Harry Potter et Frore Lorer
harry
Auteur: Durendal
Style: yaoi et pis le reste on verra !
Base: Harry Potter
Chapitre: 4/?
Chapitre 4
Harry s'éveilla, se frotta les yeux puis s'étira de tout son long en gémissant. Deux bras vinrent s'enrouler autour de sa taille et il sentit le corps de Drago se coller à son dos. Il se retourna et déposa un baiser sur les douces et chaudes lèvres du blondinet.
· Harry ?
· M'oui ?
· Tu crois qu'on va nous regarder différemment maintenant que tout le monde sait qu'on est ensembles ?
· … Je ne sais pas.
Non, les regards ne changèrent pas. Du moins, pas pour Harry qui avait l'habitude qu'on se retourne sur son passage… L'avantage, c'était que maintenant ils pouvaient traîner ensembles tout le temps. L'inconvénient, c'était que Rogue les haïssait encore plus qu'avant (c'est difficilement imaginable mais pourtant la triste réalité). Cependant cette haine était compensée par le soutient de beaucoup d'élèves. Même certains Serpentard soutenaient Drago. Grabbe et Goyle, eux, n'en revenaient pas de la manière dont Drago avait changé en seulement deux mois et ne voulaient plus traîner avec lui.
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· NOOOOONNNNN ! JE NE VOUS DIRAIS RIEEEENNNNNNNNN !
Une lame de fer chauffée à vif vint s'abattre sur la peau d'un homme, le faisant hurler de douleur.
· Allons mon cher, soyez coopératif et il se pourrait que je tire un trait sur tout ça. Lança mielleusement la voie de Lord Voldemort.
· RIEN ! RIEN ! JE NE DIRAIS RIEN !
· Vous me décevez beaucoup mon ami.
· JE NE SUIS PAS VOTRE AMI VOLDEMORT ! JAMAIS JE NE LE SERAI ! VOUS ETES UN DANGEREUX DESEQUILIBRE !
· … Très bien… Nagini ?
L'homme cria de nouveau. Les crocs de Nagini s'étaient plantés dans son bras et y répandaient le venin mortel… L'homme se débattait, mais de solides liens le retenaient à la table de torture sur laquelle c'était répandu beaucoup de son sang… Beaucoup trop…
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Bonne nouvelle Harry ! J'ai été réhabilité et je cherche du travail ! Bien sur, mon ancien état d'ennemi public est une sérieuse entrave à ma recherche, mais je finirai bien par trouver quelque chose…
A plus tard mon filleul préféré !
Sirius
· Ben tout s'arrange pour lui alors ! S'exclama Ron.
· On dirait ! C'est génial ! Je vais enfin vivre avec de la vraie famille !
· Tu es content Harry ? Demanda Drago
· Bien sur !
· Mais, chez qui tu allais avant ? Questionna le Serpentard
Harry le regarda, interloqué.
· Tu ne le savais pas ?
Puis il expliqua avec une grimace devant les mauvais souvenirs énnoncés…
· J'ai été élevé dans un placard en dessous d'un escalier par mon oncle et ma tante. C'était pas idyllique tu sais…
Drago soupira. Il était loin de se douter de quoi avait été faite la vie de son ancien ennemi.
· Je savais pas…
· Normal, à l'époque, on se détestait.
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C'était le dernier repas de la journée. Chacun mangeai avec plaisir ce qu'il y avait dans leur assiette. Ron et Hermione refaisaient le monde et Harry se brisait le coup pour avoir la tête constamment tournée vers Drago qui était à la table des Serpentards. La porte s'ouvrit lentement, laissant passer une silhouette que les élèves connaissaient bien et redoutaient tout autant : le professeur Rogue...
Cependant, sa tenue arracha un cri de surprise aux élèves : ses vêtements étaient déchirés en plusieurs endroits et du sang coulaient d'une multitude de blessures. Des brûlures encore fumantes parsemaient son corps... Dans un silence incrédule et inquiet, le corps chancelant se traîna lentement, clopinant vers la table des professeurs stupéfaits
· Professeur Rogue ?! S'exclama Dumbledore qui c'était levé de sa chaise, imité par les autres professeurs.
Le professeur Lorer bondit par-dessus la table et vint rattraper Rogue avant qu'il ne tombe par terre.
