Harry Potter et Flore Lorer
harry potter
Auteur: Durendal
Style: yaoi et pis le reste on verra !
Base: Harry Potter
Chapitre: 1/?
Chapitre 1
Harry ouvrit rapidement les yeux. Il se jeta sur ses lunettes puis sur le miroir de ça chambre.
Comme il s'en doutait, sa cicatrice était parfaitement normale.
Et pourtant jamais encore elle ne lui avait fait aussi mal, et les massages n'atténuaient que peu la douleur. Il regarda à la fenêtre et bien sûr, ne vit personne ressemblant à Lord Voldemort dans la petite rue Moldu de Privet Drive. La douleur de sa cicatrice diminuait peu à peu.
Il observa son réveil. 4 Heure du matin.
Dans sa cage, Edwige dormait paisiblement. Seul les ronflements sonores de l'oncle Vernon venaient troubler le silence de la nuit.
Un instant, il eu l'idée d'écrire à Sirius, son parrain, mais s'il le faisait, il allait encore prendre peur et sortir de sa cachette en risquant de se faire prendre. Il retourna dans son lit et tenta de se rendormir lentement, lorsque le petit bruit d'un oiseau qui se cogne à la vitre retentit.
Il regarda à la fenêtre et aperçut une petit boule grise qui se secouait pour reprendre ses esprits.
-Coq !
Il ouvrit à la petite chouette naine de Ron, qui tenait une lettre à sa patte, qui comme d'habitude était trop grande pour elle.
Il posa Coq dans la cage de Edwige pour qu'il boive un peut, ce qui déplu fortement à la chouette blanche.
Harry ouvrit la lettre et la lut.
Salut Harry !
Bon anniversaire pour commencer !
Je regrette de ne pas t'avoir joint un cadeau mais je me suis dit que tu préfèrerais peut être venir le chercher toi-même au Terrier. J'ai mis un peu de poudre de cheminette dans l'enveloppe si tu veux nous rejoindre. Viens quand tu veux, on t'attend.
J'ai eu des nouvelles d'Hermione. Elle est encore allée en France pendant ses vacances.
Est-ce que tu vas bien depuis le début des vacances ? Depuis le retour de Tu-Sais-Qui, les meurtres ont recommencé comme avant sa disparition. Inutile de nier que tous les sorciers ont peur et mon père et Percy sont débordés…
Mais bon, t'as peut être pas envi de lire ça… Bon, je t'attend n'importe quand au Terrier, salut Harry !
Ron Weasley.
Il ne manquait plus que ça ! Voldemort qui se remet à tuer… Harry espérait profondément que le collège ne fermerait pas pour autant. Parce que non seulement rester une année entière avec les Dursley était 100 fois pire que d'affronter Voldemort sans baguette magique, mais en plus il n'y avait qu'a Poudlard qu'il était en sécurité grâce à Dumbledore.
Il prit un parchemin et une plume pour écrire un petit message à Ron.
Cher Ron,
Merci pour mon anniversaire.
Harry hésita un instant, se demandant s'il devait lui donner une date d'arrivée ou non. Finalement, il écrivit :
Je ne sais pas exactement quand est-ce que je viendrais, cela dépendra des Dursley, et tu sais bien comment ils sont...
J'ai moi aussi reçu un hibou d'Hermione, on dirait qu'elle s'amuse bien.
Amitiés à Fred et George
Harry.
Il roula de papier et l'attacha à la patte de Coquecigrue qui, toute fière de sa mission, bomba le torse avec fierté. Après avoir envoyer Coq en mission et avoir assuré à Edwige que c'était sa préférée, il retourna se coucher.
Une fois de plus, les Dursley avait volontairement oublié sa date d'anniversaire et Harry n'avait rien fait pour qu'ils s'en rappellent. Dudley était toujours au régime et manifestement, il avait fait un peu d'effet car il ne lui suffisait maintenant que d'une chaise et ¾ d'une autre pour s'asseoir et il avait fini par s'habituer aux plats végétariens de Pétunia Dursley.
L'oncle Vernon lui aussi avait perdu un peu de poids, et la tante Pétunia était toujours aussi cadavérique.
Personne ne lui prêta attention quand il alla s'asseoir. Il mangea son quart de pamplemousse sans sucre avec les autres en regardant les infos.
Il vit alors une image qui lui fit tellement d'effet qu'il en fit tomber sa cuillère.
Les Dursley le regardèrent, se demandant pourquoi il avait ainsi réagi.
A la télé, on voyait un homme mort, le visage figé dans une expression de stupeur et le commentateur disait :
D'après le rapport du médecin légiste, ces 3 personnes semblent en parfaite santé. Il n'ont pas été empoisonnés ni tués par une quelconque arme. Il semblerait juste qu'ils soient morts de peur.
