Heero au main d'oz

 

Auteur : Skélie, la folle dingue (avec l’aide de mon ange noir, Lumina)
Genre : sérieux, un peu de POV.
Série : Gundam Wing
Couple : faut lire pour savoir s’il y en aura
Note de l’auteur : Les gundams boys sont pas a moi, je suis triste, mais bon je les ai emprunté et je les rendrait, plus tard, bien plus tard


Chapitre 2

 

Et ils se dirigèrent vers l’après vente du magasin pour récupérer leur achat, après ils rentrèrent. Et Heero demanda à voir Duo, le colonnel n’eu pas le choix que de demander à Lady Une de le conduire à la chambre où se trouvait le pilote du Deathcyte. Elle le fit entrer et lui dit que quand il aurait fini il faudra qu'il frappe à la porte et que les gardes lui ouvriraient.
En entrant il aperçu Duo qui jouait à la console, et l’américain le remarqua aussi
- Ils ont une drôle de façon de traiter leur prisonnier
- De quoi tu te pleins? T’es bien logé il me semble
- Ouai, bien sur hee-chan je suis bien logé, mais
- Mais ?
- Je m’ennuie grave, son nuls leurs jeux, et j’ai pas le téléphone, sinon oui ça va. Et toi qu’est qu’il te veulent?
- Tu me croirais pas si je te le disais
- Dit toujours, on verra bien après
- Et bien je suis devenu le fils de Kuschrénada, ne me demande pas pourquoi il a voulu que je devienne son fils, il n’a pas voulu me le dire.
- Finalement ma situation n’est pas si mal

La porte s’ouvrit sur Lady Une qui envoya un regard haineux à Heero. Etant ce qu' il est, Heero lui envoya le regard-de-la-mort-qui-tue-même-si-t’es-déjà-mort. Si Lady une n’avait pas emmené le japonais rapidement, Duo aurait certainement éclaté de rire devant le combat du regard qu’ils faisaient.
Lady Une emmena Heero dans sa chambre, et quelle ne fut pas sa surprise en découvrant l’ordinateur qu’il avait vu quelques heures plus tôt dans un magasin, branché et près à l’emploi. Il regarda Treize qui sourit à la vu de la tête que faisait le pilote du Wing.
- Il te plaît l’ordinateur?
- Oui, bien sur, mais…
Treize fit un signe à Lady Une pour qu'elle les laisse seul un moment, elle s’exécuta et repartit s’occuper de ses petites affaires.
- Quelque chose t’embête mon ‘’poussin’’?
- Ne m’appelez pas ‘’poussin’’. Pourquoi avoir acheté l’ordinateur ???
- Parce qu’il te plaisait
- oui il me plaisait mais…
- Mais quoi? Tu es désormais mon fils et l’ordinateur te faisait plaisir, alors je l’ai acheté, mais ne t’attends quand même pas à ce que je t’achète tout ce qui existe, seulement ce qui me paraît utile. Mais même s' il y a Internet tu n’as pas accès à tout. Amuse toi bien. Il laissa son fils, qui se mit tout de suite en œuvre pour contacter les autres pilotes. Mais au moment d’envoyer le e-mail, l’ordinateur lui demanda un reconnaissance vocal.
« Oui je n’ai pas accès a tout, seul Kuschrénada doit pouvoir envoyer les e-mails, pour que je ne puisse pas prévenir les autres, Raaaaaaa, il faut que je nous sorte de là, mais je ne sais pas comment »
Il abandonna l’idée de prévenir ses compagnons par Internet, et partit prendre un douche, après avoir éteint l’ordinateur.
Vers 8 heures du soir, il descendit dans le grand salon, car c’était à cette heure que le repas du soir était servit, et il ne tenait pas a ce que Lady Une aie le chercher.
Lorsqu’il arriva dans le grand salon se fut Lady Une qui le réceptionna avec un majestueux regard noir, mais le Général Kuschrénada n’était pas là.
- Où est mon « père » ????
- Il est en réunion, c’est pour ça que ce soir on dîne en tête-à-tête, tous les deux.
- C’est ça en tête-à-tête, j’allais vous le dire. Demandez à un domestique de monter un plateau repas dans ma chambre.
- Pour qui tu te prends pour me parler ainsi, et puis d’abord lorsque le Général Kuschrénada est là tu ne fais pas tant de manière et….
- Il n’est pas là donc je ne vois pas pourquoi je devrais dîner avec une lèche botte.
- Comment oses-tu petit prétentieux ?! Ce n’est pas parce que le Général Kuschrénada veut que tu joues le rôle de fils que tu peux te permettre de me parler comme ça. Tu n’es pas son fils, et tu ne le seras jamais, tu n’es qu’un petit bâtard, qui n’as aucun droit, tu devrais être dans un cachot à crever de faim. Tu n’es que de la vermine qui ne devrait pas avoir le droit de vivre