· Professeur Rogue ? Qu'est-ce qui vous est arrivé ?
Severus avait Severus avait les yeux écarquillés. Il respirait avec difficulté. Son souffle rauque résonnait dans la salle silencieuse.
· Vo… Voldemort… il m'a… mais je n'ai pas parlé… je n'ai rien dit… pas un mot ! Souffla Rogue.
Lorer remarqua alors sur le bras du professeur de potions une marque qu'il reconnut aussitôt : celle que laissent la morsure des serpents. Comprenant immédiatement de quoi il retournait, il releva la tête un instant, le temps de hurler un ordre.
· ALLEZ CHERCHER MADAME POMFRESH ET UN PHENIX ! S'écria Lorer.
McGonagall s'élança dans un couloir à la recherche de l'infirmière.
Protégez … protégez Potter… finit-il dans un dernier souffle.
Rogue se raidit un instant sous la douleur puis s'affaissa doucement dans les bras de Lorer tel un pantin désarticulé... mort…
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La semaine qui suivit se passa dans une atmosphère tendue et triste. On entendait plus les rires dans les couloirs et aucune bonne humeur ne s'affichait sur les visages des professeur. Cette ambiance aurait été paradisiaque pour Rogue, c'était une sorte d'hommage. On avait enterré Rogue dans le parc. Une cérémonie d'adieu avait été organisée et tout Poudlard y assistait. Etrangement, personne n'était heureux de la mort du tyran. Même Harry lui avait pardonné. Il apprit à l'enterrement que Rogue n'avait ni femme ni enfant ni aucune famille. Cela expliquait sans doute son caractère… C'était la première fois qu'Harry assistait à un enterrement de sorcier. Une sorte de prêtre faisait un petit discourt en l'honneur du défunt puis il sortait ça baguette et faisait apparaître un cercle de fumée verte dans lequel le corps du mort en lévitation entrait et d'où il ne ressortait jamais. C'était sans doute le moment le plus émouvant de la cérémonie… Et cependant, malgrès l'ambiance du château, la mort d'un professeur et cette cérémonie, une question trônait et revenait sans cesse dans la tête des élèves : qui allait remplacer Rogue ?? La réponse arriva dès le lundi qui suiva la mort du professeur…
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· Harry ! Grouille toi on est en retard ! Lança Ron.
· Oui oui ! J'arrive !
· Si on arrive en retard dès le premier cour du prof, il va nous saquer toute l'année, c'est sur !
· Mais non !
· Mais si !
· Bon, on y est.
Harry frappa à la porte et entra.
· Désoler, on est en ret…
Harry resta bouche bée. Le nouveau professeur de Potion, c'était…
· Sirius ?!
· Et bien mon cher filleul, tu es en retard comme ça à tous les cours ? Demanda l'évadé d'Azkaban avec un grand sourire.
Harry n'en revenait pas.
· Et ben ! Installe toi ! Toi aussi Ron ! Vous avez déjà 5 minutes de retard ! Dépêchez-vous !
Harry était aux anges ! Son parrain était maintenant professeur de Poudlard ! Il pourrait le voir tous les jours ! Ca, c'était une bonne nouvelle !
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· Attention !
La liane de la plante sauvage frôla la tête d'Harry qui s'était baissé juste à temps.
· Incendio ! Lança madame Chourave. Désolée, cette plante c'est échappée de la serre tout à l'heure. Expliqua t'elle calmement. Bien ! Maintenant nous allons étudier les…
· Professeur Chourave ?
Le professeur McGonagall venait d'entrer dans la serre. Son visage était dur, et il semblait s'y trouver une pointe de tristesse.
· Qu'y a t'il professeur McGonagall ?
· Pourrai-je parler à Ronald Weasley s'il vous plait ? C'est très important, il se pourrait qu'il n'assiste pas à la fin du cours…
· Mais, qu'y a t'il de si urgent ?
Minerva McGonagall la fusilla du regard. Le professeur Chourave n'opposa donc pas plus de résistance et permit à Ron de suivre la directrice de Gryffondor.
· Qu'est-ce qu'elle peut bien lui vouloir ? Demanda Harry à Hermione.
· Je ne sais pas… Mais ça à l'air grave…
La réponse à leur question arriva après le repas du soir. Ron n'y avait pas assisté. Inquiets pour leur ami, Harry et Hermione ne prirent pas le temps de manger et allèrent aux nouvelles. Ils trouvèrent Ron assit sur son lit, sanglotant.
