Donne-moi tes ailes.

Auteur : Lily
Genre : Yaoi, Torture sadique, viol, lemon.
Source : Dir en Grey
Disclaimer : Malheureusement, Dir en grey ne m’appartient pas… Mais c’est pas que je ne veux pas hein!! Vous pouvez toujours me les offrir dans des boites séparées pour ma fête!!! =^_^= Ce serait super! Mon imagination cependant m’appartient, et si c’est mon imagination, ce n’est pas l’inspiration de quelqu’un d’autre. ^_- Pour ceux qui craignent que cette fic soit seulement avec Totchi, détrompez vous. Les autres arrivent plus loin.
Note : Je ne suis pas Française mais Québécoise donc il se peut qu’il se retrouve quelques expressions qui échappent à votre compréhension, si vous désirez comprendre, et bien écrivez moi en y intégrant les phrases dont vous ne comprenez pas le sens et je vous répondrai avec plaisir. ? *(Mortem_Daughterofdeath@hotmail.com)

 

Chapitre 2

 

Trois jours durant c’était le même manège… Torture au réveil, coups avant et après un interrogatoire et viol au coucher. J’ai vite appris à ne plus me plaindre des mauvais traitements et bientôt tout était devenu routine. Ce n’est que le quatrième jours au matin que j’ai vu de la nourriture, c’était tout de même étonnant comme je m’était habitué à la faim et que j’ai réalisé seulement lorsque j’ai vu les crêpes que mon ventre c’est mis à gronder. Après m’avoir fait promettre de ne rien tenter on me détacha une main et on me laissa déguster les crêpes avec comme seul ustensile une fourchette en plastique. Les crêpes chaudes reposaient sur une assiette en carton et un gobelet en plastique mou était remplis de jus d’orange. J’ai mangé le tout avec bon appétit en jurant intérieurement contre mes ravisseurs qui m’observait manger de peur que je pique les couvert de mon assiette. Il faut vraiment être parano pour croire que quelqu’un essayerais de s’enfuir avec une ribambelle d’objets inutiles comme le contenu de mon plateau…

« Bientôt fini? »
« …Oui…Merci pour le repas. J’avait très faim. »

Un des deux hommes se tourna vers l’autre.

« Tu vois il est très gentil… On devrait le traiter un peu mieux… »
« …C’est quand même un ami du Sphinx alors pas de gaffe, je t’ai à l’œil… Traîne le aux toilettes et ramène le ici. On se parlera plus tard de ces traitements. Il ne faut pas que tu faiblisse à lui idiot tu sait ce que c’est quand tu commence à avoir pitié.»
« T’à raison… Mais je commence à croire qu’on à pas pris le bon.»

Il s’avança vers moi et détacha mes jambes du lit, puis mes mains qu’il saisit pour me soulever du lit. Je me suis mis à marcher dans la direction vers laquelle on me poussait et je me suis retrouvé dans un long corridor blanc. D’un côté une clôture de l’autre le mur. Au dessus de la clôture on voyait le premier étage. Un lustre de cristal pendait au dessus des escaliers et par la vitre une vaste étendue végétale s’étalait. J’ai noté rapidement tout ces détails dans l’espoir qu’ils me servent un jour… La salle de bain était très petite. Une baignoire, une douche, une toilette et un lavabo, le tout si rapproché que moi et l’homme qui m’accompagnait rentrait dans cette pièce que si la porte restait ouverte. On me laissa seul pour faire ma toilette pendant 10 minutes. Le temps nécessaire pour un très bref nettoyage de mes plaies avec du savon et de l’eau froide. J’ai fait ce que j’ai pu pour ne pas me plaindre, mais c’était assez souffrant d’avoir à sentir le savon pénétrer mes blessures infectées. Je terminait de me rincer qu’un des deux hommes revint me chercher. Il m’enroula dans une serviette et me donna des bandages et une petite bouteille de désinfectant. Il me traîna dans ma chambre ou je remarquait que les draps avaient été changé pour des neufs. Mes vêtements étaient posés sur le pied du lit.