Ce visage surpris, ce corps normalement sain, mort sans raison apparente… C'est là le résultat d'un Avada Kedavra ! Cela voulait dire que Voldemort faisait aussi des victimes chez les moldus. Et si … Non, il ne pouvait pas…
-On peut savoir pourquoi tu fais cette tête mon garçon ? Demanda l'oncle Vernon, les yeux plissés.
-Heu… pour rien.
Si jamais Harry disait la vérité à l'oncle Vernon, celui-ci partirait dans une colère noire. Le simple fait de dire "magique" le rendait violet de colère.
Harry ne dit plus mot et fonça dans ça chambre écrire un mot à Sirius. Après tout, il avait de quoi avoir peur puisque Voldemort avait déjà essayé de le tuer alors qu'il venait à peine de revenir à la vie. Il attrapa donc un morceau de parchemin et écrivit :
Chère oncle Sirius,
En regardant le journal ce matin, j'ai vu que Voldemort avait commencé à faire des victimes parmi les moldus. Est-ce que tu crois que je suis vraiment en sûreté chez les Dursley ? Si Voldemort arrive à me retrouver, ils ne pourront rien contre lui.
J'ai reçu une lettre de Ron qui m'invitait à aller chez eux. Je pense que j'y serai plus en sûreté qu'ici. Je vais donc partir dès cet après midi chez eux. Si tu veux m'y rejoindre (je pense qu'ils seront d'accord, même si Arnold Weasley travail au ministère), j'y resterais jusqu'à la fin des vacances.
Harry.
Il attacha le mot à la patte de Edwige, apparemment ravie de faire un long voyage, puis la laissa partir par la fenêtre.
_
Le lendemain, Harry fut réveillé par Edwige. Il avait laissé la fenêtre ouverte pendant la nuit et elle s'y était glissée le matin.
-Déjà ma belle ? T'as été très vite ou tu l'as pas trouvé ?
Le parchemin attaché à la patte d'Edwige lui fit comprendre qu'elle avait fait vite.
Il prit ses lunette et se les mit sur le nez avant de prendre le parchemin et de le lire, tout en caressant la chouette.
Mon cher filleul,
D'accord, va chez les Weasley, tu devrais y être plus en sécurité que chez ces moldus de Dursley.
Pour ce qui est de te rendre visite, je ne suis pas sûr qu'ils accepteraient de me voir, bien que Ron leur ait dit que j'étais inoffensif.
Je t'écrirais de temps en temps. Pour que le message t'arrive plus vite, j'ai fait transplaner Edwige, j'espère qu'elle ne m'en veut pas.
D'après ce que m'écrit Dumbledore, Voldemort à effectivement reprit du service.
Il a déjà attaqué 13 sorciers et 4 moldus. Les ministère est une fois de plus très occupé et les sort d'Oubliettes reprennent du service. Le ministère recrute des Aurors en ce moment pour contrer l'attaque des Mangemorts. Les géants ont accepté de devenir des alliés des sorciers plutôt que de Voldemort et les Détraqueurs ont été renvoyés d'Azkaban. C'est fou ce que peut faire Fudge quand c'est Arnold Weasley qui le lui demande au lieu de Dumbledore.
Je te laisse maintenant, écris-moi dès que tu es chez les Weasley.
Ton parrain Sirius.
Harry mit Edwige dans ça cage et prépara ses affaires de classe et ses valises. Il partirait dès la fin du déjeuner. Il s'habilla et descendit ses valises pour les mettre dans le salon à côté de la cheminée. Il vérifia bien qu'il avait toujours la poudre de cheminette dans la lettre de Ron puis alla déjeuner avec les Dursley.
-Bonjour ! Dit-il, on grand sourire aux lèvres.
-C'était moi ce bruit ?
-J'ai descendu mes valises. Je pars après mon petit déjeuner chez les Weasley.
-Ho ? Vraiment ?
-Oui, vraiment !
-Et par quel moyen tu comptes t'y rendre ?
-Par… Heu… la cheminé…
-C'est hors de question ! Pas de ça ici !
-Pardon ?
-Il est hors de question que cette cheminée serve à nouveau à te transporter !
-Mais !
Harry réfléchit un peu, puis prit un air faussement déçu et lança :
-J'avais déjà prévenu mon parrain de mon arrivé…
L'oncle Vernon se raidit. S'il y avait bien une personne dont son oncle avait peur, c'était de son parrain, Sirius Black, le "dangereux" évadé de prison.
-… Bon, mais c'est bien la dernière fois que tu fais ça mon garçon !
