Bishônen Basket
Une Corbeille de Bô Mecs
bishonen basket
Auteur: Kitsune
Adresse : a.kitsune@wanadoo.fr
Base: Fruits Basket
Genre: Yaoi, death
Rating : PG-13
Disclaimer : Fruits Basket appartient à Natsuki Takaya.
Note: chapitre dédié à trois de mes coupines-que-j'adore : Kitty, Akuma et Zaz ^w^ Mici de votre soutien, les filles!! Ca m'aide beaucoup!
Chapitre 16
Kagura eut certainement toutes les peines du monde à rassembler la famille Soma, surtout quelques-uns subjugués par le spectacle des trois travestis, tels que les jeunes Hiro, qui en restait baba, et Kisa, à peu près dans le même état que le garçon.
Elle leur ordonna de rejoindre au plus vite la voiture de la famille avec Ritsu qu'elle avait trouvé du premier coup d'œil et détaché d'un homme un peu étrange en imperméable [1]. Ceci fait, elle se mit à la recherche d'Akito. Le connaissant un minimum, elle doutait fortement qu'il soit encore sagement en train d'écouter le concert et de s'extasier devant le travestisme des chanteurs, comme le faisaient tant d'autres personnes. Il était plutôt da genre à s'éloigner.
Elle se faufila comme elle le put à travers la foule serrée, à la recherche des personnes - nombreuses - qui lui manquaient. Elle s'arrêta soudain et leva les yeux sur le jeune homme dressé devant elle. La main posée à la base du cou, il respirait un peu trop vite que ce qu'il aurait dû.
-Ah, Yuki!
Kagura était rassurée; elle en avait un de moins à chercher.
-Il y a une urgence, expliqua-t-elle brièvement, et on doit tous rentrer…Ca ne va pas?
La respiration du Soma s'était soudain faite sifflante, presque inaudible à cause de la musique qui avait repris sur des voix plus graves.
Il hocha à demi la tête. Il irait peut-être mieux plus tard, ailleurs. Jusqu'à présent, il avait été bousculé, emporté par des mouvements du publics, pris dans des vagues de foule qui l'entraînaient sans cesse, prisonnier de certains endroits peuplés de fumeurs.
Depuis le temps qu'il cherchait un moyen de quitter ce trop plein de monde, il bénissait l'arrivée de Kagura. Celle-ci, comprenant difficilement ce qu'il avait, passa une main réconfortante dans son dos.
-Allez, on va y aller.
Elle le poussa doucement en avant. Elle fronça les sourcils. Il était trop docile par rapport à d'habitude. Il avait l'air de s'être passé quelque chose. Mais quoi donc ?
Kagura soupira de soulagement lorsqu'ils eurent dépassé la dernière personne. Elle regarda autour d'eux et son visage s'illumina. Deux autres Soma étaient près d'eux.
-Shiguré ! s'exclama-t-elle.
Le Chien leva les yeux de la personne assise à ses côtés et qui demeurait immobile, la tête légèrement inclinée vers l'avant et posée sur l'épaule de l'homme. Kagura s'approcha d'eux, suivie lentement de Yuki.
-Shiguré ? Mais c'est... Akito ?
Le brun hocha la tête sans trop bouger son corps afin de ne pas réveiller son chef de famille.
Yuki ne fit même pas attention à ce qu'ils disaient. Il s'adossa à un réverbère, et pencha la tête vers l'arrière, puis se pencha peu en avant, cherchant à calmer sa respiration emballée. Shiguré posa ses yeux sur le jeune homme, intrigué.
-Yuki ? Tu... Oh non... !
Il se détacha rapidement et à contrecoeur du corps d'Akito, et s'avança vers le lycéen.
-Tu nous refais de l'asthme ? demanda-t-il en fronçant les sourcils.
* *
*
Franziska sourit de toutes ses dents. Elle savait que c'était lui. Elle l'avait reconnu, malgré son changement de tenue. Un mouvement sur le côté attira son attention, parmi les autres silhouettes, nombreuses. Elle se souvint du visage du jeune homme. Le nom suivit presque aussitôt. Elle s'approcha et posa la main sur son épaule.
