Auteur : Lily
Genre : Yaoi, Torture sadique, viol.
Source : Dir en Grey
Disclaimer : Malheureusement, Dir en grey ne m’appartient pas… Mais
c’est pas que je ne veux pas hein!! Vous pouvez toujours me les offrir
dans des boites séparées pour ma fête!!! =^_^= Ce serait
super! Mon imagination cependant m’appartient, et si c’est mon
imagination, ce n’est pas l’inspiration de quelqu’un d’autre.
^_- Donc ce sont des idées qui proviennent de mon esprit et pas celui
de quelqu’un d’autre donc il y à juste moi qui peux les
avoir comme je les ai…. On ne copie pas hein? Compris? :p Mike, Yuri,
Naozumi, Kumiko et Kyougo sont des personnages entièrement fictifs sorti
de ma tête. Les noms proviennent d’un dictionnaire de noms japonais
pour bébés. Pour ceux qui craignent que cette fic soit seulement
avec Totchi, détrompez vous. Les autres arrivent plus loin.
Note : Je ne suis pas Française mais Québécoise donc il
se peut qu’il se retrouve quelques expressions qui échappent à votre
compréhension, si vous désirez comprendre, et bien écrivez
moi en y intégrant les phrases dont vous ne comprenez pas le sens et
je vous répondrai avec plaisir. ? *(mon adresse est écrite plus
bas)
Chapitre 1
Trois heures du matin, dans une boite de nuit particulièrement remplie,
la musique jouant aussi fort qu’un corps de guerre et les verres se déversaient
déjà depuis des heures à l’intérieur de nos
organismes enivrés. J’étais venu avec un très bon
ami d’enfance pour qu’il me présente à ses nouveaux
amis. Ils avaient tous l’air très gentil, un peu dépravés
mais gentils. Ils avaient tous déjà entendu parler de mes talents
de bassiste pour Goshik et D+L mon groupe actuel. Ils ont tous dit être
agréablement surpris de voir que je n’était pas une tête
enflée même si je faisait parti d’un groupe quand même
assez connu.
Il y avait Mike, un garçon bien musclé aux formes un peu rondes mais charmantes, il est venu au japon il y à de ça 3 ans. Lorsqu’il parlait, il gardait toujours ce petit accent qui criait qu’il n’était pas d’origine japonaise. Quelques fois il s’accrochait dans ses mots et devait terminer ses phrases en anglais. Mais c’était tout de même assez rare. Il portait un long manteau noir boutonné jusqu’au menton et de grosses bottes d’armée, un pantalon cargo noir et des verres fumés. Ces cheveux étaient camouflés sous un bandeau noir orné de vagues dorées.
Il y avait aussi Yuri, une fille fétichisé sur les bas filets et les habits de vinyle noir. Japonaise originaire de Nagano, elle connaissait et fréquentait toutes les boites de nuit de la ville et connaissait par cœur le chemin d’aller et de retour le plus sur. Elle portait un anneau sur la lèvre inférieure et une chaîne lui partait de l’oreille droite pour se rendre à sa narine. Son visage naturel était pris sur une expression de dégoût, mais contrairement à son apparence elle était très chaleureuse. Elle discutait avec moi en buvant avant de partir flirter quelques hommes assis au bar. Ses conquêtes n’allaient pas si mal, il n’était pas rare de la voir partir danser avec un et revenir avec deux garçon complètement différent pour un verre.
Et il y avait Naozumi, surnommé «Nao» une personne très mystérieuse qui gardait tout de sa vie privé cloîtré dans un coffre fort intérieur. Il était très calme et paraissait assez intimidant. Je ne lui ai d’ailleurs pas forcé la main pour en savoir plus sur lui à cause de ce détail. Il portait un très long manteau noir réversible avec un autre côté vert lime. Il portait un chandail ligné noir et vert avec un pantalon de camouflage vert. Ses cheveux était devenu blanc grâce à de la teinture et certaines mèches étaient vertes.