-Promis !
Harry avala son pamplemousse d'une traite devant la mine déconfite de son cousin Dudley, apparemment déçu que son père lui ait permit de faire de la magie.
Quelqu'un frappa alors à la porte. La tante Pétunia alla ouvrir. On entendit alors un cri strident retentir et la tante Pétunia appela l'oncle Vernon. Harry sortit en même temps que lui et se figea sur place. Devant une tante Pétunia tremblant de la tête aux pieds, dans l'encadrement de la porte, se trouvait un homme vêtu d'une grande cape noire avec des yeux de braise, montrant la tante de sa baguette magique…
-Lord Voldemort ! Souffla Harry !
Une grande lumière verte jaillit alors de la baguette de Voldemort et toucha la tante Pétunia, qui s'effondra au sol, inerte, morte…
-Pétunia !
-Maman !
Les yeux fixèrent alternativement Dudley, puis l'oncle Vernon, et…
-Avada Kedavra ! Avada Kedavra !
Deux sorts de mort atteignirent respectivement l'oncle Vernon puis Dudley, puis les yeux rouge sang fixèrent Harry.
La douleur de sa cicatrice devient extrême et il plaqua ses mains contre elle. Il observa Voldemort, il avançait, lentement, puis il leva haut ça baguette. C'est à ce moment que de la porte, surgit Sirius Black.
Voldemort fit volte-face et observa Black.
-Harry ! Tu vas bien ? Demanda t'il.
-K> demanda-T-IL
-Qu'est-ce que tu fais là ? Hurla Harry.
La douleur de ça cicatrice produisait en lui des mots de tête incroyable, ses oreilles bourdonnaient et il pouvait à peine rester debout.
-Je vais l'occuper, pars par la cheminée !
-Mais…
-Pas de mais ! Dépêches toi !
Harry courut dans le salon jusqu'à la cheminée et ferma la porte.
Mais comme faire rentrer ses valises en même temps que lui en un seul voyage ? A ce moment, Sirius traversa la porte, éjecté par Voldemort. Il atterrit lourdement sur le sol et se mit soudain à rétrécir !
-Je vais t'écraser comme un insecte Black !
C'était fort probable étant donné que Sirius n'était désormais pas plus gros qu'une chaussure. Harry eu une idée, Il sortis ça baguette et la pointa vers Voldemort en criant.
-Reducto !
Aussitôt, Voldemort se mit à rétrécir comme son oncle. Harry, réalisant à peine ce qu'il venait de réussir, visa alors son parrain.
-Amplificatum !
Sirius repris alors peu à peu ça forme normale, et aussitôt cria vers le mini-Voldemort :
-Stupéfix !
Voldemort arrêta alors de bouger. Sirius se tourna vers son filleul.
-Ca ne marchera pas bien longtemps avec lui. Dépêches toi de réduire toutes des valises et on s'en va !
-D'accord, en attendant, dis moi pourquoi tu es ici ?
-J'ai voulu venir m'assurer que les Dudley te laisseraient partir, dit il tandis qu'il lançait un sort de Réduction à l'une des valises. On dirait que je suis venu à temps.
Pendant ce temps, le petit Voldemort commençait à se remettre à bouger, imperceptiblement. Harry lança une pincéE de poudre de cheminette dans un feu préalablement allumé par Sirius (Incendio). Il mit toutes ses valises dans ça poche.
-Edwige ! Elle est en haut !
Il alla rapidement à l'étage la chercher ça chouette.
-Bon, ça va peut être pas te plaire mais… Reducto !
Edwige rétrécit et devient alors aussi petite que Coq, ce qui parut lui déplaire fortement. Il la mit dans sa cage (Reducto) puis redescendit. Les flammes étaient toujours vertes, bleu pâle, Il prit Sirius par la main puis ils s'avancèrent vers elles.
-Le Terrier !
Le salon bascula autour d'eux et ils se trouvèrent dans l'étroit couloir, les cheminées passants autour d'eux, ils s'arrêtèrent finalement dans le salon du Terrier, sur Mrs Weasley qui faisait tranquillement son tricot avant de se faire écraser par Harry Potter et Sirius Black. Molly Weasley à terre, Sirius Black au-dessus d'elle et Harry Potter au sommet, le tableau avait franchement de quoi faire rire, ce que ne se privèrent pas de faire Fred, George et Ron Weasley, tous trois assis sur un fauteuil à côté de la montagne de sorcier.
-Veuillez nous excuser madame Weasley, on a du mal à contrôler ses atterrissages quand on est à deux dans une cheminée…
-Je comprends…
-Qu'est-ce que vous faites-la ? S'exclama Ron en les aident à se relever.
