[†] Fairy Tale [†]
Auteur : Miyou
Sujet : Un petit bout des Dir en grey
Genre : *prépare son bouclier* Cé po yaoiiiiiii^_____^ !!! C’est
une histoire paranormale^__^
Disclamer : Aucun de ces beaux visualeux n’est à moi… par
contre l’autre protagoniste m’appartient entièrement^___^
!
Déclaration de l’auteur : Anooooooooooo…. C’est la
première fois que j’écris une fic de ce genre… j’ai
déjà fait des textes comme ça, mais une fic c’est
pas la même chose, j’espère que ce sera réussit…
Il régnait dans la boite de nuit une ambiance lourde. Cela faisait
trois jours qu’elle n’avait pas eu d’hommes et le manque
s’en faisait ressentir de plus en plus. A la recherche de quelqu’un à se
mettre sous la dent, elle marchait parmi les corps dansants, balayant du regard
la masse humaine. Elle finit par trouver un garçon à son goût,
alors qu’elle accélérait le pas, un jeune homme brun la
bouscula.
- Ha ! Gomen nasai ! On a vraiment pas la place de circuler ici ! S’excusa-t-il
avec un joli sourire.
Elle leva les yeux vers lui et le regarda avec insistance. Finalement, il était
mieux que l’autre.
Saisissant le message subliminal dans l’étrange regard de la fille,
le jeune homme l’invita à danser. Elle accepta d’un signe
de tête et le suivit jusqu’à un coin où ils auraient
plus de place. Puis ils se mirent à danser, elle commença à se
mouvoir sensuellement au rythme de la musique en fixant les yeux de son partenaire
qui sembla aussitôt envoûté. Petit à petit, elle
s’approcha pour venir se frotter au jeune brun avec un regard explicite
qui ne laissait aucun doute sur ses intentions. L’atmosphère se
réchauffait jusqu’à en devenir insupportable.
Au bout d’un temps indéfinissable, il proposa à sa cavalière
de finir la soirée chez lui, chose qu’elle accepta sans l’ombre
d’une hésitation. Il lui attrapa la main et ils se dirigèrent
vers une table occupée par quatre hommes plus ou moins sobres.
- Je rentre ! Annonça le jeune homme à ses amis qui acquiescèrent,
ayant visiblement l’habitude de rentrer sans lui.
Puis il la conduisit à sa voiture et en parfait gentleman, il lui ouvrit
la portière avant de s’installer au volant et de mettre le contact.
Dans le véhicule régnait un silence étrange, le jeune
homme n’osait pas engager la conversation, presque de peur de déranger
la fille qui fixait les lumières qui défilaient, l’air
absent. Pourtant il n’était pas du genre à être timide
dans ce genre de situation. Mais elle, elle dégageait comme une sorte
d’aura, une aura qui disait « Approche toi de moi que si je l’ai
décidé, sinon reste éloigné. ». Il se concentra
donc sur la route jusqu’à chez lui.
†
Arrivé à destination, il se gara, descendit et ouvrit de nouveau
la portière à la fille qui descendit gracieusement. Ils s’engagèrent
dans l’immeuble, dans le hall le concierge salua le jeune brun et fit
les yeux doux à sa compagne. Celle-ci lui lança un regard froid
et hautain qui lui glaça le sang, avant de se remettre à marcher,
toujours aussi majestueusement. Ils prirent l’ascenseur et marchèrent
quelques instants dans un couloir avant d’arriver à l’appartement.
Le jeune homme ouvrit la porte, l’invita à entrer et après
avoir retiré leurs chaussures ils s’assirent sur le canapé du
salon.
- Tu veux boire quelques chose ? Demanda l’hôte.
- Non merci.
