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lien unique Auteur : ChtiteElfie dit Chtite
Mail : ChtiteElfie@aol.com
Genre : Bonne question
Shinny : Heeuuu
Chtite : Sérieux ça c sur
Shinny : Angst aussi ^^
Chtite : Pis vois rien d'autre -_-
Muse : Shinny
Shinny : IS BAAAAAAAAACK
Kei : Ey c moi qui dit ça norm…
BAM
Shinny : Joli coup de chibi faux ^^
Chtite : Mici ^^
Disclamer : Les g-boys pas a moi T_T Mais le premier qui me pique Shinny je lui saute a la gorge (B
Mot de la béta : Ouais !!! De la place pour moi !! Qu'est-ce que je pourrais dire ? *réfléchit* Je sais ! (<<= illumination soudaine) Les petits pois et les carottes ! Heu… Bon d'accord, j'vais dire un truc sensé (Qui a dit "pour une fois" ???). J'aime bien cette fic, elle me fait réfléchir, et y peut rien m'arriver de mieux. ^^


Chapitre 16



- Duo… Pourquoi as-tu fait ça ?
- C… C'est pas moi. Je te le jure j'ai rien fait…
- Duo…

Heero eut un soupir désespéré. Il regarda une nouvelle fois le carnage de la pièce. Canapé et fauteuils éventrés composaient la majeure partie du décor. Les murs étaient couverts d'empreintes de balles et de coups de poings. Sur l'un d'eux, une affiche géante avait été posée. Son image était désormais indéchiffrable tant elle avait été déchirée, trouée, lacérée et tailladée. On pouvait néanmoins deviner qu'elle représentait un blond et un autre avec les cheveux ailes de corbeau. L'un devait avoir les yeux bleus et l'autre noir. On pouvait ainsi comprendre que l'affiche avait représenté Quatre et Wufei.

Tout ce qui représentait le mobilier solide de la pièce, tel que, la table et une armoire, avait été détruites, hachées à certains endroits, comme griffées à d'autres et enfoncées parfois. Une bête fauve enfermée dans la pièce n'aurait pas fait mieux. Le reste de la planque n'était pas en meilleur état. La cuisine était un champ de bataille, les chambres détruites de façon méthodique et tous les miroirs existant avaient été réduits en miettes.

Heero releva la tête vers Duo.

- Je te le jure …

La voix de l'américain était mourante et désespérée. Heero s'avança et immobilisa la tête du natté entre ses deux mains. Il le regarda droit dans les yeux sans une once de tendresse ou d'amour. Duo soutint tant bien que mal ce regard froid, les larmes aux yeux. Finalement le Japonais le relâcha et le pris dans ses bras.

- Je te crois.
- Merci.

Heero sentit Duo se blottir contre lui, il remercia le ciel d'être venu chercher le natté seul. Si quelqu'un d'autre était venu avec lui et avait vu le carnage il ne sait pas ce qu'il aurait pu faire. Probablement pas grand-chose.

/ Il semblerait qu'il puisse craquer à tout moment et cela pourrait faire mal… Si vous pouviez le convaincre de prendre ceci, ça voudrait mieux pour tout le monde./

Et cette fichue phrase qui continuait de le hanter. Il sortit en soutenant toujours son ami effondré. Il déposa sur les restes d'une table, une carte de crédit, pour l'instant vide, mais qu'il se chargerait de remplir pour que le propriétaire puisse réparer les dégâts. Il monta dans le 4x4 en compagnie de Duo. La panthère déjà installée à l'arrière, vint se poser sur les genoux de l'Américain réclamant des caresses. Ce dernier les lui donna sans retenue.

/ Il semblerait qu'il puisse craquer à tout moment et cela pourrait faire mal… Si vous pouviez le convaincre de prendre ceci, ça voudrait mieux pour tout le monde./

Heero manqua les envoyer dans le fossé. La phrase du médecin continuait de lui tourner dans la tête. Il n'avait toujours pas jeté les pilules, et plus le temps passait moins il avait envie de le faire. Heero ne savait pas ce qu'avait son petit ami mais peut-être cela nécessiterait des médicaments pour le soigner. Bien que l'idée d'avoir à lui donner ces pilules lui donna la nausée. Il tourna la tête vers Duo, et vit se dernier dormir, blottit contre la panthère noir. Il ne pouvait s'empêché de trouver cette scène kawai. Il ramena son regard sur la route, un petit sourire sur le visage.