-Je suis venu un peu en avance… Je… me suis fait attaqué par Voldemort.
-QUOI ?
-Heureusement que Sirius est arrivé à temps…
Une fois Mrs Weasley relevée, elle se dirigea dans la cuisine pour préparer le repas de midi. Bien que Ron et les jumeaux lui aient répété 100 fois qu'il était innocent, elle ne pouvait s'empêcher de regarder Sirius de travers. A chaque fois qu'il l'effleurait, elle sursautait en poussant un petit cri avant de lui faire un grand sourire forcé. Harry déposa ses affaires dans la chambre de Ron (Amplificatum) et mangea à ça faim.
-Mon pauvre chéri, la mort des Dursley doit te faire énormément de peine ! Pleura Mrs Weasley.
-Non… en fait, ça ne me fait rien du tout, affirma Harry.
-Tu es sur ?
-Certain… C'est triste que ces innocents soient morts, mais je ne les pleure pas.
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Les élèves de 5ème année devront se munir des livres suivants :
-Livre des Sorts et Enchantements niveau 5
-Créatures Magiques des Forêts de Poudlard
-Voir le future dans un grain de Sable
La rentrée des classes se fera le 1er septembre.
-On ira acheter tout ça demain, Ok Harry ?
-Ok.
Cela faisait un mois que Harry était arrivé chez les Weasley. Sirius était repartit se cacher au bout d'une semaine et tout le monde était aux petits soins pour Harry, ce qui avait le don d'énerver prodigieusement Ron. Mr Weasley n'était quasiment jamais à la maison. Le retour de Voldemort lui donnait énormément de travail. Les relations amicales avec les géants ne plaisaient pas à toute la population et certains les provoquaient exprès pour provoquer une bagarre qui permettait à des journalistes tel que Rita Sketter de faire couler un peu plus d'encre sur la "violence instinctive" de ceux-ci. Un jour ou Mr Weasley était présent au dîner, il déclara à Ron, Harry et Ginny :
-Je viens de voir votre nouveau professeur de Défense contre les Forces du Mal !
-Vraiment ? C'est qui cette fois ? Winky, Dobby ou Voldemort lui-même ?
-Non, cette fois ci ce n'est ni un Animagus, ni une personne au service de Voldemort, ni un incompétent notoire, ni Barty Croupton sorti de l'emprise de l'Imperium. C'est un Auror !
-Vraiment ?
-Oui, et un très jeune Auror ! Il a 22 ans mais il est très compétent !
-Mais, si il est prof à Poudlard, il ne pourra pas exercer ça fonction d'Auror !
-Il l'exerce au travail ! Il a pour rôle de défendre Poudlard en cas d'attaque de Voldemort ou d'un Mangemort.
-Et le repas c'était terminé sans plus de renseignement.
Le temps eu l'air de passer à toute vitesse pour Harry et lorsqu'il arriva en face du Poudlard Express, il ne s'était même pas rendu compte que cela faisait déjà un mois qu'il s'était fait attaquer par Voldemort. Il monta vite dans le wagon et lui et Ron se dépêchèrent de trouver Hermione. Il la trouvèrent finalement dans un compartiment vide, en quasi-tête de train.
-Salut les garçons ! Leur lança-t-elle lors qu'ils arrivèrent dans son compartiment.
-Alors Hermione ! Tu as passé de bonnes vacances chez Krum ? La questionna Harry.
-Oui… Affirma-t-elle tandis que le rose lui montait aux joues. Il vit dans une maison superbe au bord d'un lac, un endroit très calme… Mais nous ne sortons pas ensemble si c'est ce que tu veux savoir…
-Hein ??? S'exclama Ron
-Ben oui ! Ce serai ridicule enfin ! On ne pourrait ce voir que pendant les vacances !
-Mouai, mais bon, vous aviez l'air amoureux l'année dernière…
-Oui, mais l'année dernière, c'était l'année dernière… On est revenu à la réalité maintenant. Dit-elle d'un air plus sérieux et raisonneur que jamais.
-Et tu es au courant que les Dursley ont été tués quand Harry est parti chez moi ?
-Pardon ???
-Quand Harry est venu chez moi, Voldemort à débarquéchez les Dursley et il les a tous tués. Harry s'est échapper par la cheminée avec l'aide de Sirius.
-Sirius ? Qu'est-ce qu'il faisait là-bas ?
-Il voulait voir si les Dursley me laissaient partir…
-Mon dieu… Tu es triste Harry ?
-Non. Ils étaient innocents, mais je n'aimai pas les Dursley et ils ne m'aimaient pas…
-Ho ! Le pauvre Harry Potter le mal aimé !