Pour la première fois il entendait sa voix, elle n’avait pas parlé une seule fois depuis leur rencontre. Il n’avait pas pensé à lui faire la conversation lorsqu’ils dansaient, à vrai dire il ne pensait à rien lorsqu’ils dansaient, et dans la voiture il n’avait pas osé briser le silence. Ce n’était pas qu’elle l’intimidait, mais c’était comme si seuls les actes comptaient, et les mots n’avaient pas d’importance. Il pouvait parfaitement la voir à présent. L’éclairage de la boite n’étant des plus pratique pour voir vraiment les gens, il la redécouvrait, et elle était encore plus belle à la lumière claire du salon. Une peau laiteuse, un corps fluet aux jolies courbes que laissait deviner sa robe en dentelles noir, une longue et soyeuse chevelure noir descendant jusqu’à ses reins, qui tombait sur ses épaules et entourait son petit visage pâle, des yeux verts émeraude ensorcelants, un nez discret et des lèvres pulpeuses, tentatrices, rouges sang. Elle le regardait fixement. Il déglutit lentement et sans qu’il n’ai le temps de réagir, la fille bondit sur lui et lui captura la bouche en une joute linguistique passionnée. Le jeune homme, lorsqu’il comprit ce qu’il se passait, ne consentit pas à la repousser et la laissa le pousser en arrière. Allongés sur le canapé, ils s’embrassaient à pleine bouche. Elle passa ses mains sous la chemise du brun, elles étaient froides et il eu un frisson à leur contact. Après avoir ouvert la fermeture de la robe dans le dos de sa fougueuse partenaire, le jeune homme la repoussa quelques instant afin de reprendre son souffle, voyant qu’elle ne prendrait pas l’initiative de se réoxygéner d’elle même. Alors qu’il prenait de l’air, elle s’assit à califourchon sur son ventre et retira sa robe, puis commença à se frotter langoureusement. Le jeune homme balada ses mains sur la peau blanche de la fille qui enleva son sous vêtement. Une fois nue, elle démunit sa proie de sa chemise, de son pantalon puis de son boxer et se réinstalla à califourchon. Il se laissait faire pleinement, ce n’était pas si désagréable de suivre le mouvement. Alors que d’habitude c’était toujours lui qui dominait la situation, cette fois là il se laissait guider par cette mystérieuse créature. Une nouvelle fois, elle lui emprisonna la bouche en frottant son sexe contre l’érection. Les langues se chamaillaient, les mains se perdaient dans les vallées inconnues de l’autre corps et l’excitation grandissait. Il finit par la pénétrer. Elle se redressa et ondula sensuellement en sondant le regard vague du jeune homme qui gémissait totalement en transe, c’était le moment. Se rebaissant sur sa victime, elle entreprit de baiser son cou, de le lécher, attardant sa langue gourmande sur la peau brûlante, puis… Changement de situation imprévue ! Le brun inversa brusquement les rôles et se plaça au dessus de son amante tout en continuant les vas et viens de plus en plus rapides. Il lui attrapa les mains pour les joindre aux dessus de sa tête et elle n’eu d’autre choix que de rester plaquée sur le canapé. La fille noua ses jambes autour de la taille de son amant qui était sur le point d’atteindre le septième ciel en bougeant en cadence avec lui. Dans un dernier et profond mouvement, il se libéra en elle en un râle rauque et se laissa tomber sur le corps frêle de sa partenaire. Haletant, il roula sur le coté après s’être retiré. Elle tourna la tête vers lui, il avait le front en sueur, il était à bout de souffle et sa poitrine se soulevait et s’abaissait à un rythme rapide. Le jeune homme, prit la fille dans ses bras, elle se bouina contre lui et posa sa tête contre son torse humide. Son cœur battait tellement fort… Il s’assoupit rapidement, et elle resta comme ça toute la nuit, à le regarder dormir en écoutant son cœur battre paisiblement. Lorsque le jour se leva doucement, elle sombra à son tour au pays des songes, toujours serrée contre le corps à l’agréable chaleur qui la tenait.
†
Vers la fin de matinée, il se réveilla doucement en frissonnant
au contact cette peau si belle mais si froide. Il se leva, enfila son boxer
et se dirigea vers la cuisine. La fille ayant le sommeil très léger,
se réveilla à son tour en sentant qu’on la laissait seule.
Elle se redressa lentement, se vêtit de sa robe et après avoir
cherché quelques instants, elle trouva le jeune homme, assit à la
table de la cuisine, la tête dans ses bras croisés. Elle s’approcha
et posa sa main sur son épaule, le faisant sursauter violemment.
- Ohayo… Articula-t-il. Tu m’as fait peur, je t’ai pas entendue
arriver.
- Toutes mes excuses.
- C’est rien. Bien dormit ?
- …Oui merci.
Bien sûr qu’elle avait bien dormit, ça faisait une éternité qu’elle
n’avait pas dormit en compagnie de quelqu’un, une éternité qu’elle
ne s’était pas sentit bien contre la chaleur d’un corps.
- Je fais du café, tu en veux ?
- Merci, mais je ne bois pas de café.
- Ha ? Ano… Tu veux autre chose ? Qu’est ce que tu prends au petit
déjeuner ? J’ai tout ! Annonça joyeusement le jeune brun
en souriant.