-Kyo ?
Il se tourna vers elle, étrécissant se yeux carmins en la reconnaissant.
-Qu'est-ce que tu veux ? demanda-t-il d'un ton brusque.
Sa voix grave et nuancée s'entendait aisément malgré la proximité de la scène.
-Je vois que tu es guéri, dit-elle simplement.
Cependant, le regard baladeur qu'elle promenait sur son corps ne plut pas au Chat.
-Qu'est-ce que tu veux ? répéta-t-il.
-Mais rien du tout, voyons !
Et puis, elle fronça les sourcils ; elle avait l'impression d'avoir déjà connu ce garçon, bien avant, maintenant qu'elle le voyait debout, de toute sa hauteur, en forme, et non pas enfoui sous des couvertures. Cette taille fine et élancée, ces longues jambes minces et légèrement musclées par un entraînement, ce regard profond et perçant, aux grands yeux rouge sang, tout lui semblait familier.
Et il fit un geste. Petite crispation du poignet gauche. Un geste presque invisible, léger, anodin, mais habituel en cas d'agacement. Elle sut immédiatement qui il était.
Ce qu'il était.
Elle se souvenait où elle l'avait vu.
Il ne releva pas quand un sourire un peu étrange barra le visage de la jeune fille.
-Quand je pense que j'avais oublié, rit-elle doucement. Kyo Soma... Mais bien sûr...
Il haussa un sourcil.
-Qu'est-ce que tu racontes ?
Elle leva les yeux vers lui.
-Eh bien, Kyo, ta clientèle est-elle toujours aussi fidèle ? demanda-t-elle sans répondre à la question, avec un petit rire sarcastique.
Elle eut à peine le temps de voir le Chat bouger que la main de celui-ci se jetait à sa gorge, serrant fortement. Elle poussa un petit cri étranglé. Il dut la lâcher comme de nombreuses personnes se tournaient vers eux et les regardaient. Surtout lui. Il laissa son cou, mais avant qu'elle ait pu faire un quelconque mouvement, il lui avait empoigné le bras et l'entraînait hors de la foule.
Une fois à l'écart, il la lâche brusquement et la regarda furieusement.
-Qu'est-ce que tu veux, à la fin ?
-Toi.
Il blêmit, puis lui envoya un regard noir.
-Désolé, je ne fais plus dans ce bord-là, grogna-t-il.
Elle soupira.
-Quel dommage...
Elle ouvrit son sac à main, et en sortit une enveloppe d'un blanc nuancé par l'obscurité de la nuit et la lumière apportée par les quelques lampadaires de la rue et les projecteurs du concert. Elle la décacheta, en sortit une dizaine de photographies qu'elle regarda.
-... Car j'avais ici quelque chose qui aurait certainement pu t'intéresser...
-Montre ça ! ordonna-t-il.
Elle les retourna et les agita sous le nez du jeune homme. Certaines d'entre elles qu'il put apercevoir étaient très compromettantes pour lui. Avant qu'il ait pu esquisser le moindre geste, elle les avait rangées, en sécurité dans son petit sac serré contre elle.
-Il est toujours temps pour redevenir normal, dit-elle tranquillement.
Il n'aima pas le sourire et l'expression qu'elle affichait. Vainqueurs.
Franziska tourna les talons.
-Je suis revenue uniquement pour prendre la succession de mon père, Soma, ajouta-t-elle sur un ton arrogant.
Puis elle partit, la plantant dans la rue.
Il était furieux. De s'être fait prendre au piège. Et par une garce, de surcroît ! Mais grâce à - à cause de - Tohru, elle savait où il vivait. Elle avait donc un point d'avance.
Finalement, il se frappa le front du plat de la main.
-Mais quel abruti je suis, soupira-t-il. Je me suis fait avoir comme un bleu !