/ Il semblerait qu'il puisse craquer à tout moment et cela pourrait faire mal… Si vous pouviez le convaincre de prendre ceci, ça voudrait mieux pour tout le monde./


§§§


Le lieutenant faisait l'inspection de ses soldats, quand la porte du hangar s'ouvrit à la volée sur un homme en blouse blanche visiblement essoufflé. Le brun, furieux de ce contretemps, se dirigea vers le savant qui se demandait si l'information était si urgente que ça finalement.

Le lieutenant poussa le scientifique dehors et ferma la porte derrière lui. Etonnement les soldats restèrent malgré tout au garde à vous. Quiconque connaissait un temps soit peu le lieutenant ne se risquait pas à quoi que se soit qui pourrait amener à une convocation dans son bureau.

Dehors le brun attendait, le visage convulsionné par la colère.

- J'espère que vous avez une bonne raison pour me déranger.
- Mon… Monsieur… Il…
- Plus vite.
- Il y a eut un incident. Nous avons perdu tout contrôle sur le cobaye qui a détruit entièrement la salle.
- Intéressant. En quoi cela pose-t-il un problème ?
- Si nous n'avons plus aucun contrôle sur lui qui c'est ce qu'il pourrait faire.
- Nous risquons quelque chose ?
- Pas personnellement mais…
- Alors qu'il détruise tout ce qu'il veut si ça lui chante ! Du moment qu'il ne puisse rien contre moi, il peut très bien tuer ses coéquipiers un par un cela m'intéresse autant que mon premier flingue.
- B… Bien monsieur. Mais…
- Quoi encore !
- Il… Il risque de…
- De quoi ? De détruire une nouvelle salle ?
- N… Non…
- ALORS QUOI ?
- Il… Il lui reste assez de conscience pour… Pour…
- Vous devriez savoir que je suis pas une personne patiente, alors soit vous me dite TOUT DE SUITE le problème, soit JE VOUS VIRE SUR LE CHAMPS EN RACONTANT VOS EXPERIENCE À TREIZE KUSHRENADA !
- Il a assez de contrôle sur soi pour se suicider.

Le scientifique se replia sur lui même comme à l'attente d'un coup, qui étrangement ne vint pas. Il releva la tête et écarta les bras pour savoir ce qu'il y avait mais regretta aussitôt son geste. Le lieutenant avait un sourire effrayant sur le visage et des yeux d'halluciné.

- Se suicider… Se suicider… MAIS C'EST PARFAIT. Combien de crise avant cela ?
- Nous hésitons entre trois et quatre.
- Alors activer la puce une demi douzaine de fois ! Se suicider… Jamais nouvelle aussi bonne n'arriva à mes oreilles. Si cela marche, je pourrais implanter la puce dans la véritable cible. Et alors… Et alors…

Le savant ce dit qu'il ne préférait pas savoir ce qu'il se passerait. Il plaignait déjà le pauvre cobaye qui allait peut-être mourir. Même sûrement. Il allait repartir en catimini quand le lieutenant l'interpella.

- ATTENDEZ ! J'ai une dernière question… S'il a des intentions de suicide aurons nous un moyens de nous en apercevoir.
- Oui… Sû… Sûrement.
- Parfait. Envoyez-le moi quand ces signes apparaîtront. Je veux pouvoir profitez un peu de ce jeune garçon. Il est tout à fait à mon goût.