- …Je ne prends pas de petit déjeuner.
- Ho… Il se gratta la tête. Au fait, je m’appelle Toshiya
! Et toi ?
Elle le considéra un instant. Quelqu’un semblait s’intéresser à elle, à sa
personne et non à son corps. Il faut dire qu’elle n’avait
jamais laissé le temps aux hommes de faire connaissance avant.
- Yoruyami. [1]
- Enchanté Yoru-chan !
- …De même…
- Tu as l’air encore fatiguée…
En effet, elle était épuisée. Quatre jours sans se nourrir,
sans reprendre des forces, et elle s’affaiblissait de plus en plus vite.
Yoruyami s’assit sur la chaise en face de Toshiya craignant de tomber.
- Ce n’est rien…
- …Si tu veux, tu peux prendre une douche. Viens je vais te montrer la
salle de bain.
Toshiya se leva et ouvrit le chemin à la fille qui marchait silencieusement
derrière lui. Une fois dans la salle d’eau, il lui indiqua où se
trouvait tout ce dont elle pourrait avoir besoin.
- Je vais te prêter des vêtements. Dit-il en disparaissant dans
le couloir.
Comment un homme seul pouvait-il avoir autant de produits de beauté dans
sa salle de bain ? Après avoir admiré tous les flacons et petites
bouteilles, Yoruyami se décida à se déshabiller. Elle
entra dans la cabine de douche et fit couler l’eau. On toqua à la
porte qui s’ouvrit presque tout de suite après.
- Je pose les fringues sur la machine, t’auras qu’à choisir
ce que tu préfères !
Puis la porte se referma.
Après la douche, elle ressortit et s’enroula dans une serviette
pour regarder les vêtement que Toshiya lui avait amené. Des mini
hauts, jupes et autres vêtements de femme qu’un homme seul n’est
pas censé pas avoir chez lui. D’où est-ce qu’il sortait
tout ça. Ne se posant pas plus de questions, elle opta pour un débardeur
court blanc et une mini jupe plissée noir. Une fois séchée,
elle s’habilla et sorti de la salle de bain, les cheveux encore humides.
En s’approchant du salon, la voix de son amant lui parvint.
- Quand, maintenant ? … Mais, non mais j’ai quelqu’un chez
moi là ! … Oui la fille d’hier. … Comment ça « elle
est pas encore partie » ? On s’est réveillé il y
a pas longtemps, j’vais pas la virer tout de suite non plus ! En plus
j’ai pas envie de la virer, et elle à l’air malade. … N’importe
quoi j’vais pas choper de saloperie ! Kyo, si tu continues de te foutre
de ma gueule je raccroche ! … Elle prend une douche. …Si c’est
un bon coup ? Kamisama, c’est une déesse ! Mais tu vois, elle
me plait bien et… j’sais pas, j’ai bien envie de me poser
avec elle. … Kyo, personne ne tombe amoureux en une nuit ! C’est
juste qu’elle, elle a un truc en plus que les autres n’ont pas. … Dis
le si j’te saoule hein ?! Et pourquoi t’insiste ? Donne moi une
bonne raison d’aller au ciné avec toi et Die et Shinya, une seule
! Sachant qu’il y a une bombe chez moi ! … Que j’t’aide à tenir
la chandelle… Et Kao il peut pas y aller avec vous ? … Naaaaaannnn
mais Kyoooo… Essais de comprendre, j’ai pas envi de la laisser…
La discussion continua encore quelques minutes et lorsqu’il raccrocha
le combiné, Toshiya semblait avoir finit par céder. A l’entrée
de la pièce, Yoruyami se tenait au mur.
- Tu dois partir au cinéma avec tes amis.
Le bassiste fit volte face dans un sursaut. Se tenant le cœur, il détailla
chaque parcelle du corps de la fille. Dieu qu’elle était belle.
Il se reprit et sourit maladroitement.
- Anoo… je suis vraiment désolé…
- Je vais partir...
- Non attends !
Toshiya s’était levé d’un coup, devant l’air
vaguement surpris de sa partenaire il déglutit lentement.
- Tu n’as pas l’air bien… Je n’ai pas envi de te laisser
comme ça, alors si tu veux, tu peux rester ici pour te reposer, enfin
si tu n’as rien à faire aujourd’hui. Quand je rentrerais…
- Pourquoi ?
- …Pourquoi quoi ?