* *
*
-Oh, Yuki ! Reprends-toi, enfin !
Le jeune homme haletait, assis sur le sol. Shiguré s'inquiétait de plus en plus.
-Ton... Ton inhalateur ! Est-ce que tu l'as sur toi ?
Il secoua la tête. Il ne le prenait plus depuis longtemps.
-Oh nooon, gémit le Chien.
Il se prit la tête entre les mains, cherchant un quelconque moyen de les sortir de là.
-Euh, bon...Alors, euh... Kagura, où est Hatori ?
-Il est avec Ayame, dit-elle précipitamment. Il... Il...
Elle s'interrompit, réalisant avec horreur. Avec tout cela, elle en avait presque oublié le pourquoi de sa recherche des membres de la famille.
-Ayame ?! S'exclama soudain Shiguré. Qu'est-ce que tu veux dire ?!
-Ayame a été agressé ! Lâcha-t-elle.
Shiguré se figea.
-Agressé ? Mais... Comment ?
-On était tous les deux, et... Ils sont arrivés... Il m'a dit de partir chercher quelqu'un de la famille...Et quand Hatori et moi sommes arrivés, il était... Il était...
Elle ne put finir sa phrase, plaquant ses mains sur son visage aux yeux rougis.
Shiguré se tourna immédiatement vers la Souris qui tentait toujours de se reprendre.
-Yuki... Est-ce que ça ira ?
Un long sifflement rauque lui répondit. Ca ne pourrait pas aller. Ou du moins, pas longtemps.
-Kagura, reste ici avec Akito. S'il se réveille, dit-lui que je suis parti, et amène-le à la voiture.
Il s'éloigna rapidement, traînant Yuki comme il le pouvait, faisant attention à l'état de santé du jeune homme.
Kagura les regarda s'éloigner. Le temps allait paraître bien long, en compagnie d'Akito. Elle s'assit aux côtés de l'homme, et soupira. Elle tourna les yeux vers lui. Il avait bien moins l'air effrayant quand il dormait que quand il s'énervait contre l'un d'eux.
Il n'avait jamais rien dit sur l'amour qu'elle portait à Kyo, contrairement à ce qui c'était passé pour Hiro et Kisa. Peut-être parce qu'il savait que ça ne marcherait jamais, que ce serait voué à échouer entre les deux jeunes gens. Pas comme pour les deux enfants. Ils avaient toutes leur chances ensembles.
Pas eux. Kyo n'était pas pour elle, elle devrait s'y faire. Mais elle avait du mal à accepter cette idée.
Elle reporta son attention sur Akito quand celui-ci fit un petit mouvement. Il crispa sa main sur les plis de son propre vêtement, grimaçant affreusement.
-Akito ? appela-t-elle doucement.
Le jeune homme ne répondit pas, basculant sa tête en arrière. Son cou se dégagea alors du col de son vêtement. Elle écarquilla les yeux. Des traces encore violacées marquaient la peau blanche. Qu'est-ce que cela pouvait bien vouloir dire ?
Un grognement sourd sortit de la gorge du jeune homme qui plissa les paupières. Il avait l'air pris dans une souffrance immense. Elle poussa un petit cri quand, dans un soubresaut, il porta la main à son cou.
-Akito !
Il eut un hoquet alors qu'elle posait sa main sur la sienne. Avant même de prendre le temps d'ouvrir les yeux, il la repoussa brutalement, s'acculant plus contre le poteau auquel il était adossé.
-Kinsho... murmura-t-il.
Il entrouvrit les yeux à ce moment-là. Un mélange de détresse et de peur s'y lisait, jusqu'à ce qu'ils se rembrunissent. Son expression se fit alors plus dure quand il la reconnut. Il regarda à ses côtés en découvrant la place vide.
-Qu'est-ce que tu fais là ? Où est Shiguré ?
Il lui faisait peur. Rien que son regard la faisait trembler de frayeur.
-Je… Il… Il a dû partir! Balbutia-t-elle.