Cette fois-ci le scientifique ne se donna pas la peine d'être discret, il s'enfuit en courant. Au départ ça avait semblé une bonne idée d'être aux ordres de ce lieutenant. Il avait le droit à certaines expériences nécessitant des cobayes humains et évidemment interdits. Mais, quand il se sentait confiant et que ses expériences furent très avancé, l'officier l'avait pris à la gorge, le menaçant de dévoiler ces expériences illégales, s'il ne faisait pas ce qu'il demandait. Il n'avait pas eut le choix et à partir de ce moment là, il avait compris qu'il s'était fait avoir.

§§§

Quatre préparait le repas dans la cuisine, quand Trowa arriva. Le blond lui sourit et repartit dans sa cuisine.

- Tu es sûr que ça va Quatre ?
- Bien sûr. Pourquoi me demandes-tu ça Trowa ?
- Après ce que t'as fait Duo…
- De quoi parles-tu ?
- De sa dernière attaque…
- Attaque ?

L'empathe se retourna ne comprenant pas de quoi parlait l'ex-mercenaire.

- Duo ne m'a pas attaqué.

Trowa le regard étrangement, puis s'approcha de lui et souleva l'une de ses manches. Quatre le regarda faire et sembla surpris de trouver ses blessures sur son bras.

- Mais… Qu'est-ce que…
- Duo.
- Comment ça Duo ? J'ai du me faire ça en mission. C'est tout. Il n'y a aucune raison de l'accuser.

Le brun le regarda comme ci quelque chose ne tournait pas rond.

- Mais qu'est-ce qu'il y a ? Tu es sûr que ça va bien Trowa ?
- Oui. J'ai du prendre un rêve pour la réalité.
- Oui peut-être. Tu veux bien m'aider pour la cuisine ?
- Bien sûr.

§§§

La voiture s'arrêta juste devant la planque. Heero sortit et contourna le 4x4 pour aller réveiller Duo. Ce dernier grogna et se bouina encore plus contre Shinny. Le Japonais continua son manège encore un petit moment, trouvant amusantes et kawai les réactions de son petit ami.

/ Il semblerait qu'il puisse craquer à tout moment et cela pourrait faire mal… Si vous pouviez le convaincre de prendre ceci, ça voudrait mieux pour tout le monde./

Il s'arrêta. Cette phrase avait le don de lui gâcher son plaisir. Il réveilla Duo, peut-être un peu brusquement. Ce dernier le regarda, les yeux encore voilés par le sommeil une expression boudeuse sur le visage.

- Hee-chan ?
- On est arrivé.
- Où ça ?
- À la planque.
- Wufei y est aussi ?
- Oui.
- Alors je préfère dormir là.

Le natté allait replongé dans le sommeil, quand Heero l'en empêcha en le soulevant et en le sortant de la voiture.

- Hee-chaaaaaaaaaaaaan.
- Tu n'as pas le choix.
- Pas justeuuuu.
- Hn.
- Tu me reposes please ?
- Tu ne t'enfuiras pas ?
- Maisheeuuuuu.

Un coup à l'arrière d'un des genoux de Heero le fit se mettre à genou. Duo en profitas pour sauté à terre et monté sur le dos de la fautive.

- Duooo !
- Je serais de retour pour le dîner !

Heero ne pu ajouter grand-chose, que l'Américain était déjà pari, à califourchon sur le dos de la panthère. Il grogna un vague : " Tu me le payeras. ", et rentra à la planque. À peine la porte fut-elle poussé qu'une tornade blonde lui sauta dans les bras.

- Ça va tu n'as rien ? Tu ne t'es pas blessé durant la mission ? Tu as mal quelque part ?
- Quatre !
- Quoi ?
- Je n'ai rien.
- C'est sur ? Je te connais, je sais que tu ne me montres jamais quand tu es blessé.
- Je n'ai rien Quatre. Tu n'as qu'a vérifié à l'Uchuu no kokoro.
- C'est bon. Mais quand même… Ils auraient simplement pu prévenir que l'on changeait de planque et demander à Duo de rentrer. Si jamais t'avais été blessé hein ? Tu l'aurais ramené malgré tout je le sais. C'est bien que tu t'occupes de lui mais une blessure ça peu s'aggraver et…
- QUATRE ! Je N'ai Rien.
- Si tu le dis. Et Duo ? Pourquoi il n'est pas la ?
- Il a décidé de faire une balade en forêt.
- Oh.
- Il m'a dit qu'il rentrerait à l'heure de manger.
- Heero… C'est maintenant l'heure.
- Il me le payera.
- Ça je n'en doute pas mais toi tu viens tout de suite remplir le gouffre qui te sert d'estomacs.
- Ne me confonds pas avec Duo.
- C'est vrai. Tu es pire que lui.
- Même pas vrai d'abord.
- Quoi ?
- Rien rien.

