Dielle
dielle
Disclamer : Les persos de Gw sont pas à moi mais Dielle si alors pas touche !
Auteur : Demoness Lange
Genre : OCC pi ché pa T_T
note : Si vous pouviez me dire pourquoi vous haïssez tous Relena et ce que vous pensez des personnages de ma fic et du comportement de Heero ce serait sympa.
note bis : Pardon pour mes fautes !
Chapitre 9 : Après le trucidage que se passe t-il ?
Heero leva le pouce, Quatre et Duo ne l'ennuiraient plus. Il leva l'index, Trowa était hors d'état de nuire. Il leva le majeur, il devait s'occuper de Wufei. Il leva l'annulaire, il davit fêter cela avec ses soeurs et femmes adorées. Il le va l'auriculaire, seul ombre au tableau, il devait entérrer Quatre te Duo, noyer trowa ainsi que mentir à Catherine. A la reflexion, il valait mieux laisser là leur corps à pourrir au soleil. Après tout Quatre étant croyant, ne pas le mettre en terre serait de son vivant un e chose affreuse. N'était-il pas merveilleux de torturer même après la mort ? Et pout Trowa,il verrait bien demain. De toute façon, il ne pouvait pas s'enfuir. Par conséquent, la chose importante en ce moment était de faire ce qu'il fallait pour une fête digne de ce nom. Un moment pareil le valait bien ! De plus les filles dormiraient encore 1 heure, de ce fait il pouvait en toute quiétude chercher à la réserve ce qu'il fallait pour ce genre d'occasion.
Heero : Heureusement que j'y ait entreposer le necessaire. Cela ne me prendra que quelques minutes, ajouter au temps impartit à la décoration, c'est juste ce qu'il me faut !
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Il alla à la réserve.
1 heure plus tard, les filles sortaient de leur chambre et furent accueillies à l'escalier par des cotillons.
Heero : Surprise !
Siria : Une fête ! Pourquoi donc ! ?
Dielle : Oh....euh... c'et très gentil à toi onîsan !
Siria : Non mais t'es malade o.....
Elle fut stopper par le coup de coude de Dielle qui la ramena à l'ordre.
Heero fronça des soucils.
Siria : Euh...je voulais dire que tu étais malade de faire tout cela pour nous ! C'est trop !
Heero se dérida lorsque Siria vint dans ses bras.
Siria : Merci ! Tes décos sont sublimes !
Dielle : Il ya de quoi manger ?
Heero : Tout ce que vous aimez.
Siria : Vrai ! ?
Heero s'approcha de Siria, son visage frolant le sien, leur chevelure entemélés, sa main gauche sur ses hanches et son pouce droit caressant ces lèvres.
Heero : Haï Océane !
Ses lèvres avaient remuées en effleurant celles de Siria.
Dielle : Bon, on va manger ?
Ils descendirent a salon. Siria et Dielle goutèrent les apéritifs en poussant des exclamtions de joie. Ils burent du champagne, lorsqu'un évènement qui aurait pu rendre n'importe qu'elle fille folle se produisit. Il me faut d'abord situé les personnages. Dielle te Siria étaient assise sur un canapé de part et d'autre de Heero. Lorsque Dielle en buvant son verre laissa sans le vouloir glisser une goutte de champagne sur sa bouche. heero ayant remaquer la chose, regarda Dielle intensément, approcha son visage du sien et fit glisser avec une douceur d'expert sa langue sur les lèvres de Dielle pour en récupérer le champagne, avant de l'embrasser avec un plaisir non dissimuler.
Siria : Heero je t'en prie !
Heero : Gomen ma douce. Tu ne m'enveux pas au moins ?
Siria : Fait ce que tu veux mais, épargne moi ce spectacle.
A cette phrase Heero sourit.
Heero : Si vous mangez autant, vous n'aurez pas de place pour le gâteau.
Dielle : Un gâteau !?
Heero : Oui le vôtre. Viens avec moi le chercher Océane !
Siria : Pourquoi moi ?
Heero : T'es toujours fachée ?
Siria : Je ne suis pas fachée... J'ai pas envie de bouger.
Heero : Donc tu es fachée ?
Siria : Non !