· Ron ? Qu'est-ce qu'il y a ?
· Ma... Mam... maman... sanglota Ron, perdu dans sa douleur.
· Ta mère ? Qu'est-ce qu'elle a ? Elle va bien ? ? s'inquiéta aussitôt Harry qui avait très vite appris à apprécier la petite femme rousse.
· Elle... Il... elle est morte ! Réussit à dire Ron avant de s'effondrer en larmes dans les bras de son amie qui resserra son étreinte malgré sa stupeur devant la nouvelle.
· Il l'a tué ! Il l'a tué ! Ne cessait-il de répéter entre deux accès de larmes...
Harry, lui, sentait la colère monter en lui. Des larmes coulèrent sur ses joues. Mrs Weasley avait été comme une mère pour lui...
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· Monsieur Weasley ! Calmez-vous ! Par pitié ! Supplia Dobby, terrorisé.
· Ron s'il te plait ! Casser des assiettes ne fera pas revenir ta mère ! Renchérit Hermione.
Ron s'arrêta enfin. Il demeurait inconsolable. Ça mère avait été enterrée deux semaines auparavant mais la tristesse et la haine demeuraient en lui… Cette fois, Voldemort avait été trop loin.
Harry n'avais rien fait pour calmer Ron, trop étourdi par la rage à l'égard du Seigneur des Ténèbres et par sa tristesse. Lui et Hermione aidèrent les elfes à ramasser les débris avant de sortir de la salle à manger sous les regards appeurés des elfes cuisiniers.
Drago s'occupait de calmer Harry pendant qu'Hermione se chargeait de Ron. Cela les rapprocha d'avantage. Mais ils étaient obligés de suivre leurs cours, comme d'habitude. Ils trouvèrent quand même du temps pour rendre visite à Hagrid. Le semi-géant s'occupait de nourrir ses phénix, tranquillement. Voyant Ron arriver, le regard du garde forestier s'attrista.
· Bonjour les enfants… Il observa Ron, d'un regard compatissant, soupira… Condoléances Ron.
· Merci Hagrid…
· Je sais que c'est très difficile de perdre un parent si jeune. Il va falloir que tu sois fort.
· T'en fait pas, ça va aller ! Hermione me réconforte…
· Tant mieux ! Dit-il avec un sourire. Dites, vous n'auriez pas vu Sirius par hasard ?
· Non pourquoi ? Interrogea Harry.
· Il est censé me préparer un… Ha ! Le voilà ! Bonjour professeur Black !
· Hagrid ! Appelez-moi Sirius ! Lança t'il avec un sourire. Tien ! Harry !
Son visage se tourna ensuite vers Ron.
· Désolé pour ta mère Ron.
· Ce n'est rien…
· Hagrid ! J'ai votre potion pour phénix !
· Merci Sirius !
· Mais de rien ! Houla ! Il est 13H moins 10 ! Les enfants ? Vous venez ? C'est l'heure du cours de Potion.
· OK, à plus tard Hagrid !
· A plus les enfants !
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Harry se répandit une dernière fois dans le corps de Drago puis s'écroula sur lui, luisant de sueur et exténué. Ils venaient de faire l'amour 6 fois dans la soirée ! Il était environ 3 heures du matin.
· Je t'aime Harry…
· Moi aussi…
Un grand cri se fit soudain entendre ! Un cri que Harry avait déjà entendu, qu'il reconnaissait, mais provenant de quoi ? Il ne pouvait le dire. Des hurlements de terreur et des bruits de pas précipités dans le couloir se firent bientôt entendrent. Harry et Drago se rhabillèrent en quatrième vitesse et sortirent de leur salle secrète. Tous les élèves de Poudlard couraient se réfugier dans le grand Hall d'entré du château. Harry aperçut Hermione dans la foule d'élèves paniqués.
· Qu'est-ce qui ce passe ? Hurla Harry à Hermione.
· Des dragons ! Leur hurla Hermione. Trois grands dragons !
· Quoi ?!
Harry et Drago filèrent rejoindre les autres. Les cris des dragons résonnaient dans les couloirs et on entendait des coups contre les murs du château.