-Où ?
Pourquoi parlait-il sans cesse de cette façon? Pourquoi était-il aussi mauvais?
-D… Dans une autre rue…
-Pourquoi ?
Son ton était dur. La voix toujours traînante. Le regard pétrifiant. Effrayant.
Elle se rendit compte de ce qu'il était, rien que par ces simples faits.
-Il y a eu un problème grave ! lâcha-t-elle.
Il était Akito.
Et elle n'était qu'une Soma.
Il se leva.
-A… Akito! Qu'allez-vous faire?
-Rentrer.
Un coup d'œil appuyé signifia "Ramène-moi". Elle obéit à l'ordre muet, sans un mot supplémentaire. Mais malgré sa peur de l'homme, une énigme demeurait. Pourquoi avait-il eu l'air en danger dans ses rêves? Comme s'il vivait quelque chose d'éprouvant, de réel… Et ce nom…
Familier…
"Kinsho…"
Elle était sûre de l'avoir déjà entendu quelque part… Mais où donc ?
* *
*
-Hatori!
Le Dragon se retourna vers les deux silhouettes qui accouraient. Un mouvement d'humeur lui fit froncer les sourcils de mécontentement.
-Qu'est-ce que tu fais là? Grogna-t-il.
Shiguré serra son poing autour du bras de Yuki qu'il tenait pour ne pas le perdre en route.
-Kagura nous a raconté pour Aya !
-Pas la peine, j'ai appelé l'ambulance de la famille. Elle ne va pas tarder.
-Déjà ? Où est Aya ?
Hatori regarda le sol, derrière lui. Assis adossé au mur, le jeune homme fixait droit devant lui, sans bouger.
-Aya !
Shiguré se précipita, et s'agenouilla devant lui.
-Aya… Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Demanda-t-il doucement.
Il observa une brusque crispation de l'ensemble du corps du Serpent. Il posa sa main sur sa joue meurtrie et violacée.
-Qui t'a fait ça…?
Le Soma se mordit les lèvres. Il ne voulait pas en parler. Shiguré comprenait. Devant Hatori, il aurait toutes les peines du monde à raconter sa mésaventure.
-Aya… Où est-ce qu'ils t'ont… Fait du mal… ?
Le Serpent donna une réponse muette. Levant sa main encore tremblante, il la posa sur ses yeux. Shiguré tressaillit, prit d'une brusque furie. Ses yeux étaient ce qu'il préférait. Et ce geste signifiait que ces gens avaient pris quelque chose de précieux. Cette partie. Bouillonnant, Shiguré se tourna vers Hatori.
Celui-ci restait de marbre.
-Comment peux-tu être aussi impassible devant ça? S'exclama-t-il.
Hatori haussa les épaules.
-Parce que je me demande simplement comment il a pu se faire avoir, répondit-il.
Trop.
C'était trop.
Shiguré se redressa d'un mouvement, et se jeta sur Hatori. Le Dragon n'eut pas le temps d'esquiver le coup de poing qui atteignit sa mâchoire. Ni le second. Shiguré était perdu dans sa rage, il le savait. Il s'arrêterait bien un moment ou un autre. Mais pendant ce temps, le Chien le rouait de coups, tous plus puissants les uns que les autres.
Il ne le savait pas aussi impulsif.
Tout à coup, Shiguré stoppa dans ses mouvements. Une main gracile et douce, légèrement tremblante, s'était posée sur son poignet, l'arrêtant avec douceur.
Il se tourna vers la personne derrière lui. Il s'était levé, avec le peu d'énergie qu'il lui restait.
-Aya… S'il te plait…
Le Serpent posa son autre main sur l'épaule du Chien, et sa tête contre le dos de celui-ci.
-Non… Arrête… Ca suffit…
-Mais…
Il n'alla pas plus loin dans sa phrase. Le corps du jeune homme se fit plus lourd contre lui, et sa main le lâcha en tombant vers le bas. Il rattrapa de justesse Ayame qui chutait.