Les trois amis se tournèrent pour voir qui venait de dire ça. C'était Grabbe, à côté de Goyle. Mais pas de trace de Drago…
-Tien, votre maître n'est pas là en ce moment ?
-Pardon ?
-Les petits chiens chiens de Malefoy se promènent sans laisse maintenant ?
-Tu vas voir Potter !
-Grabbe !
Malefoy était à présent derrière ses deux "amis" et leur lançait un regard noir. Il attrapa chacun par le col et les envoya dans un compartiment à côté. Harry, Ron et Hermione, les yeux comme deux ronds de flan, la mâchoire à terre se regardèrent.
Malefoy venait de dire à Grabbe et Goyle de les laisser tranquille ? Est-ce que le fait de c'être retrouvé le visage couvert de tentacules l'a fait réfléchir ? Le reste du voyage se déroula dans la bonne humeur. Le ciel était bleu et pour une fois, ils ne seraient pas trempés en arrivant à Poudlard. Les deux années précédentes, ils étaient arrivés plus trempés que des touristes au Bengla-Desh pendant la mousson.
Arrivé en gare, ils entendirent l'habituelle voie d'Hagrid.
-Les premières années ! Suivez-moi ! Salut les enfants !
-Salut Hagrid !
-Je vous retrouve mardi ? J'emmène les élèves avec moi.
-Ok, à mardi !
Harry se tourna vers Ron.
-Ca veux dire qu'on à cour de Soin aux Créatures mardi ?
-On dirait !
_
Les 2ème, 3ème, 4ème, 5ème, 6ème et 7ème années s'assirent aux tables respectives à leur maison (Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard). L'ambiance était détendue, joyeuse, en tout cas beaucoup plus que la fin de l'année dernière. Les élèves avaient porté un toast en la mémoire d'un élève de Poufsouffle, Cédric Diggory, qui était mort devant Harry lorsqu'il avait eu à combattre Voldemort à la fin de la 3ème épreuve de la coupe de Feu. Ils avaient aussi du faire face à la terrible nouvelle, qu'était celle du retour à la vie de Lord Voldemort. Mais à présent les élèves étaient joyeux, riaient, chantaient. Le plafond magique donnait la vue sur un magnifique ciel étoilé où l'on voyait apparaître la pleine lune.
Les professeurs étaient tous à leur table, et les deux sièges vides comme à leur habitude étaient ceux de Hagrid, le Garde chasse de Poudlard et depuis peu professeur de Soin aux Créatures magiques, et le siège du professeur de Défense contre les Forces du Mal, bien souvent tout aussi vide à la fin de l'année puisque les professeurs de Défense contre les Forces du Mal ne duraient jamais plus d'une année.
Les 1ère annés arrivèrent bientôt et Hagrid prit ça place à la table des professeurs. La cérémonie de la répartition commença par la chanson du Choixpeau puis la répartition elle-même. Une fois terminée, Dumbledore se leva et commença son petit discour.
-Les enfants, une nouvelle année commence. Et j'espère fortement qu'elle se terminera mieux que la dernière. J'ai donc prit le soin de nous assurer une protection contre la terrible menace qui plane au-dessus de nous. C'est pourquoi, votre nouveau professeur de Défense contre les Forces du Mal est cette année un Auror nouvellement recruté, du non de Frore Lorer !
Harry se fendit d'un rictus moqueur en pensant au pauvre Rogue qui attendait toujours le poste.
Le professeur sorti de l'ombre tandis que les élèves l'applaudissaient. Vêtu comme tous les sorciers, il avait de longs cheveux noirs détachés et son visage portait un sourire chaleureux. Harry remarqua surtout le bandage qu'il avait au bras droit, sans doute récemment causée par une bataille avec un Mangemort.
La présentation passée, je tiens aussi à vous énoncer une nouvelle règle indispensable suites au retour de Lord Voldemort. Il est désormais interdit de sortir de l'établissement et ce à n'importe quel moment de la journée sauf en cas d'accompagnement par l'un des professeurs. Je souhaite aussi vous annoncer la réouverture du Club de Duel sous la tutelle du professeur Lorer. Maintenant, que le banquet commence !
Le repas apparut sur la table et les élèves se jetèrent dessus comme des cannibales.
Les elfes de Maison avaient fait des quantités de plats succulents et ils avaient la sensation que se serai un péché d'en laisser une miette !
-A propos Hermione, j'espère que tu ne vas pas nous ressortir des badges de la S.A.L.E ?
-Non, les elfes de maison n'ont qu'a se débrouiller tout seuls !