« C’est bien parce que tu fait bien ton travail. Tu te lave ces plaies et après tu nous remerciera du mieux que tu peux. Si c’est pas assez on reprendra tes vêtements et on te rattache… Compris?»
« …Tu veux que je te remercie…comment…? »

Je serait les dents et retenait la plainte de douleur qui voulait sortir… Une fois chaque plaies bandée, je rendait la bouteille et le reste de la bouteille aux autres. Puis les deux se mirent à rire d’un ton qui disait que je devrait leur faire plaisir avec mon corps….Une fois ce détail compris, ils s’avancèrent et matira vers le lit pour m’attacher une des deux mains et me bander les yeux. Ce que je devait faire me retournait l’estomac. J’avait mal au cœur de savoir ce que je devait faire à des hommes qui ne m’attirait pas, et encore pire, qui avait presque le triple de mon âge…Une main saisit la mienne et l’attira sur une masse de chaire que je reconnu tout de suite… Deux mains saisirent mes hanches et m’attirèrent vers une chaise très peu confortable…De gros doigts parcouraient mon corps et je tentait de rester insensible. Avec ma seule main je tentait tant bien que mal à exciter celui qui était devant moi ses mains soudain prirent ma tête et il fit entrer dans ma bouche un outil particulièrement dur. Un peu paniqué j’ai tenté de m’éloigner mais ses mains me poussaient encore plus profondément, celui qui était derrière moi fit entrer en moi un de ses doigts, c’était douloureux et je n’ai pas pu empêché un cri. Les deux ahuris rentraient de plus en plus creux en moi, celui dans ma bouche était allé si loin dans ma gorge que j’avait peine à respirer. J’avalait comme il m’ordonnait de faire les semences qui se déversaient en moi et je devait en même temps répondre aux exigences de celui qui me tenait les hanches… Il était trop gros pour moi… Au moins il avait pris la peine de lubrifier mon entrée…Mais c’était tout de même souffrant…Mes plaintes de douleur se mêlait à ceux qui prenaient possession de mon corps… Quand ils déversèrent en moi leur jouissance et se retirèrent pour me laisser seul, attaché au lit par la main…Une fois seul je me suis mis à pleurer autant que je le pouvait, me rapprochant du bord pour être malade à nouveau… J’avait mal, peur et froid… Heureusement je pouvait enfin me mettre quelque chose sur le dos… Peu adroitement j’ai mis mes vêtements en sanglotant. Seul mon chandail restait à mettre puisque je ne pouvait pas l’enfiler à cause de ma main attachée. Je me suis recroquevillé et je me suis enroulé dans les couvertures pour me cacher… Je ne voulait plus être là… Je voulais m’évader…

« Les anges, venez me chercher… Prenez-moi dans vos bras, chantez encore pour moi! S’il vous plait… Ne me laissez pas ici… Faites moi sortir… Faites moi sortir! Faites moi sortir!!! J’en peux plus!»

J’ai passé toute la journée à pleurer et contrairement à leurs habitude on me laissa tout seul toute la journée. C’était insurmontable j’étouffait je voulait sortir ça me rendait fou… Après une nouvelle crise de panique, je me suis endormi au bout des larmes….

||_||
O=(^_^)=O
|>O<|


Le lendemain matin, j’entendit des pas qui descendait les marches, une voix lointaine s’élevait. En me concentrant assez j’ai compris ce qu’ils disaient et une lueur d’espoir s’éleva en moi…

«Vaux mieux lui donner à manger tout de suite. On ne peux pas l’emmener et on vas partir trop longtemps… »
« Non, il avait raison, il est en Égypte, alors on le laisse comme il est… »
« Et l’autre? »

« Il y en à d’autres?! Ils partent et nous laissent tout seul ici…! On vas pouvoir s’en aller…! »

« L’autre, on le laisse aussi. Le Sphinx n’aura pas de chance de le revoir de toute façon il sera mort bientôt. J’ai fouillé ses poches et j’y ai trouvé assez de drogue pour qu’il se tue. Je lui ai laissé. Si il en prend raisonnablement il vas quand même finir par mourir de manque. »
« Hahaha! Il le mérite bien le petit con. Il avait juste à pas nous mordre. »
« Ouais. Ils ne sont plus utiles pour nous maintenant. Apporte donc la fille. C’est la seule qu’on à besoin. Les autres peuvent autant mourir que survivre ici, ils ne seront pas de grandes nuisances… Si ils réussissent à sortir il sera trop tard si ils atteignent la ville la plus proche. Sphinx et Poupée seront mort et enterrés! »