Bien que Heero ne veuille pas l’avouer, ce que lady une venait de lui dire lui fit particulièrement mal, et il partit en direction de sa chambre en courrant, des larmes naissant au coin des yeux. Arrivé dans sa chambre, il se laissa tomber sur le lit, laissant silencieusement ses larmes couler.
« Je la déteste, elle ne sait rien de moi, rien du tout, elle n’a pas le droit de me parler comme ça, ce qu’elle a dit m'a quand même blessé, je voyait peut être en ma situation, la capacité d’avoir une vraie vie. Mais peut être qu’elle a raison, que je n’ai pas le droit à avoir une vraie vie. »

Ayant finit sa réunion plus tôt, Treize décida de monter voir son fils, ayant vu que lui et lady Une ne pouvaient pas se voir, il craignait le pire avec ces deux la, il décida de vérifier si Lady une ne l’avait pas tué. En entrant dans la chambre, il crut d’abord voir Heero dormir, mais en y regardant de plus près on pouvait s’apercevoir qu’il pleurait. Il s’approcha doucement du lit, pour s’asseoir à coté de son fils qui était toujours allongé, il lui retira doucement une mèche de cheveux des yeux et lui demanda :
- Qu’est ce qu’il y a ???
- Rien, y a rien du tout
- Allons, ne dit pas qu’il n’y a rien car tu pleures il y a forcement quelque chose. Ecoute, quoi que Lady Une t’ait dit pour te blesser tu ne dois pas l’écouter c’est dans sa nature, elle est comme ça.
- C’est dans sa nature d’être méchante avec tout le monde?
- Non, pas d’être méchante, mais toujours sur la défensive, allons dit moi ce qu’elle t’as dit pour te mettre dans un état pareil ???
- Je ne veux pas en parler, ça n’a aucune importance.
- Très bien si tu le dis, mais si tu prends envie d’en parler, je suis tout ouie.
Treize allait partir quand son jeune fils décida de lui parlé de ce qui le chagrinait.
- Elle a dit quelque chose qui ma blessé.
- Et quellee est cette chose qui t’a fait tant de mal ???
- Elle a dit que je n’avais aucun droit, que je n’étais que de la vermine, quand elle m’a dit ça, ça m'a fait mal, c’est comme si elle disait que je n’avais pas le droit de vivre, mais après tout, je n’ai peut-être pas le droit d’avoir une vie normal, et d’être heureux.
- Ne dit pas ça, tu as autant le droit de vivre normalement, qu’un autre. Surtout toi. Tu n’as pas du avoir une vie des plus drôles, mais tu t’es battu pour créer un monde meilleur, même si l’ennemi ce n’est pas moi. Mais ce n’est pas ta faute, la faute revient uniquement aux adultes qui t'ont mit des fausses idées dans la tête et qui t'ont volé ton enfance. Tu as mangé ???
- Non, je n’ai rien mangé.
- Alors viens. Nous allons manger, je t’emmène au restaurant.
Leur repas se passa plutôt bien, enfin c’est ce qu’ils pensaient. Car pendant leur repas il ne virent pas les rebelles qui les observaient. En effet les rebelles ayant appris très ressemant que leur ennemi de toujours avait un fils, décidèrent de récolter des informations sur l’ado pour savoir s’il y avait un moyen de faire chanter le père.

De retour à la demeure Kuschrénada, le jeune héritier alla directement dormir. Cette soirée avait été bien plus éprouvante que ce qu’il laissait voir.


Le lendemain matin, après avoir pris son petit déjeuner Heero alla à son cours qu’il avait avec M. Ernest. Mais quelle ne fut pas sa surprise de trouver quelqu’un d’autre que son « très cher » professeur. Et cette personne n’était pas toute seule, deux autres personnes se trouvaient près de la porte comme si elles voulaient l’empêcher de partir.
- Qui êtes-vous et où est M. Ernest ?
- Ca n’a aucune importance.
- Qu’est-ce …
Heero n’eu jamais le temps de finir sa phrase qu’un des deux gardes qui était près de la porte eu vite fait de lui plaquer contre la bouche un mouchoir plein de somnifère .
- On va vite voir mon gars si ton père tient tant que ça à toi.
C’est avec un Heero inconscient dans les bras qu’ils quittèrent la demeure kuschrénada.

 

A suivre…