C'est alors que les fantômes firent leur entrée. Pour cette année, ils avaient mit au point un ballet qu'ils dansèrent sous le faux ciel étoilé de la Grande Salle. A la fin de la danse, ils allèrent chacun à la table qu'ils représentaient. Nick Quasi-sans-tête s'assit prêt de Harry Ron et Hermione.
-Alors Sir Nicolas ? L'été à été bon ?
-Merveilleux ! Le Club des Chasseurs sans tête a finalement accepté ma candidature cette année !
-Vraiment ? C'est génial !
-Je me suis amusé comme un petit fou ! Mais cela fait quand même du bien de revenir à Poudlard.
-Je vous comprends…
Le banquet terminé, les élèves montèrent dans leur salle. Dans les chambres, leurs valises les attendaient bien rangées devant leur lit. Harry remarqua alors une petite boule sur ça propre valise.
-Dobby ?
L'elfe de maison se réveilla en entendant prononcer son nom. Il devait somnoler la depuis un bout de temps.
-Monsieur Harry Potter est revenu entier ! Dobby est si content monsieur ! Dobby à apprit que monsieur avait été attaqué par Celui-dont-on-ne-devait-pas-prononcer-le-nom ?
La petite voie de Dobby c'était fait attendre dans tout le dortoir et tous les élèves tournèrent la tête vers Harry, les yeux grand ouverts.
-C'est exact Dobby.
-Ho monsieur ! Dobby à eu si peur quand il a apprit la nouvelle par monsieur Dumbledore ! Dit Dobby, de grosses larmes au bord des joues.
-Dumbledore ?
-Oui monsieur ! Monsieur Dumbledore sait que Dobby tient beaucoup à Harry Potter monsieur ! Ho oui ! Et il le tient au courant de tout ce qui lui arrive !
-Vraiment ?
-Oui. Ho ! Dobby allait oublier monsieur, Dobby va être papa !
-Vraiment ?
-Oui monsieur ! Dobby et Winky sont de grands amis ! Plus que des amis monsieur ! Et Dobby et Winky vont êtres parents !
-Mais c'est génial ça ! Lança Ron, allongé sur son lit, déjà en pyjama.
-Oui monsieur, et Dobby voudrait, pour montrer ça gratitude envers celui qui l'a libéré, en faire le parrain de son enfant !
-Moi parrain ? S'étonna Harry.
-Ho monsieur, vous feriez tellement plaisir à Dobby si vous acceptiez !
-Mais bien sur que j'accepte !
-Ho ! Monsieur Harry Potter est si généreux ! Gémit Dobby avant de pleurer dans le pull que lui avait offert Ron. Et monsieur Weasley accepterait-il de devenir lui aussi son parrain ?
-Mais, il n'y a pas deux parrains !
-Chez les elfes de maison si ! Alors monsieur ?
-Oui ! Evidement !
-Ho ! Ho ! Dobby est si heureux ! Dit-il, en serrant contre lui un morceau de son pull. Dobby va aller de ce pas annoncer la grande nouvelle à Winky monsieur !
-A plus tard Dobby !
-A plus tard monsieur Harry Potter !
Ron et Harry se couchèrent ensuite. Demain, une nouvelle journée commençait.
_
Les élèves entrèrent dans la salle de cours contre les forces du mal. Le professeur Lorer les y attendait. Il leva les yeux de son livre, son sourire au visage, et les observa s'installer en silence. Il fit un clin d'œil à Harry lorsque celui-ci le regarda et Harry lui sourit en remerciement.
-Bien ! Bonjours à tous. Comme vous le savez, je suis votre professeur de défense contre les forces du Mal. Bien, aujourd'hui nous allons apprendre à contrer une attaque des plus dévastatrice. Il s'agit du sort Tremblosa qui envois une grande onde de choc causant une fissure dans le sol et pouvant vous coûter la vie si elle est bien lancée dans votre direction… Pour contrer ce sort, il suffit de mettre sa baguette en face de son visage… Allez-y !
Les élèves s'exécutèrent.
-Et de prononcer la formule : Deum Tremblosa.
-Deum Tremblosa !
-Bien, maintenant quelqu'un veut-il s'essayer à cette parade ? Un volontaire ? … Monsieur Potter ?
Harry sursauta. Lorer l'observait.
-Voulez-vous tester votre capacité à contrer ce sort ?
-Heu… oui, d'accord…
-Bien, venez vous positionner face à moi s'il vous plait.
Harry se leva et alla se placer face à Lorer, évitant au passage le croche pied que lui tendait Grabbe en lui lançant un regard noir.
-Bien, d'abord révisons ! Vous placez votre baguette devant votre visage… Bien… Et dites Deum Tremblosa… Bien… Vous êtes prêt Potter ?