Puis il y avait Kumiko, une fille assez dégourdie qui avait vécu la moitié de sa vie dans la rue et avait apris à se battre et se défendre ainsi. C’était elle qui avait sauvé «Kyou» au jardin d’enfant en plantant un crayon cire dans le fond de la gorge d’un enfant qui voulait lui prendre son ourson en pluche. Elle n’avait pas changé sauf pour son apparence un peu plus joyeux. Elle portait du jaune et du orange de la tête aux pieds et portait sous de longues mèches de cheveux orange un chapeau de poil synthétique. Elle connaissait très bien l’endroit et deux des trois barman. Il lui arrivait souvent de passer derrière le comptoir pour aller visiter un ami. Quelque fois elle disparaissait dans la cuisine et revenait encore plus excitée que lorsqu’elle était partie.
Kyougo lui avait toujours les cheveux noir et portait des habits moulants en cuir avec plusieurs ceintures décorées d’objets métallique dont faite en balles de fusil vidées. C’était une habitude chez lui, rien d’étonnant. J’était habitué de le voir habillé de la sorte quand il n’était plus en uniforme d’écolier. C’est lui mon ami d’enfance. On c’est connu vers 6 ans et jamais depuis nous ne nous sommes disputés. Mon père désapprouvait notre amitié mais je ne tenait pas à perdre de si bon liens seulement pour les bonnes grâces de celui ci.
J’était moi même vêtu d’un habit assez provoquant qui accentuait mon air d’efféminé. C’était une paire de short assez courte sous une jupe décorée sur le rebord avec un chandail moulant. Ma coupe de cheveux féminine accentuait mes traits pour me donner un air moins masculin. Des bas à rayure bleu et noir couvrait mes jambes sous les shorts et de long gants couvraient mes bras. Un chocker s’occupait de mon coup. Kyougo restait toujours avec moi pour veiller à ma sécurité. Entre les sortie à la piste de danse et les verres d’alcool, il passait aux toilettes quelques minutes histoire d’évacuer un peu de pression de son bas ventre. Quand il partait c’était Yuri qui restait avec moi avec Nao.
Après quelques verres il annonçait un nouveau voyage et j’ai décidé de l’accompagner. Le voyage était un peu périlleux. J’avait peut être un peu trop bu et il était quasiment impossible de marcher droit. La surpopulation de l’endroit n’aidait pas. Mais nous nous redîmes tout de même au but. Quand la porte fut fermée derrière moi Kyou me souris.
« Tu t’amuse Toshiya? »
«
Hai! »
Un pas un peu trop enthousiaste me fit basculer vers l’avant, par chance Kyou eu le temps de me rattraper avec un rire amusé.
« T’es saoul? Déjà? »
«
Non! Je suis pas saoul. »
«
T’es sur? Tu marche comme quelqu’un qui l’est. »
«
Non je suis pas saoul! Je suis pas faible. Je peut en reprendre. »
«
Ouais…C’est ça! Si tu le dit, allez vient gros bébé. »
«
Je suis pas un bébé! »
Il m’a aidé à aller plus près de l’urinoir pour y faire un beau boulot. Lorsque nos vessies eurent terminé leurs supplice il m’attira vers le lavabo pour m’asseoir sur le rebord.
« J’ai quelque chose pour toi si t’à envie d’essayer.
C’est sans danger et tu vas adorer. »
«
C’est quoi? »
«
Un cadeau des autres. Ils t’aiment bien déjà, ils veulent
t’intégrer au groupe. On en prend tous. »
«
Oui mais c’est quoi…? »
Avec un sourire il mis dans ma main deux comprimés blanc.
« C’est des ailes d’anges… Vient planer avec nous… C’est pas dangereux. »
Je ne savait pas quoi faire… J’avait l’impression que c’était pas une bonne idée, mais je ne pouvait pas refuser. C’était contre la promesse que nous nous étions faite. « On est amis pour toujours, ce qui est à moi est aussi à toi et à jamais nous resterons unis. » Si je refusait d’entrer dans son cercle d’amis… Ce serait comme refuser son amitié. Et c’était la seule chose de vrai dans ma vie. Ce ne devait pas être si dangereux… Ils en prenaient aussi… Alors j’en envoyé les comprimés au fond de ma gorge pour les avaler. Il me fit un sourire réconfortant et posa sa main sur ma joue.
