Espérance d'une nuit
Auteur : Gabriel
G. l'Ange~Noir
Base : Malice Mizer
Sujet : Lemon
Rating : R virant au Nc-17
Disclamer : Malice Mizer ne m’appartient pas malheureusement et je ne
ferai jamais d’argent sur leur dos sauf si je deviens manager…..
Commentaire : Coucou je suis toute nouvelle et c’est ma première
fiction sur le net. Donc je souhaite juste à tous et à toutes
une bonne lecture.
Chapitre 1
C’est long. C’est vraiment long. Je suis tout seul dans mon salon
et c’est long. Il n’y a rien à la radio et il n’y
a rien de mieux à la télé. Je fume ma cinquième
cigarette depuis une bonne demi-heure. Une au six minutes, c’est nul.
C’est long, mais vraiment long. Même mes plantes doivent s’emmerder.
En plus, elles sont tellement laides ça quasiment pas d’allure.
Au moins, elles ne sont pas toutes seules. Je n’ai pas de copain, je
n’ai pas de colocs et mes amis sont sûrement partis veiller dans
un bar. J’aurai dû y aller avec eux, mais je n’ai pas le
goût de sortir.
Ils voulaient fêter à soir, car on a mis notre premier single en vente aujourd’hui. Je suis content, mais je ne me sentais pas du tout à l’aise ce soir. Depuis que nous avons notre nouveau chanteur, je me sens étrange. Il s’appelle Camui Gackuto, mais il nous demande de l’appeler Gackt. C’est mieux, je dois l’avouer. Il est mieux que Tetsu, le cinglé à la voix de casserole. Il avait un bon style, il était intelligent malgré l’air stupide qu’il se donnait. Il me manque des fois, mais c’est rare. Maintenant, il y a Gackt, le beau garçon à la voix d’or.
Il m’excite tant ce bâtard, ça fait chier. Moi, Közi le guitariste, fantasme sur le chanteur de son groupe. Le groupe n’est pas tout à fait le mien. Il est aussi à Mana, l’autre guitariste, nous avons créé Malice Mizer dans le but d’être original et de représenter la misère humaine. J’avoue que pour l’instant, nous avons réussi, notre son est plus gothique comparé à X-Japan, nous faisons des mises en scènes et nos costumes sont excentriques. Quoi de mieux?
Je m’allume une cigarette et le corps de Gackt me revient à l’esprit. Il mesure environ cinq pieds onze, il a les cheveux bruns qui vont au milieu du dos et il a de beaux yeux noisette, mais ils sont tellement plus beaux lorsqu’il met ses verres de contacts qui les rendent bleus. Je sens mon pantalon se serrer grâce à mon anatomie qui réagit facilement lorsque je pense à lui.
Je détache mon bouton et ma fermeture éclair de mon jean et je l’envoie valser sur mon plancher en bois. Je commence à me caresser les mamelons du bout des doigts.
- Hum….
Je me dis que c’est Gackt qui me caresse et non moi. Ensuite, j’accentue mes caresses vers mon ventre et mes flancs. J’aime la sensation, certains ne comprennent pas ça, je crois qu’ils ne connaissent pas assez leur corps. Bien sûr, les sensations ne sont pas les mêmes lorsqu’une personne qu’on aime ou qu’on désire, nous le fait. C’est évident. C’est aussi une question d’opinion aussi. Je me sens durcir encore plus. Je le veux tellement. Oh Gackt………j’espère que c’est réciproque. Ma main droite s’aventure vers mon pénis en érection et je commence à le caresser pour qu’il soit encore plus dur. Ça marche plutôt bien. Je commence à faire des vas et viens lentement pour prendre le plus de plaisir possible sans trop me presser. C’est bon. Je voudrais absolument que ça soit lui avec ses belles mains douces. Je m’imagine être sous lui, me tordant de plaisir alors qu’il me masturbe avec expérience. Je suis sûr qu’il en a beaucoup et surtout qu’il nous a déjà parlé de quelques unes des ses anciennes relations. Je vais à un rythme plus rapide et je laisse un gémissement flotter entre mes lèvres. Ah oui….
Dring. Non.
Dring. Crime.
Dring. Ah………fait chier.
Je réponds avec joie, vive le sarcasme, au téléphone. Une chance que le sans fil était tout près.
- Moshi moshi.
- Bonjour Közi-san.
Gackt! Pourquoi m’appelle-t-il? Il n’est que huit heures, drôle d’heure pour revenir d’un bar. Je savais qu’il était bizarre, mais à ce point…..
- Gackuto-san. Quelle surprise!
- Je sais, je sais. Comment vas-tu?
- Bien et toi?
- Comme d’habitude.
- T’es pas avec les autres en train de fêter?
- J’y étais, mais je voulais célébrer cet évènement à ma manière.
- Ah.
- Veux-tu venir chez moi?
- Oui bien sûr! J’arrive dans pas long.
- Bien je t’attends.
Je ne sais pas quoi penser. Mon cœur bat à la chamade et mes pensées sont confuses. Je vais me changer, me mettre sexy, ensuite me laver les mains, me maquiller légèrement et me peigner. Je ramasse mon jean et je vais dans ma chambre le déposer dans le panier à linge. Bon quoi mettre? Je vais commencer par enlever mon chandail pour le mettre lui aussi à la même place que mon pantalon. Je sais! Je vais porter mes pantalons en vinyle et mon superbe chandail noir qui moule parfaitement mon torse. Pas de sous-vêtements, car ils vont paraître avec le vinyle. Je sors de la pièce pour aller à la salle de bain qui est juste en face. Je me lave les mains et le visage. Je prends une petite serviette qui se trouve dans l’armoire qui est derrière moi. Ça c’est fait. Je prends mon peigne et commence à démêler mes cheveux rouge sang. Ils arrivent aux épaules et dire que je les ai eu plus longs avant. Maintenant, je les aimes bien, mais dois-je mes laisser naturels ou les attacher. Ouain….finalement je préfère la première idée. Ce qui me reste à faire, mettre un peu de maquillage. J’ouvre le premier tiroir où il y a tous mes cosmétiques. Je prends du mascara et un rouge à lèvres rose très pâle à la saveur de framboises. Je prends soin d’en mettre généreusement sur mes lèvres. Je vais aller regarder mon profil et pour ça, je retourne dans ma chambre. Je m’observe de haut en bas et je me dis que si Gackt me résiste, je crois que je vais sauter une coche.
Je ferme les lumières et retourne dans le salon avec mes bas dans mes mains. Je les mets et je mets aussi mes chaussures. Bon je suis prêt, je prends les clefs de ma voiture et je sors de l’appartement. Je m’assure que j’ai bien barrée ma porte et sûr ce, je descends. Je sors à l’extérieur du bâtiment et vais à l’arrière de celui-ci pour prendre ma bagnole. J’embarque à l’intérieur, mets les clefs dans le contact et m’en vais chez Gackt.
À suivre…