Celle qui s'envole comme le vent
celle qui s'envole comme le vent
Ecrit le : 07/08/2004
Auteur : Lilou
Adresse : lilou_abus_de_lirreel@hotmail.com
Base :Gundam Wing
Genre : Yaoi, pas sérieux
Disclaimer : aucun des persos de gundam ne sont a moi (T-T) ; la fille oui. (A MOI COMPRIS ???)
Note pour les lecteurs (qui sont ma foi bien courageux) : heu soyez indulgent c'est ma 1ere fic alors euh pliz …dites moi que c'est pas trop maaaaaal ToT
Chapitre 7
Il ne restait plus qu'une piqûre à faire. Celle de Kazahaya. Il arrivat devant la porte de sa chambre et y toquat
-Entre, lui dit-elle en réponse.
Le chinois ouvrit la porte et entra dans sa chambre. Elle était assise sur le bord de son lit et paraissait assez pâle. Mais la pièce était faiblement éclairée, ça devait être pour ça. Il posât la boîte à pharmacie sur la table du bureau et lui montrât la chaise pour qu'elle s'y pose. Il s'assit en face d'elle et ouvrit la boîte. Une étrange sensation le tirailler au fond de son ventre. Il ne comprenait pas ce qu'il avait mais apparemment, il était mal à l'aise ici, prés d'elle. Et pourtant, il ne voulait pas vraiment partir… Il se ressaisit et pris la seringue. Il plantât la pointe dans un petit récipient et en aspirât le contenu. Puis il se tournant vers Kazah. Vu de près, elle était très jolie. Ses longs cheveux châtain. Ses yeux argenté brillant d'une lueur inconnue. Son fin visage à la peau clair. La peau claire ? Non, elle était pâle. Pourquoi ? Et cette lueur dans ses yeux, elle ressemblait a de la peur. Peur de quoi ? Il suivit son regard et pus voir qu'elle fixait la seringue. Il finit par se ressaisir.
-Tend ton bras s'il te plait.
Elle ne réagit pas.
-Kazahaya, il faut que tu tendes ton bras pour le vaccin. Elle baissa la tête et resserrât ses bras contre elle.
Trop près. Elle était trop prés de cette aiguille.
Wufei ne comprit pas sur le coup la réaction de la jeune française.
-Enfin, donne mon ton bras ? Ca ne te fera pas mal.
Il tendit sa main libre vers elle, doucement, pour lui prendre le bras. Mais elle se leva brusquement faisant tomber sa chaise en arrière. Elle partit à l'autre bout de la chambre, les mains agitées de tremblements incontrôlables. Le chinois le vit bien et resta assis/
-Tu as peur des piqûres c'est ça ?
Elle ne répondit rien, lui tournant le dos. Il posât la seringue sur la table et s'approcha doucement d'elle posant puis posa sa main sur son épaule. A ce contact elle se retournât vivement. Il lui montrât ses mains vides et elle en fut soulagée.
-Je ne tombe jamais malade tu sais. Je suis sur que je ne crains rien.
-Allé, fait un effort.
Il lui avait pris la main et bizarrement, ce contact chaud la rassura. Elle le suivit donc vers la chaise et s'y assit. Il prit la seringue et elle se releva.
-Mais il faudra bien que tu l'es ce vaccin !
Il s'était lever et s'approché d'elle, la seringue en main. Plus il approchait et plus elle reculait et se cognat contre le lit ne pouvant plus reculer. Elle le poussa de toute ses forces, le faisant lâcher prise sur l'aiguille. Mais elle le poussait toujours, les yeux fermer et des larmes sur les joues.
-Calme toi ! Lui dit-il en la prenant par les épaules. CALME TOI !
Un faux pas de Wufei le fit trébucher et ils tombèrent tous les 2 sur le lit. Elle ne le repoussait plus mais le regardait. Les joues du jeune chinois prirent une teinte colorée quand Kazahaya glissa ses doigts dessus. Mais bizarrement se contact lui plaisait. Leur visage se rapprochait doucement. Wufei sentait la respiration de la jeune fille et ne pus plus résister. Il s'approchât encore et posa ses lèvres sur les siennes. Il passât sa main gauche sur sa nuque et l'autre, la posa délicatement sur sa taille. Il entrouvrit ses lèvres obligeant celles de Kazahaya a suivre le mouvement. Puis une langue curieuse vint à la rencontre de celle de la jeune fille. Ils prolongèrent un moment se baiser passionné puis Wufei le rompit. Il attirât Kazahaya contre lui et elle enroula ses bras autours de lui. Il restèrent comme cela un moment puis la main de Wufei se balada dans le dos de la française. Celle-ci l'embrassat, aventurant ses mains sur son torse. L'envie du jeune garçon l'emportât sur la raison et leur étreinte innocente se transforma vite en désire réciproque. [1]
A suivre
* * * * * *
[1] pitite dédicace à Inwe et Chaussette (anonymat oblige) pour la nuit du 27 juillet 2004 (où bien sur je n'étais pas … faut pas pousser !)
Fics Gundam Wing
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