Il lança un regard noir à Hatori.
-Un jour, tu verras… murmura-t-il.
Il baissa les yeux sur le visage contracté d'Ayame. Pourquoi s'était-il épris de ce maudit Dragon? Il savait que cela durait depuis longtemps déjà. Mais il ne connaissait pas le moment exact.
Il se sentait coupable, dans un certain sens. Coupable de n'avoir pu être là pour le défendre. D'avoir eu la chance, lui, d'être avec Akito à ce moment-là. Tandis qu'Hatori méprisait totalement Ayame.
Rien n'était juste dans la vie. Il y avait toujours des injustices ; mais il aurait préféré que ce soit dans l'autre sens pour celle-ci. Qu'Ayame puisse avoir ce qu'il aimait. Qu'il soit heureux, pour une fois. Tandis que lui, Shiguré, il pouvait encaisser les coups durs. Pas le Serpent. Il était plus fragile.
Il referma ses bras autour du corps fin de son ami, le serrant avec douceur contre lui.
-Pourquoi…? Murmura-t-il d'une voix presque inaudible.
Yuki avait tout observé. Il ne comprenait pas tout. Ayame avait été agressé. Hatori ne faisait rien. Shiguré était dans tous ses états contre le médecin.
Il s'avança vers celui-ci. Il essuyait comme il le pouvait un filet de sang qui coulait de sa lèvre fendue. Yuki lui tendit un mouchoir. L'homme accepta.
La Souris se rendit compte qu'il respirait de nouveau correctement. Il ignorait quand cela s'était calmé. Mais il allait mieux.
-Shiguré, tu restes avec Ayame, dit soudain le Dragon.
Le brun leva la tête avec surprise et méfiance envers lui.
-Pardon ?
-J'emmène Yuki à la voiture. Je les ramène. Tu pourras monter avec Ayame dans l'ambulance.
Il poussa le lycéen vers l'avant, laissant Shiguré seul avec le Serpent.
A suivre
Kitsune: je voudrais remercier toutes les personnes qui m'encouragent pour la continuation de Bishonen Basket ! Ca me fait chaud au cœur, et, je dois bien le dire, un peu bizarre que ceux qui lisent ça apprécient ^^o
Merci à vous tou(te)s!!
Kiss
BONUS
Les tribulations de Kit' à Furuba-land -épisode 9-
…
……
………
Kit: bah ? Le narrateur dit rien ?
Les furubayiens **très loin de la folle** : on lui dit ?
Kit: Youhouuuuuuu !! Narrateuuuuuuuur !!! T'es oùùùùùùù ?? **cherche partout**
Yuki: nan, vaut mieux pas lui dire…
Kit **arrive en courant** : dites, les mecs, z'avez pas vu le narrateur ? J'le trouve pas !!
Yuki: euh… ^^o nan, nan… Pas vu du tout…
Kit: =_= ben zut… Vais devoir mettre le spécial, si on le retrouve pas… J'attendais une autre occasion, mais bon…
Les furubayiens **ont peur tout à coup** : … O.O LE SPECIAL??
Kit: vivi, un que j'ai entraîné spécialement pour ce genre de trucs ^w^
Kyo: ce genre de trucs?
Kit: j'te fais pas un dessin…
Kyo: … u_u je comprends pas de quels genre de trucs elle parle…
Shiguré: Kit; c'est pas celui qui…?
Kit: Siiiiiiiiiiii!!! ^______________^
Shiguré: les mecs, on est dans la m…
Ayame **plein de pansements après le chapitre 16**: encore plus que là ? Impossible…
Shiguré: ce narrateur, c'est le pervers qui raconte les lemon des fics…
Tous: O.O YERK!!!
A suivre dans l'épisode 10…
[1] Kit': dis donc, Ritsu, tu fréquentes des pervers, toi, maintenant?
Ritsu: des quoi?
Kit': m'en doutais…Remballe-toi, Ritsu...
Fics Fruits Basket
Fanfics