· S'il vous plait ! Un peu de calme ! Demanda le professeur McGonagall.
Tous les élèves se turent.
· Bien, le professeur Lorer est sorti combattre les dragons et je…
Elle n'eut pas fini ça phrase que le plafond se creusa. Une quinzaine de pierres tombèrent d'un seul coup, suivies de près par le professeur Lorer, couvert de poussière. Il se releva rapidement et fixa le toit. La patte d'un dragon fit s'écrouler tout un pant de mur dont les pierres furent retenues par un sort de Lorer. On voyait maintenant les dragons. L'un noir -un Magyar à pointe-, les deux autres rouges. Le Magyar cracha du feu mais le professeur créa une barrière magique pour contrer l'attaque.
· Ecartez-vous !
Tous les élèves se collèrent au mur juste à temps pour éviter le second souffle du dragon. Lorer lança un arc de fumé rouge (le même que celui qu'il avait employé contre le Bilantal) qui fit chanceler le Magyar à pointe. Les deux autres dragons, eux, défoncèrent d'un coup le plafond et atterrirent de chaque côté de Lorer. Le dragon noir entra par le trou du mur et coupa toute retraite à Lorer.
Celui-ci était maintenant encerclé par les trois dragons, cependant son visage était impassible et ne semblait nullement troublé par cette situation. Il observa les dragons à tour de rôle, et alors que tout le monde pensait le voir s'envoler, il lâcha ça baguette magique par terre. Les dragons autant que les élèves furent très surpris par ce geste pour le moins inattendu !
Lorer ferma les yeux, lentement. Le visage toujours impassible, il resta là, désarmé, les yeux fermés, comme s'il attendait la mort. Les dragons l'observèrent ainsi, longuement. Chacun retenait son souffle, attendant la suite des évènements. Les
lèvres du professeur de défense contre le mal commencèrent alors à se mouvoir, lentement.
Les dragons, répondant aussitôt à cette provocation prirent leur inspiration et crachèrent leurs trois feux simultanément. Mais ils furent bloqués par une nouvelle barrière invisible. Un cercle de fumée bleue apparut autour de Lorer qui continuait à murmurer. Une plainte sinistre s'éleva alors dans la salle. Un tourbillon de vent violent fit voler quelques objets. La voix de Lorer résonna dans le vent. Il parlait dans une langue qui ressemblait à celle qu'avait employé Dobby. Les trois dragons poussèrent alors un cri déchirant et s'écroulèrent sur place. Morts ! Les élèves applaudirent bien fort ce nouvel exploit de Lorer.
· Pas de doute… c'est bien toi…
La voie de Lord Voldemort fit sursauter tout Poudlard. Il se tenait dans le trou qu'avais creusé le Magyar à pointe.
· Il n'y a que toi qui puisses tuer ainsi trois dragons d'un coup…
· Voldemort… ça faisait longtemps… 13 ans c'est ça ?
· Tout à fait… tu as de la mémoire mon cher… quel nom as-tu pris déjà ?
· Lorer
· Ha oui ! Lorer… C'est bien trouvé !
Aucun élève ne comprenait ce qui se passait. De quoi parlaient-ils ? Lorer semblait avoir vécu quelque chose avec Voldemort il y a 13 ans… L'un et l'autre étaient tout à fait impassible.
· Espèce d'enfoiré ! T'as tué ma mère ! Rugit Ron qui s'élança vers le magicien.
· Ron !
Harry s'élança sur ses trousses pour l'empêcher de faire une grosse connerie. Voldemort avança ça baguette vers Ron et le propulsa en arrière. Il atterrit lourdement sur le sol. Harry se pencha sur lui pour voir s'il avait quelque chose de cassé.
· Et bien Potter ? Tu ne sais donc pas qui est Frore Lorer ?
· Je… Non ?
Harry ne comprenait pas la question de Voldemort. Lorer n'était-il pas simplement Lorer ?
· Mais Harry ! Frore Lorer est ton frère !
L'estomac d'Harry se noua. Son frère ?
· VOUS MENTEZ ! MA SEULE FAMILLE, S'ETAIT MON PERE ET MA MERE !
· Ça c'est ce que ton frère a fait en sorte que tout le monde croit !
· Professeur Lorer ? Questionna Harry.
Le professeur avait le visage tiré par la colère, il ne répondit pas.