Harry fit oui de la tête et plaça la baguette contre son front. Lorer mit ça baguette derrière lui et prépara son sortilège. Il fit fendre l'air ça baguette dans la direction de Harry et une étincelle sortit de ça baguette.
-Deum Tremblosa !
A peine Harry avait-il dit sa formule que l'étincelle atteignait le sol et le fit se fendre dans un énorme rugissement ! Des morceaux de dalles s'envolaient tandis que la fissure avançait vers Harry. Arrivée à ces pieds, la fissure stagna et se sépara en deux. Puis le sortilège s'atténua et le grondement cessa.
-Joli Potter ! Vous êtes décidément doué pour contrer des sorts puissants… dit il en pointant de la baguette la cicatrice sur le front.
-Merci…
-Bien, retournez vous asseoir.
Harry retourna à ça table, à côté de Ron. A la fin du cours, Hermione s'avança vers eux…
-Vous n'avez pas remarqué ?
-Remarqué quoi ? Demanda Ron.
-Il n'a pas prononcé la formule pour lancer son attaque !
-Ha oui tiens. Et ça veut dire quoi ?
-Je ne connais que deux sorciers qui n'ai pas besoin d'énoncer les sorts en dehors des trois sortilèges interdits… Dumbledore… et Voldemort !
-Et ?
-Et alors je vais lui demander de ce pas comment il a réussi ça malgré son jeune age ! Vous venez ?
-K>Hinhinhin
Les deux jeunes hommes se regardèrent, soupirèrent et suivirent leur amie vers le professeur, qui se replongeait dans son livre.
-Monsieur ?
Le professeur leva le nez de son livre et adressa un sourire aux trois élèves.
-Oui Miss Granger ?
-J'ai remarqué que vous n'aviez pas énoncé votre sort en le lançant, comme je ne connais que Dumbledore et Vous-Savez-Qui capable de faire cela, j'aimerai savoir comme vous y êtes arrivé ?
-Ho ! Vous semblez bien au courant Miss Granger ! Effectivement, il n'y a que Dumbledore et Vous-Savez-Qui capable de faire cela, mais à force d'effort incessants et d'entraînement, j'ai finalement réussi à le faire moi aussi !
-Mais, pourquoi vouliez-vous absolument réussir à lancer un sort sans le prononcer ?
Le professeur effaça son sourire, soupira, s'enfonça dans ça chaise et parla.
-Lorsque j'étais jeune, j'ai voulu défendre un ami contre un disciple de Voldemort. Mais le sorcier m'a entendu prononcer le sort et m'a envoyé voler quelques mètres plus loin. Mon ami à réussi à se défendre mais il à été blessé. Si je n'avais pas énoncé mon sort, j'aurai pu empêcher cette blessure qui aujourd'hui le fait souffrir. Alors, je me suis entraîner à ne plus dire mes sorts pour que, si ce genre de situation se représente, je ne fasse pas la même erreur.
-Je… Je vois… Désolée…
-Ho, ce n'est rien Miss Granger, la cicatrice ne le fait pas toujours souffrir… mais elle pourrait ne rien lui faire si je l'avais empêché… C'est tout ce que vous vouliez savoir ?
-Oui… Merci !
-De rien !
Il reprit son sourire et se replongea dans son livre… Hermione le regarda et un sourire se dessina sur son visage.
-Vous lisez "La Sombre Epoque" !? C'est le livre sur les évènements lorsque Volde… Vous-Savez-Qui semait la terreur chez les sorciers !
-C'est exact ! Vous l'avez lu Miss ?
-Oui ! Enfin, je suis entrain de le lire… Vous en êtes où ?
-J'en suis à la moitié, mais j'ai hâte d'arriver à la fin pour voir ce qu'ils disent sur… Monsieur Potter !
Il observa Harry, qui se mit à rougir.
-Bon, on doit y aller Hermione ! Lâcha Ron.
-D'accord les garçons, à demain monsieur Lorer !
-A demain les enfants !
_
-On dirait que le prof est un de tes fans Harry !
-Pardon ?
-Tu n'as pas remarqué ? Il n'arrête pas de parler de toi ! "Monsieur Potter veut-il tester ça résistance ?" "J'ai hâte de savoir ce qu'ils disent sur Monsieur Potter !"… On dirait qu'il t'apprécie beaucoup !
-C'est vrai…
-Bonjours…
Les élèves se retournèrent pour voir Rogue derrière eux. Comme d'habitude, il arrivait par derrière quand on l'attendait le moins.
-Bonjours professeur Rogue… dirent-il avec difficulté.
-Est-ce que monsieur Lorer est là ? J'aurai un petit service à lui demander… Demanda t'il en détachant bien chaque mot.