Ces paroles bien que peu rassurantes ravivait en moi la force de survivre…On devait survivre…Moi et tout les autres… Je me suis demandé où ils devaient être pour que je ne les entende pas d’où j’était…Peut être qu’ils étaient enfermé quelque part bien ligotés serré pour ne pas qu’ils ne se plaignent… Je devait trouver un moyen de me libérer de la menotte et de trouver les autres…Puis partir en vitesse…! Dès qu’ils seront partit je me mettrai au travail…

« Kyougo… C’est toi qu’ils on pris?»

« ITAIII! Faites donc attenti -AHH! Itaiiii…. »

« …! Kumiko! »

« SILENCE! CATIN! »

De multiples coups se firent entendre avec des cris, puis le silence revint après une montée de rires sadiques… J’avait si mal au cœur…Kumiko mérite pas un tel traitement… Mais je ne pouvait rien faire…

« Comme ça elle vas se la fermer. Hahaha! »
« Elle est beaucoup moins douée que mon préféré. C’est dommage de le laisser ici… »
« Arrête un peu tu sait ce que ça vas donner. L’autre fois c’est un désastre qui est arrivé. Si on se fait reconnaître une deuxième fois c’est foutu… Alors ta gueule et vient t’en. »
« Oui je m’en vient…Je vais juste aller dire au revoir à ma petite princesse… »
« Grouille toi… »

Mon cœur se serrait….Mes yeux s’humidifiait et je restait caché sous les couvertures. La porte s’ouvrait et se refermait…Puis les draps s’envolèrent subitement, les mains de l’homme masqué parcouraient mon torse, son masque se souleva sur une bouche couverte de rouge à lèvre noir et un petit tatou en forme de cible était marqué sur sa mâchoire, sa bouche vint saisir la mienne fermement et sa main descendit. Je restait immobile comme à mon habitude pour lui demander suppliant.

« S’il te plait…Détache moi… Je jure que je ne te causerai pas de problèmes…Mais détache moi je t’en supplie… »
« …Je ne peux pas, c’est contre le code ma princesse…Tu est vraiment mignon mais même pour toi je ne peux pas aller contre le code. C’est dommage que tu doive rester ici…Je t’aurai amené avec moi. »

Je voyait bien qu’il était attiré par moi. Ces supplices se faisaient toujours de plus en plus doux… J’ai vite trouvé la façon qui pourrait me faire gagner la liberté de ma main.

« Je vais t’embrasser maintenant si tu me détache, s’il te plait… »
« Vraiment? Tu ferait ça? »
« Oui mon amour…S’il te plait mon cœur…Détache moi…Appelle moi ta princesse encore et je jure que je vais attendre ici ton retour mon amour… »
« Ma princesse…Je t’aime… »

Bingo! L’idiot était tombé dans le panneau, ma main était libre à nouveau…Ses mains me baladaient dans les cheveux et pour payer ma liberté je me suis avancé pour l’embrasser tendrement… Au fond de moi même j’avait des haut le cœur, mais je faisait de mon mieux pour les refouler… Pour rendre plus crédible mon jeux je laissait balader mes mains sur les côtés de la peste qui demandait mes lèvres et fort heureusement avant que je n’arrive à un point qui l’aurait trop excité son compagnon cria :

« Ça suffit! Grouille toi on vas manquer notre hélicoptère!!! »
« J’ARRIVE! … Je t’aime ma princesse! »

Et il me recoucha avant de sortir en grande course, fermant la porte derrière lui. Enfin seul! Enfin la torture finie! C’était la victoire! Je n’avait pas l’intention de l’attendre là seul, non j’y traînerais même la police. Hah! C’était l’heure de l’évasion…


||_||
O=(^_^)=O
|>O<|

 

A suivre...

 

Heh! heh! heh! Bien roulé les imbéciles heureux qui se frottent à mon petit Totchi d’amour!
Ils sont dégoûtant! GRRRR!!! Une chance qu’ils n’ont pas de nom parce que je les tuerais moi même!!!
(je ne peux pas croire ce que je vient d’écrire… ) Vous croyez que c’est bien??? *yeux plein d’eau*