat … Ce dernier mot le frappa. Il leva le nez est émis
de « hein ? » habituels des écouteurs passifs.
- - Le père de Ben était à Berlin au moment des attentas
et nous avons pas pu le joindre.
- - Je suis désolé. Vous n’avez pas eu de renseignements
?
- - Si nous savons uniquement qu’il est blessé légèrement
et à l’hôpital. Mais il est injoignable.
- - Il me faut son autorisation… tu as le numéro de l’hôpital
?
Thomas hocha la tête puis tendit sa main au médecin. D’un
geste de désespoir un se tapa le front de sa paume.
- - C’est malin ! Soupira t il en attrapant un bout de papier. Je vais
voir ce que je peu faire.
Le médecin s’en alla vers les escaliers en dodelinant de la
tête, alors que Thomas retourné au prés de Ben qui s’était
endormis, le bouton de morphine dans les mains et un sourire béat
sur le visage.
A suivre …
1 Désolé pour cette métaphore archi pourri.
2 Je suis en S spéc bio, j’ai honte de dire autant de conneries
!!!