« Je savait que tu ferait le bon choix. Détend toi, reste calme,
tu vas aimer la balade… Tu veux un autre verre? Je te le paye. »
«
Non merci. »
«
Oh alors tu es prêt à dire que t’es saoul alors? »
«
Je suis pas saoul! »
«
Alors t’en prendrait bien un autre…? »
Un rire m’échappait, il insistait vraiment, et bien ce serait impoli de refuser…
« Bon d’accord mais juste un! Et je te revaudrai ça. »
«
Ok, promis. »
Le voyage du retour se fit dans les bras d’un Kyougo amusé, on m’apporta un verre qui était franchement plus fort que tout les autres que j’avait bu. Après deux gorgées ma tête tournait déjà…Après trois je ne voyait plus très clair…À la moitié du verre il fit noir soudainement, je me sentait flotter, je me baladait dans les airs, une seule lumière éclairait les ténèbres. Puis plus rien.
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O=(^_^)=O
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J’ai fait un rêve, des anges nu venaient me caresser le corps tout doucement. Leurs chants composé de plusieurs voix aiguës, douces et mélodieuses s’harmonisaient entre elles, quelques voix masculines composaient un cœur et le tout résonnait partout autour de moi. Ma peau recevait plusieurs baisers et caresses partout sur mon corps. Ce n’était pas déplaisant, mais je n’était pas capable de bouger un seul muscle, j’était couché sur le côté sur une masse aussi douce que les nuages pendant qu’ils me flattaient et poussait leurs actions érotique au delà de toutes espérances… Puis une douleur inconfortable m’assaillit, puis je me senti transporté vers le septième ciel causant des plaintes euphoriques d’extase. Les multiples gardiens des cieux vinrent un à un m’embrasser, me prendre, m’enlacer pendant des heures et des heures puis me laissèrent seul…
Après quelques bonnes heures de sommeil je me suis décidé d’ouvrir les yeux. Un mal de tête terrible, des étourdissements et un mal de cœur, sûrement causé par me consommation de la veille vint me rappeler que je n’était pas là où j’aurait dû être… J’était couché dans un lit moelleux aux couvertures blanches. De long rideaux blanc entouraient le lit et voilait la pièce contre mon regard. J’ai cru distinguer par les formes un mur noir plu loin et d’après la fente de lumière, un rideau couvrait la lumière du jour.
J’avait si mal au cœur que je pensait être malade. Alors j’ai cru bon de me lever malgré les étourdissement et la faiblesse que je ressentait pour aller faire une escale aux toilettes… Mais alors que je ramenait mes mains pour me soulever un tintement métallique se fit entendre et quelque chose se serra sur mes poignets. Ma tête fut très vite soulevée pour confirmer les sons ; j’était menotté au lit aux poignets, même chose aux pieds… Surpris et confus de mon état j’ai appelé au renfort en criant :
« Hey! Venez me détacher! »
Mais personne dans la maison n’à bougé. Silence…Total et complet… Pendant un très long moment…
« C’est pas drôle! Détachez-moi! »
Puis vint la panique, je me suis mis à tirer, tourner et bouger mes pieds et mes mains pour me défaire de l’emprise des menottes froides, les mouvements et l’émotion me donnèrent un haut le cœur et à trois reprise j’eu à me retenir avant de malheureusement finir par déverser une marre de liquide pestilentiel et visqueux sur l’oreiller. J’eu le malheur de remarque que sous la mince fibre de coton qu’était la couverture qui me couvrait maintenant à peine, j’était flambant nu, et la maison –en plus d’être vide- n’était pas chauffée. Je me suis placé le plus près du bord possible pour faire évacuer mes maux de cœur en rageant intérieurement…
« Kyougo c’est pas drôle, moi aussi je peux être méchant! Je peux te faire pire encore… Tu es mieux d’avoir des bonnes raisons pour avoir fait ça. »
J’attendit en tout environs 6 heures quand quelqu’un finit par ouvrir la porte du premier. Des pas lourds montaient un escalier pour se rendre à la porte de la pièce dans laquelle j’était et elle ouvra subitement. Deux hommes plus grand que chaque un des amis que m’eu présenté Kyou entrèrent et fermèrent derrière eux la porte. Ils portaient un masque de théâtre chinois sur leurs visages sous une cagoule qui couvrait leurs cheveux. Ils portaient du blanc de la tête aux pieds et une grosse chaudière remplie d’eau et un paquet d’allumettes et un couteau. Tout de suite j’ai su que j’était en danger, j’ai tenté de m’asseoir dans le lit mais avant que je réussisse le plus dégoûtant des deux m’attrapa à la gorge. Pour me garder couché et l’autre envoya sur moi tout le contenu du sceau d’eau glacée.