-Oui…
-Merci… et essayez de ne pas arriver en retard aujourd'hui…
-Oui professeur Rogue…
Rogue entra dans la salle de cour du professeur Lorer et les 3 inséparables coururent vers leur cour de métamorphose.
_
-Les enfants, ce matin j'ai omis de vous faire pars d'une autre règle…
La salle fit silence et laissa parler le directeur de Poudlard.
-Il est absolument interdit de se rendre dans la salle qui se trouve à l'extrême sommet de la salle des escaliers à moins que vous ne soyez un tantinet suicidaire… Merci.
Harry se pencha vers Ron et Hermione.
-Dites, moi j'ai bien envied'y aller dans cette salle, pas vous ?
-En temps normal, je te suivrai Harry, mais… Maintenant que Tu-Sais-Qui est revenu, il serait préférable d'éviter les ennuis tu ne crois pas ?
-… T'as raison Ron…
-En plus, il serait bon pour toi de passer plus de temps à l'entraînement de Quidditch plutôt qu'à l'exploration des passages secrets de Poudlard comme tu n'as pas eu d'entraînement l'année dernière à cause de la Coupe de Feu, tu a du perdre un peu la main.
-Ok, c'est bon, j'ai compris ! Je n'irai pas dans cette salle…
Ron et Hermione se regardèrent d'un air complice puis mangèrent avant de retourner en cours.
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Le dernier cours était terminé et le repas terminé. Les élèves se dirigèrent vers la salle des escaliers pour aller dans leur dortoirs. Mais soudain, tout le monde se figea. Des cris de bête retentissaient depuis le haut des escaliers. Des cris monstrueux mêlés à des bruits de sortilèges. Dumbledore écouta attentivement les bruits. Soudain, le plafond de la salle des escaliers se fissura et les morceaux tombèrent au fond de la salle. Un énorme dragon à deux têtes se posa lourdement en équilibre sur 4 escaliers différents. L'une de ses têtes crachait du feu, l'autre de la glace.
-C'est un dragon Bilantal ! J'ai lu un livre la dess…
-C'est pas l'moment Hermione !
Harry et Ron poussèrent Hermione en dehors du souffle de feu dévastateur du Bilantal. C'est alors qu'un arc de fumé rouge frappa la dragon de plein fouet, se qui le fit presque tomber. Le professeur Lorer arriva alors à 200 Km/h avant de se stopper à quelques centimètres de sol. Il avait volé depuis le haut de la salle jusqu'au dragon. Son visage était glacial et il fixait le dragon avec fureur. Il n'y avait plus de sourire chaleureux sur son visage. Juste un haine profonde envers le Bilantal. Le dragon secoua ses tête avant de fixer le sorcier. Les deux têtes crachèrent leur élément en même temps, mais Lorer les stoppa d'un simple mouvement de baguette.
L'escalier où se trouvait Lorer se mit alors à se déplacer. L'un des escalier sur lequel reposait le Bilantal se mouvât lui aussi et le dragon se recroquevilla sur un seul escalier. Les deux ennemis tournaient l'un autour de l'autre sans jamais se quitter du regard. La tête de glace cracha en direction du professeur, mais celui-ci s'envola dans une magnifique roulade arrière pour atterir sur une rambarde. La tête de Feu essaya alors de l'attraper dans sa gueule mais le professeur refit un bond vers un autre escalier.
Les deux ennemis s'observèrent longuement, sans faire un seul mouvement. Le professeur Lorer sauta alors en l'air et se stabilisa un peu au-dessus du dragon à deux tête. Il fit alors tourner ça baguette entre ses doigts. Puis, un grand éclair vert sortis de ça baguette et frappa de plein fouet le ventre du monstre. Celui-ci chancela, il essayait de reprendre sa respiration mais ses poumons semblaient bloqués et il ne pouvait plus respirer. Il s'écroula alors et alla rejoindre les morceaux du plafond en bas de la salle. Il s'écrasa lourdement sur le sol, ce qui fit trembler tous les escaliers.
Le professeur, même pas essoufflé, vola lentement vers Albus Dumbledore. Il lui murmura quelque chose à l'oreille. Dumbledore émit un petit rire puis il annonça à tous les élèves :
-Les enfants, l'accès au tout dernier étage n'est plus interdit ! Hé hé ! Bravo professeur Lorer ! Dit-il à l'intention de Frore Lorer en lui serrant la main et en le secouant de l'épaule.
Ron observa Harry avec des yeux ronds.
-Et ben ! Cette fois, le club de duel va être vachement plus intéressent qu'avec ce guignol de Giledroy Lockheart
-Ca, c'est clair !
A suivre…
Fics Harry Potter
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