- Tu te fais du soucis pour moi. Pourquoi ?
- Bin… C’est normal… non ?
- Je ne sais pas.
- Tu veux rester ici ?
C’était la première fois qu’on tentait de s’occuper
d’elle, et ce n’était certainement pas une bonne idée
de la part de Toshiya. Elle n’aurait jamais dû passer la nuit ici.
Il fallait refuser, qu’elle s’en aille.
- Je veux bien.
Le jeune homme fit un sourire rassuré. Comment avait-elle pu accepter ?
†
Après s’être rapidement préparé, Toshiya était
parti en laissant Yoruyami seule dans l’appartement, non sans s’être
excusé mille et une fois de l’abandonner comme ça.
La fille reposait dans la chambre du bassiste. Allongée sur le coté,
elle fixait un point invisible droit devant et demeurait totalement immobile.
Son esprit la tourmentait encore et encore, la culpabilité apparut.
Ce n’était pas bien. Rester chez Toshiya n’engendrerait
rien de bon. Il valait mieux pour elle comme pour lui qu’elle disparaisse
de sa vie.
Yoruyami se redressa difficilement, ses bras tremblaient sous son poids. Une
fois debout, elle chancela vers la porte d’entrée, se tenant aux
murs et aux meubles pour avancer. Elle se sentait lourde, et tellement faible.
L’appartement se mis à danser autour d’elle, à moins
que ce ne soit sa tête qui tournait… Elle s’écroula
lourdement au milieu du salon, au moment même où le bassiste rentrait.
Il se précipita sur elle et la porta jusqu’à sa chambre.
Les yeux ouverts, Yoruyami ne pouvait qu’être spectatrice de son
sauvetage.
- Qu’est ce qu’il s’est passé ?
- Je suis tombée…
- Tu es malade ? Kamisama t’es tellement froide…
Le jeune homme tenta vainement de la réchauffer en la maintenant contre
lui et lui frottant le dos et les bras.
- Arrête… Laisse moi…
Elle essaya de le repousser mais les forces lui manquaient et ses mouvements
lents n’aboutirent à rien.
- Je vais appeler un médecin !
- Ne fais pas ça !
- Mais pourquoi ?
- …
- Yoru-chan, qu’est ce que tu as ?
- …
- Dis moi de quoi tu as besoin, je ne peux pas t’aider sinon !
- …J’ai faim…
- Tu…
Toshiya fut coupé dans son élan par ce qu’il vit. Des canines
beaucoup plus grandes qu’à la normal.
- Yo… Yoruyami… tes… tes dents…
- J’ai faim Toshiya… j’ai faim…
Des plaintes presque désespérées. Gisant sur le lit, elle
le regardait avec des yeux larmoyants. Le bassiste se recula légèrement
en la fixant.
- T’es… t’es un vampire…
- … Tu aurais dû me laisser partir…
- Tu voulais me… me manger ?
- …Juste boire ton sang…
- Tu voulais me tuer !
- Gomen nasai… Tu peux me tuer, je ne pourrais pas me défendre
de toutes façons… Est-ce que tu peux le faire ? Il suffit de me
planter quelque chose dans le cœur…
Toshiya tremblait maintenant, il n’osait pas bouger, il ne pouvait qu’écouter
la liste des milles et unes façons de tuer celle avec qui il avait couché la
veille.
- … Si c’est trop dur, tu peux aussi me faire manger de l’ail… Ce
sera moins dur ça pour toi… Ca ne me fera mal mais… tu n’auras
pas à me planter un couteau dans le corps au moins…
Elle fit une pause pour l’observer avant de reprendre.
- Toshiya… fais le s’il te plait…
- …
- Je t’en supplie… achève moi… Je ne pourrais pas
mourir si tu me laisses comme ça…
- Et… et si tu buvais un peu de mon sang…? Juste un peu, pas tout, ça
irait mieux ?
Yoruyami resta bouche bée, il voulait l’aider alors qu’elle
avait voulu le tuer quelques heures auparavant. Tout ce qu’elle voulait
elle, c’était mettre fin à son éternité de
souffrance.
- Il faut me tuer Toshiya…
- Ca ne marchera pas ?
- … Si mais…
- Alors tiens !
Il avança son poignet juste en face d’elle.
- Non, tu…
- Bois, prends mon sang !
- Tu ne comprends pas…
- Aller ! Je t’en pris Yoru-chan, fais-le !