· Je me disais aussi, comment ma magie pouvait-elle avoir été brisée par un simple gamin ? Mais je m'en suis rappelé ! Lorsque je t'ai menacé avec ma baguette, ton frère ici présent est sorti de ça cachette. Il avait alors à peine 9 ans ! Mais était déjà très doué pour la magie… Il t'a serré contre lui aussi fort qu'il le pouvait et au final, quand j'ai lancé mon sort, la magie de ta mère l'a retourné vers moi, et les faibles dégâts du sort ont étés partagés entre vous deux…
· Professeur Lorer ? Redemanda Harry.
Le professeur expira péniblement, observa Harry, puis défit le bandage de son bras. Harry et tout Poudlard put observer une cicatrice similaire en tous points à celle qu'Harry avait sur le front.
· Voici Harry, ton frère. Et la seule cause de ta renommée : William Potter ! Annonça triomphalement Voldemort.
La main de William Potter se crispa sur ça baguette magique.
· Quoi William ? Tu n'es pas heureux d'avoir la renommée que tu mérites ?
· Espèce d'enfoiré. Trembla la voie de William.
· Pardon ?
William leva lentement la tête. Son visage était tiré par la haine et il tremblait de colère.
· J'ai … toujours… voulut… LE MEILLEUR POUR MON PETIT FRERE !
Il fit un rapide mouvement de sa baguette vers Voldemort qui fut soulevé du sol avant d'être brutalement projeté contre le
mur. Certains élèves entendirent le craquement sec signalent un - voire plusieurs - os cassés. Le sorcier noir cria de douleur !
· J'AI TOUJOURS VOULUT QU'IL SOIT CONNU !
Un deuxième coup encore plus puissant que le premier retourna Voldemort sur le sol.
· JE NE VEUX PAS DE LA CELEBRITE !
Un troisième coup propulsa Voldemort contre le mur. Un nouveau craquement indiqua qu'un nouvel os c'était brisé.
· J'AI PROMIT A MA MERE DE LE PROTEGER ET DE FAIRE EN SORT QU'IL SOIT CONNU ! ET RIEN NE COMPTE PLUS A MES YEUX QUE CA RENOMMEE !
William fit plusieurs brusques et puissants mouvement de baguette qui envoyèrent Voldemort aux 4 coins de la salle.
· AVADA KEDAVRA ! Hurla William.
Aussitôt, un grondement assourdissant se fit entendre. Des jets de lumière sortirent du corps de Voldemort qui hurlait ça douleur. Un grand vent s'engouffra dans la salle, couvrant les cris de Voldemort. Il était si puissant que son grondement empêchait tout autre son d'être entendu. La cicatrice d'Harry lui fit si mal qu'il avait l'impression qu'elle lui fendait le front en deux. Une gigantesque explosion propagea une onde de choc à tavers tout la salle. Le vent se calma et quand les élèves regardèrent à l'endroit où se trouvait Voldemort, ils purent constater qu'il ne restait de lui que sa cape. Le seigneur des ténèbres était vaincu ! Harry senti ça cicatrice le picoter quelque peu.
· Harry ! Ta cicatrice a disparut !! Lança Ron qui venait de se réveiller.
Mais Harry n'entendit pas cette remarque. Il observait son frère avec fascination et respect. C'était grâce à lui qu'il était vivant et que chaque sorcier, chaque sorcière, chaque personne ou être vivant du monde de la magie connaissait son nom…
William observa son bras. Ça cicatrice aussi avait disparut. Il regarda Harry dans les yeux, cherchant dans son visage une quelconque marque de méprit ou de rancœur, mais rien. Harry aida Ron à se relever.
· Pourquoi tu as fais tout ça ?
· Je l'ai promis à notre mère.
· Mais comment tu as fais pour que tout le monde t'oublis ?
· De la vieille magie noire. Un sort très puissant qui fait oublier la moindre trace de ton existence au monde entier.
Les yeux d'Harry s'humidifièrent et il se précipita dans les bras de son frère.
· Merci…
· De rien.
· Alors… tu as vu notre mère vivante ?
· Oui, mais toi aussi !
· Oui mais moi, je n'en ai aucun souvenir. Je ne connais leur visage que parce que je les ai vu dans un miroir
magique et quand ils sont sortis de la baguette de Voldemort.