Consciente que la conversation pourrait durer éternellement Siria accepta. Siria en tête, ils partient à la cuisine. Heero prit au frigo le gâteau, qu'il donna à Siria, qui devant la table y mit quelques bougies. Siria sursauta, Heero lui avait murmurer de douces paroles à l'oreille. Il lui ensérra la taille de ces bras et lui murmura à quel point il était heureux de les revoirs toutes deux, avec au passage des baisers dans le cou.
Siria lui fit desserer son étreinte. Il n'allait tout de même pas rester ici à vie !
Siria : Allons-y !
Heero : Hn si tu veux.
Ils rejoingnirent Dielle qui les attendaient en picorant quelques cacahuètes.Heero intima l'ordre de s'asseoir à Siria. Celle-ci obtempéra. Heero les servit une part de gâteau. Elles commençèrent à s'en restaurer, lorsque Heero ayant la prestence cérémonieuse, les informèrent qu'il devait faire ne déclaration de la plus haute importance.
Dielle : Qu'il y at-il ?
Heero : Nous devons sérieusement réfléchir à notre avenir.
Siria : .....
Heero : Ce qui est inscrit dans nos gènes doit se réaliser.
Siria : Tu n'y penses pas !
Heero : Si. C'est un fait, nous avons étés crées pour introduire une nouvelle race d'humain plus résistants.
Siria : Nous sommes libres maintenant ! Nous n'avouns plus à faire ceci !
Dielle : Tu te voile la face. Nos n'avous été crées que pour des expériences sur les capacitées humaines et leurs développement.
Heero : Suffit ! Je fait tout ce que je peux pour vous et voilà comment vous me remerciez !
Dielle : Pardonne-moi Onîsan. Je sais que ce n'est pas facile pour toi, que cela n'est pas ta faute.
Des larmes prirent naissance dansles yeux de Dielle. A ce spectacle Siria consola sa soeur et esseya de lui redonner courage te joie. Dans un sursaut de culpabilité Heero les prti toutes deux dans ces bras et murmura, " aujourd'hui et à jamais, jusqu'à ce que la mort nous sépare".
Heero regarda la table et chercha ce qui l'interessait. Il le trouva. C'était un couteau ! Les deux filles lui tendirent la main. heero saisit le couteau et s'entailla l'auriculaire. IL en fit de même pour Siria et Dielle. Leur vermillon liquidde, source de vie, se mélèrent sur le sol. Ils rapprochèrent leur auriculaire à ce les toucher.
Dielle : Aujourd'hui et à jamais, nous serons à toi. Jusqu'a ce que la mort nous sépare.
Et voilà, ils avaient une fois de plus renouvelés leur voeux de fidèlité amour, à mort. Mais cette fois-ci le piège ne se refermerait pas sur elles. Leur choix était fait depuis bien longtemps, peu importe le prix à payer. Siria se leva et versa du champagne dans les flûtes et leur servit.
Siria : Tenez ! Buvons un peu !
Et ce devait arriver, arriva ! A force de boire flûte sur flûte, Heero soula. Un vrai sac à vin ! La tête lui tournait. Mais il se sentait si bien ! Plus aucun problème !
Dielle : C'est bien soeurette ! Le produit à fait son effet ! Je suis fière de toi !
Voilà ce qu'entendit Heero avant ce sombrer dans le sommeil.
Dielle : Siria va prendre nos affaires s'il te plaît !
Siria : Ok !
Dielle monta à l'étage avec Siria et alla dans la chambre d'Heero. Elle trouva une malle métalique et entreprit de l'ouvrir. Bien que la tâche fut ardue elle arriva tout de même à ces fins ! L'état de Trowa était déplorable et il fallait s'en aller et vite pour son bien et sa vie. Dielle transporta Trowa dans la limite de ces forces j'usqu'a la camionette qui l'avait ammenée ici et qu'Heero avait juste mit au garage. Siria l'attendait au volan, les valises de tout le monde dans le coffre. Dielle rentra côté passager.
Dielle : Fais vite je t'en prit, ils ne surviveront pas sinon !
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auteuse : le prochain chapitre sera certainement fait de flash back
Fics Gundam Wing
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