Heero fut poussé bon gré mal gré vers la table et assis presque de force. Les vagues protestations concernant un rapport à taper furent noyées devant le regard noir de Quatre ainsi que devant une assiette " plus garni tu meurs ".

/ Il semblerait qu'il puisse craquer à tout moment et cela pourrait faire mal… Si vous pouviez le convaincre de prendre ceci, ça voudrait mieux pour tout le monde./

§§§

Le décor autour de lui était flou. Le vent lui fouettait le visage. Lui juché sur Elle qui courait à travers la forêt. Elle évitait toutes les branches, se laissant enfin aller à une course sans fin qui lui déliait les muscles. Lui profitait de cette sensation incroyable de liberté. Parfois, un lapin ou un autre rongeur croisait leur route, alors c'était une course poursuite qui s'engageait. Le rongeur fuyait devant le prédateur, et Lui regardait ce spectacle avec amusement. Il savait qu'Elle n'attaquerait pas la pauvre bête devant lui à moins qu'Il ne l'y autorise. Pour l'instant Il voulait juste s'amuser. Ne plus être la proie ou le prédateur. Etre le spectateur qui regarde fasciné une scène de la nature se dérouler devant lui.

Finalement, Il lui donna le signale. Elle sauta sur le pauvre rongeur sans lui laisser aucune chance et le dévora. Lui regardait toujours aussi fasciné la scène. Il n'était pas devant la télé à regarder un documentaire non, Il était réellement sur une magnifique panthère à la regarder dévorer sa proie. Ce spectacle ne le dégoûtait pourtant pas. Il savait qu'il fallait qu'Elle se nourrisse et voir les crocs luisant déchirer la chair était impressionnant.

Soudain, des grognements se firent entendre autour d'eux. Lui tourna la tête vers leur source, mais Elle s'élança de toute la vitesse de ses pattes. Lui regardait toujours en arrière. De prédateur, Il était devenu proie. Une bande de loups les coursait. Brusquement, la panthère délia les muscles de ses pattes et sauta jusqu'à une branche où Elle s'accrocha avec ses puissantes griffes. Elle resta un instant à narguer ses poursuivants et repartit, sautant cette fois de branche en branche. Choisissant à une vitesse folle celles sur lesquelles Elle pouvait se poser sans risque. Ça lui était plus difficile avec le poids qu'Elle avait sur le dos, mais ce dernier se plaçait si bien que l'handicap était minime. Elle redescendit sur terre quand elle fut sûre de ne plus être poursuivie et souffla un peu. Lui descendit de son dos et la caressa pour la remercier et la féliciter de la course.

Son visage à lui était rougi par le froid, et l'excitation. Ses longs cheveux nattés étaient recouverts de feuilles et ses mains tremblaient tant la vitesse avait été importante. Ça n'était pas comme en voiture où la vitesse n'était presque rien et ne se ressentait pas. Là, Il avait ressenti toute la puissance des muscles en action sous lui. Ce corps s'échauffer à mesure que le temps passait. Le cœur s'accélérer. Le sien se mettre en accord. Il s'effondra à genou entourant la panthère de ses bras. Il ne La remerciera jamais assez pour ce moment.