· Je vois…
· Tu n'aurais pas un sort pour les ramener à la vie ?
· Malheureusement, ce sort n'existe pas…
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· Et bien les enfants ! Chose promise, chose dut : vous pouvez emporter vos Phénix ou les laisser libres, c'est à vous de voir. Annonça Hagrid.
· Moi, je pense que je vais l'offrir à Sirius. Dit Harry.
· Moi je vais le garder ! Je vais donner Coq à Ginny et garder celui-la.
· Moi aussi, il fera un excellent compagnon à Pattenrond.
· Tu vas le donner à manger à ton chat ?? S'exclama Ron.
· Mais non ! Imbécile !
· Alors Harry ? Tu vas aller vivre chez Sirius ?
· Un peu oui ! Je vais vivre avec mon parrain et mon frère.
· Avec William aussi ?! S'étonna Hermione.
· Ben oui ! Annonça Harry très heureux.
· Tu dois être content ! T'as perdu ton oncle, ta tante et ton cousin que tu déteste et tu vas vivre chez ton parrain et ton frère retrouvé ! Ca va te faire un sacré changement !
· Oui, pour la première fois, je suis super content d'être en vacances !
· Et Drago ? Tu vas le voir pendant tes vacances ?
· Bien sur ! Un petit sort concocté par mon frère et ses parents vont considérer Harry Potter comme un gentil petit Goyle ! Annonça Harry en se frottant les mains l'air cynique.
· Tu es diabolique ! Chuchota une voie bien connue d'Harry à son oreille.
Drago venait de faire irruption derrière Harry et le prenait dans ses bras.
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· Professeur… Vous comprenez que, je souhaite connaître tous les détails de votre vie.
· Je comprends Professeur Dumbledore. Je vais donc vous expliquer. Ma mère m'a toujours dit que mon rôle de grand frère était de m'assurer de la sécurité et du bonheur de mon frère lorsqu'elle ne sera plus la. Elle m'a donc apprit tout ce que je devais connaître dans la magie noire et la magie blanche.
Son visage se ferma un peu…
· Lorsque Voldemort a débarqué chez nous et a tué mon père et ma mère, je me suis dit qu'il était de mon devoir de secourir mon frère malgré la puissance de mon ennemi. Le sort de ma mère pour protéger Harry à eu l'effet désiré et lorsque j'ai vu que Voldemort avait baissé sa garde sous l'effet de la surprise, j'ai lancé un Avada Kedavra. Mais avec mon jeune age, le sort n'a eu qu'un effet minimal. Dit-il sur un ton qui mêlait le regret au dégoût de son impuissance…
· Une fois Voldemort presque anéanti, je me suis rappelé les paroles de ma mère, et je me suis dit que le meilleur moyen pour qu'Harry soit heureux, c'était de lui offrir le succès et la renommée. Alors, quand Hagrid est arrivé prendre Harry, je lui ai fait subir un sort d'Oubliette pour qu'il m'oubli, puis j'aie utilisé un sort d'Oubliettus Totalus, qui vient de la très ancienne magique noire. Ensuite j'ai fait croire à tous ceux que je rencontrai que je m'appelai Frore Lorer.
Son visage se durcit à nouveau.
· Puis quand j'ai su que Voldemort était de retour et avait attenté à la vie de mon frère, je me suis engagé comme professeur ici. Vous cherchiez un Auror pour protéger l'école, alors pour être sur que vous me preniez, je me suis engagé comme Auror. Ainsi je pouvais assurer une protection constante sur Harry.
· Je vois. Vous voulez continuer votre job d'enseignant l'année prochaine ?
· Avec plaisir ! Annonça William.
· Soit. A l'année prochaine professeur… au fait, je doit vous appeler Lorer ou Potter ?
Le professeur hésita, puis répondit.
· Potter. William Potter.
Puis il reprit le sourire qui lui collait au visage depuis le début de l'année et sortis du bureau de Dumbledore…
_
Dans une maison, devant un feu de cheminé, une femme berce son bébé dans ses bras. Son aîné arrive et observe le jeune frère sur les genoux de sa mère. Elle le regarde puis lui demande.
· Tu protègera ton frère ? Tu veilleras à son bonheur ?
· Oui maman !
· Promit ?
· Promit !
· Merci William…
FIN
Fics Harry Potter
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