L’action n’avait pas que du mauvais, j’était moins engourdi déjà et ma tête tournait moins… Mais la couverture blanche était maintenant transparente et j’avait plus que froid… La main sur ma gorge serra un peu, envoyant une vague de peur et une larme rouler sur ma joue avant qu’il ne desserre son emprise. Sa voix s’éleva, mais il était impossible d’identifier sa voix puisqu’il l’avait changé avec un modificateur de son… Sa voix sonnait comme un cri de Nazgul. Toutes les précautions qu’ils prenaient pour cacher leurs identités m’apeurais. Ce n’était pas Kyougo ou ses amis…
« Où est le Sphinx? Nous savons que tu le connais, où est-il? »
«
… »
Je ne savait pourquoi ni comment ceci m’était arrivé mais j’était maintenant esclave de deux inconnus violent qui voulaient que je leurs dise où se trouvait « le Sphinx » et je n’avait aucune idée de quoi ils parlaient… Je doutait qu’ils parlaient des vestiges égyptiennes… Et je ne connaissait personne surnommé ainsi…
« RÉPOND! »
«
…L-Le seul Sphinx que je connais est en Égypte et c’est un
tas de pierre… Pourquoi vous me demandez ça? Je connais personne
qui s’appelle comme ça alors laissez moi partir et détachez
moi…»
«
Fait pas le malin avec nous on t’à vu avec lui hier dans le bar.
Et on est au courant que tu lui à parlé. Tu nous dit où il
est et on t’épargne bien des souffrances…Compris? Tu vas
nous être utile princesse, oh oui. Si tu ne connais pas le Sphinx, tu
nous sera tout de même utile parce que lui il te connais et c’est
tout ce qu’on à de besoin. Il vas envoyer quelqu’un se jeter
dans nos pièges et lui vas tout nous révéler… Pendant
qu’on attend, tu vas pouvoir sentir un échantillon de ce qu’on
veux au Sphinx…»
«
Non, laissez moi partir! »
J’avait froid, peur, mal à la tête et au cœur, je tremblait de partout et j’était désespéré. Celui qui avait parlé pris le sceau vide et sorti de la pièce me laissant seul avec l’autre… Il s’approchait de moi avec un bandeau noir pour m’aveugler et me bâillonner puis il commença une torture ultra souffrante et dégoûtante…Il allumait une a une les allumettes de son paquet pour la laisser tomber sur mon torse et attendait qu’elle s’éteigne toute seule… Son couteau venait de temps à autre me caresser, et lorsque la lame pénétrait ma chair, une langue venait lécher le liquide avant qu’il ne tache les draps. Puis il continua la torture pendant des heures et ce n’est qu’après ma perte de conscience qu’il consentit enfin à me lâcher. J’était dans de beaux draps et j’en était conscient… Je ne valait rien pour eux sauf pour une catin à qui on peu faire milles tortures et jeux démoniaques…Je ne vaux rien puisque j’ignore tout… J’avait peur… Je voulait plus que tout m’endormir et me réveiller chez moi au côtés d’Ève. S’il vous plait les anges…Aidez moi…
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A suivre...
Voilà!!! C’est tu pas beau ça comme premier chapitre?
Hihihi! Je suis cruelle!
Pardonne moi mon petit amour! Tu me dira merci plus loin. ;) Tu vas voir comme
ce sera bien petit ange!
Si vous voulez me tuer ou m’encourager pour que je finisse par écrire
comment il vas s’en sortir, vous pouvez toujours m’écrire
À
Mortem_Daughterofdeath@hotmail.com. Merci d’avance pour vos reviews!
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