Puis, Il se rendit compte de l'heure. La forêt s'assombrissait déjà et devenait dangereusement silencieuse. Il remonta sur la panthère et ils firent ensemble le chemin inverse. La vue fut différente. Le décor devenait dangereux. Très dangereux. La peur se faisait sentir de toute part. La course s'accéléra. Il fallait se dépêcher de rentrer. Qui sait ce qui rode la nuit. La planque est en vue et la porte très vite ouverte comme fermée. À l'intérieur, sans plus réfléchir Il mit des bûches sur le feu. Il s'allongea juste devant le feu et Elle le rejoignit. Ils s'endormirent, enlacés comme deux félins que l'un n'était pas.

§§§

- TOUT LE MONDE DEBOUT ! VOUS AVEZ ÉTÉ REPÉRÉS DÉPÊCHEZ-VOUS !

Un grognement dissuada la femme de continuer de crier. Elle tourna lentement la tête vers la source du bruit. Elle fit un bond en arrière en posa la main sur sa bouche pour s'empêcher de parler. Devant elle, une masse noire, d'où sortait des griffes sur quatre extrémités et des crocs bien aiguisés à n'en pas douter à un autre endroit, s'étirait en baillant. La femme, se disant que la bête n'avait pas dû apprécier de se faire réveiller de cette façon, reculant en recherchant la poigné de la porte pour pouvoir refermer celle-ci dès qu'elle serait sortie.

- Sally ? Que se passe-t-il ?

La dite Sally se tendit d'un seul coup. Elle regarda le fauve qui continuait de s'étirer en baillant, montrant bien les crocs. Elle se tourna vers Quatre et lui fit tous les signes qu'elle connaissait pour lui dire de se taire. Le blond ne comprit pas ce que la médecin lui voulait et se dirigea vers le fauve. Sally cru que le pauvre empathe avait perdu la tête et couru vers lui pour l'empêcher de se jeter dans la gueule de la bête, quand elle vit avec horreur le bout d'une natte dépassé. La pauvre s'évanouit sur le coup.

§§§

- Sally ? Tu es avec nous ? Sally ?

La jeune femme récupéré tant bien que mal ses esprits et ouvrit les yeux. Elle vit le visage de Quatre et en conclut qu'il n'avait pas été dévoré et donc la bête n'existait pas. Elle soupira et soudain se souvint de sa présence auprès des g-boys.

- Vous avez été repérés ! Vous devez partir !
- C'est déjà fait. Le peu que tu as hurlé nous a suffit pour comprendre qu'il fallait partir.
- Ouf. Vous savez, un moment j'ai cru… Qu'il y avait… Une panthère… Dans… Votre… Salon…
- Sally ?
- Pas la peine elle s'est de nouveau évanouit.
- Duo tu aurais pu demander à ta bestiole d'apparaître un peu plus tard.
- C'est pas une bestiole. Puis, je ne la contrôle pas.
- En attendant, c'est étrange que nous nous soyons fait repérer.
- C'est vrai. Nous avions pris toutes les précautions possibles.
- Duo tu es sorti hier soir non ?
- Qu'insinues-tu par là Wufei ?
- Que tu avais tout le loisir de prévenir quelqu'un de notre nouvelle planque.
- Je ne suis pas un traître ne t'en déplaise Wufei Chang.
- Calmez-vous tous les deux.
- Je suis calme Quatre.
- Tout va bien Winner.

Le blond lui, sentait que tout allait mal au contraire. Duo avait l'habitude d'exploser bruyamment et en faite c'était plutôt rassurant. En comparaison à cette rage silencieuse, ses coups de gueule n'étaient que de légers haussements de voix. Un Duo silencieux et en colère voulait dire Shinigami. Shinigami voulait dire mort. Voila où se situait le problème. Il ne connaissait personne pour réussir à arrêter Duo quand il était dans cet état-là.

§§§

- Monsieur monsieur !
- Encore des complications ?
- C'est-à-dire que…
- Quel est problème.

Le savant remerciant tous les dieux qu'il connaissait que la " bonne humeur " du lieutenant soit toujours présente. Sans ça, il était sûr qu'il se serait retrouvé dans une base au fin fond de la Russie après que son cas soit passé entre les cuisses de l'officier.