Les yeux du vampires s’échouèrent vers le poignet tremblant
du jeune brun. Grossière erreur, elle ne pouvait plus enlever ses iris
des veines qui semblaient l’appeler. Attirée comme un aimant,
elle s’approcha doucement pour planter ses canines. Toshiya émit
une plainte alors qu’elle se soudait à lui. Il sentait son sang
circuler rapidement dans son corps, se dirigeant au même en droit, il
sentait qu’elle lui aspirait la vie. Il serra les points en gémissant
de douleur.
Alors qu’elle buvait, Yoruyami se sentait renaître mais la culpabilité la
rongeait. Soudainement, elle arracha ses deux crocs et releva la tête,
la bouche rougie par le sang. Le bassiste s’évanouit.
- Gomen nasai !! Gomen nasai Toshiya !!!
Totalement paniquée, elle le souleva et le coucha fébrilement
sur le lit en pleurant. Elle se mordit l’avant bras jusqu’à son
sang qui ne circulait plus et le lécha avant d’aller embrasser
le bassiste inanimé. Elle éternisait le baiser et en se remettant à pleurer.
Doucement, elle détacha ses lèvres des siennes, et posa sa tête
sur sa poitrine. Son cœur battait de moins en moins fort, de plus en plus
lentement, pour ne plus battre du tout.
- Pardon…
S’excusa-t-elle encore, en lui caressant le visage.
- Espèce d’idiot, il ne fallait pas insister… Pardonne moi… On
ne peut pas être ensemble… Je le sais depuis le début, je
n’aurais pas dû rester cette nuit… je n’aurais pas
dû te choisir hier soir… Pourquoi est-ce que tu m’as bousculé… Toshiya
je te demande pardon…
Elle l’embrassa encore une fois, mais plus rapidement, et se leva.
- Sayonara…
†
Il fut réveillé par un bruit familier, on sonnait à sa
porte. Toshiya ouvrit les yeux et se retourna mollement sur le ventre. Il s’assit
sur le lit, il se sentait bizarre, comme une impression que plus rien ne fonctionnait
en lui, à part son cerveau. Il se lécha les lèvres, sur
lesquelles il y avait une délicieuse saveur de sang. On sonna une deuxième
fois. Toshiya fronça les sourcils, où était Yoruyami ?
Il se leva et appela, mais personne ne lui répondit. On sonna une troisième
fois.
- Ca va, ça va…
Se résignant à aller ouvrire, il se traîna jusqu’à la
porte d’entrée pour découvrir un Kaoru chargé d’un
sac.
- Hello !! Tu dormais ou quoi ? J’ai faillit repartir moi ! T’as
pas bonne mine tu sais ?!
- … Kao ?
- En chair et en os !
- Mais qu’est ce que…
- T’as oublié que j’te devais un Mac Do ? Comme j’avais
la flemme de manger dehors j’ai pris à emporter ! Bon, je sais
que j’débarque sans prévenir mais en général ça
te dérange pas… Ca te dérange pas hein ?
- Bah… c’est que… la fille d’hier est…
- La fille d’hier soir est encore là ??
- En principe oui…
Kaoru regarda son bassiste attentivement.
- Totchi t’as l’air malade… t’es tout pâle, t’es
sûr que ça va ? Tu veux que je repasse plus tard ?
- Bah non puisque t’es là…
- Ok… Elle dort la fille ? Demanda le leader en partant dans la cuisine
pour y déposer les vivres.
- Je ne sais pas où elle est…
Toshiya semblait totalement déboussolé et le monde s’abattit
sur ses épaules lorsque Kaoru lui cria de la cuisine.
- Anooo… Totchi c’est normal qu’il y ait un tas de cendre et des fringues de fille dans ta cuisine ??
[†] Owari [†]
(1) « Yoruyami » c’est l’assemblage du mot « yoru » qui signifie « nuit » et du mot « yami » qui signifie « ténèbre ».
Pfiouuuuuuuuuuuuuuuuuuuu……………….. *s’éponge
le front*… C’est ENFIN finit >_< !! Depuis le temps que j’ai
commencé cette fic… j’me fait vraiment honte T___T… Pour
une fois j’ai tout controlé du début à la fin j’suis
contente^____^ !! J’suis vraiment une baka u_u j’pleurais comme
une madeleine en écrivant à partir du moment où Yoru-chan
est tombée jusqu’à ce qu’elle sorte de la chambre
en laissant Totchi u_u… *irrécupérable* Bon bah voila =___=… c’est
finit…
Biyou^^