- Une nouvelle crise.
- Intéressant. Encore combien ?
- Deux ! Nous en sommes désormais sûrs.
- Bien. Déclenchez-les le plus vite possible.
- Bien monsieur !

Le savant repartit en courant.

§§§

Après deux nouveaux évanouissements de Sally, les pilotes arrivèrent à destination. La colère froide de Duo ne s'était pas atténuée et durant tout le trajet Wufei et lui n'avait cessé de se tuer du regard. Cela ne s'arrêta pas une fois rendu à la planque. Et si quelqu'un avait regardé Shinny, il aurait pu voir les yeux de cette dernière osciller entre l'ambre et l'améthyste. Duo fut le premier à descendre se dirigeant vers l'une des chambres qui était désormais la sienne. Wufei fit de même de son côté. Laissant le soin autre trois autres d'expliquer la situation à une Sally larguée.

Duo jeta son sac dans un des coins de la pièce et se jeta sur le lit en tentant de calmer sa rage. La porte s'ouvrit à nouveau et le natté ne chercha pas à savoir qui c'était sachant déjà que seul Heero oserais le voir dans un moment pareil. Il se sentit collé au torse de ce dernier et entouré par ses bras. Il se laissa aller. C'était bien la première fois que sa colère se calmait aussi facilement et sans une once de sang versé.

- Tu étais où hier soir ?
- Je me baladais sur Shinny. On a foutu la frousse à la majorité des rongeur, elle en a bouffé un et après on s'est fait coursé par des loups. Finalement, on est rentré quand je me suis rendu compte de l'heure. Pas de quoi douter de moi.
- Désolé.
- T'as pas à l'être. Je sais bien que tu devais me poser la question.

/ Il semblerait qu'il puisse craquer à tout moment et cela pourrait faire mal… Si vous pouviez le convaincre de prendre ceci, ça voudrait mieux pour tout le monde./

- Hee-chan ?
- Duo je… Je voudrais te demander quelque chose.
- Hee-chan ?
- Ça risque de ne pas te plaire mais… Je ne suis plus sûr de grand-chose et… Comprends que je dois réussir à maintenir la cohésion du groupe et que ça devient de plus en plus difficile et…
-Vas-y. Je ne me fâcherais pas. Je te le promets.
- Sûr ?
- Sûr…

Heero se sépara de Duo et alla fouiller dans son sac. Il en sortit la boite de pilules et la montra à Duo.


À Suivre


Shinny : Sadique
Chtite : C toi qui m'a fait écrire ça te rappelle -_-
Shinny : *sifflote*
Chtite : C'est ça, c'est ça -__________-
Kymoon : ^^ Ah, ces muses, j'vous jure…
Kei : Moi je dit que…
BAM
Chtite : *range la chibi faux*
Shinny : Ouais d'abords ! Pas de guimauve dans cette fic ^^
Chtite : ^^
Kymoon : Sûr, c'est déjà assez complexe sans y rajouter des passages larmoyants de bons sentiments. Et pis les envies de meurtres seraient plus adaptées à la situation.
Chtite : tu croiiiiiiiiiiiiiis ? *sifflote*
Shinny : Je peux bouffé son œuf ?
Chtite : Nan -_-
Shinny : T_T
Kymoon : _
Chtite : À part ça plus qu'un chap et première partie bouclé ^^
Shinny : G hâte de faire la seconde ^^
Chtite : Pareil ^^
Kymoon : Y en aura deux ou trois ? Ou six ? Ou dix-huit ? On sait jamais avec vous.
Shinny : Va y avoir plein de pitit lecteur paumé ^^
Kymoon : Moi la première.
Chtite : Et une fikeuse tuée T_T
Shinny : Mha pourquoi ? Oo
Kymoon : Excellente question.
Chtite : Réfléchis -_-
Shinny : Ah oooooh Oo Paix a ton ame ^^
Chtite: C rassurant -_-
Kymoon : Bah… T'inquiète pas. J'ai trouvé des trucs de nécromancie. Je te réanimerai. ^^
Chtite : mici cupineeuuuu ^^ Review please ?



Fics Gundam Wing

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