Lien unique



lien unique Auteur : ChtiteElfie dit baka ou tenshi *cherchez pas -_-*
Mail : ChtiteElfie@aol.com
Source : GW ^^
Genre : Heuuuu
Shinny : Tu sais, elle a eut un genre un jour c'te fic ^^0
Chtite : Na sans dèc' O.O
Shinny : Sisi ^^
Chtite : Oo Et maintenant ?
Shinny : Bah y a angst et pis yaoi
Chtite : Aut'e chose ?
Shinny : Sérieux
Chtite : *pas sur pour celui-là* Pis perdition de lecteur
Shinny : T'as démêler la pelote pour refaire des nœuds aussi -_-
Chtite : ^^0 Un jour, un jour… les lecteurs sauront ^^
Shinny : Un jour ^^0
Chtite : Ouaip un jour ^^
Muse : Shinny ^^
Shinny : C'est ma fic n'a moi è_é
Chtite : Vous remarquerez que Kei n'ose même plus apparaître ^^
Shinny : C p't'être pasqu'elle est avec son phénixounet -_-
Chtite : Pas bête ^^0
Disclamer : G-boys pas a moi T_T Mais je dévores quiconque touche a Shinny è_é
Shinny : Me débarrasserait toute seule des gêneur ^^
Chtite : C'est bien ça qui me fait peur -_-
Coin de la béta : *se met à genoux devant les lecteurs* Gomen nasai !!!!!! Sorry !!!! Es tut mir leid !!! Désolée !!! Etc… C'est entièrement de ma faute !!! Ça fait trois jours que ce chapitre traîne sur mon ordi et attend sagement d'être bétulacée. Et moi je l'ai pas touché avant parce que j'étais (et je suis toujours d'ailleurs) malade à en crever. Donc, ne blâmer pas Chtite pour le retard… Du moins pas pour les trois derniers jours…
Sinon… Ben… Essayer de vous retenir de tuer Chtite. Au moins jusqu'à ce qu'elle ait fini "compte des nuages". (Remarquez que je prends la fic qui (à part celle-ci) va être la plus longue (semble-t-il), et ce uniquement pour prolonger la vie de mon amie…)
Note : Je précise que dans cette fic Duo a pas été capturé ^^



Chapitre 17
Fin de la première partie



Heero se sépara de Duo et alla fouiller dans son sac. Il en sortit la boite de pilules et la montra à Duo.

- Un médecin m'a donné ça à ta sortie de l'hôpital.
- Je vois.
- Duo, je suis désolé de te demander cela, mais c'est la meilleure chose à faire ! Pour nous tous ! Si l'équipe continue de se dissocier, nous deviendrons une cible facile pour OZ. En les prenant, ce sera pour toi dans n'importe quel cas ! Si ça n'est pas toi as fait tous ces dégâts, ils continueront et personne ne pourra plus t'accuser. Si au contraire c'est vraiment toi, mais je n'y crois pas une seconde ! Alors tu auras fait des efforts et tout le monde l'acceptera et… Et… Et puis aussi…

Duo n'écoutait plus. Alors que Heero avait commencé un long discours sur le pourquoi du comment, Duo n'entendait rien. Lui qui aurait applaudi cette soudaine crise de bavardage, il y a encore quelque mois, ne ressentait que tristesse. Il se sentait à nouveau trahi. Et cela presque autant que quand Wufei l'avait…

Les larmes s'accumulaient dans ses yeux mais il les retint. Il remercia le ciel que Heero ait baissé la tête sous le poids de la culpabilité, ne pouvant ainsi voir dans quel état il se trouvait. Duo tenta de se reprendre, mais son cœur laissait à nouveau couler son sang sous ses blessures rouvertes. Finalement, Heero lui montrait maintenant qu'il n'avait pas confiance en lui. Sûrement qu'il devait croire qu'il avait été d'accord avec Wufei. Trahi. Voila ce qu'il était. Et une nouvelle fois, il ressentit la morsure de ce sentiment.

Il réussit au bout de quelques minutes où Heero s'était arrêté de parler, à effacé l'eau de ses yeux et à éclaircir un temps soit peu sa gorge. Une boule douloureuse y restait malgré tout coincée.

- J'accepte.
- Gomen Duo.
- Donne-moi ces pilules. J'ai dit que j'acceptais.

Heero les lui donna à contrecœur semblait-il. Duo en avala tout de suite une, et partit sous le prétexte d'aller expliquer la présence de Shinny à Sally. Le soldat restât à genoux sur le lit, la tête baissé comme un condamné à mort.

§§§

Le lieutenant était de nouveau dans son bureau, mais en compagnie d'un jeune soldat. Il regardait ce dernier fixement, comme si c'était une bête prête à passer à l'abattoir. Le soldat se tenait au garde-à-vous la sueur tombant de son front en quantité, sans raison apparente, pour quiconque ne connaissait pas l'officier. Le supplice aurait pu durer encore longtemps si notre désormais célèbre scientifique, n'était pas rentré. Et il semblait que le lieutenant n'avait attendu que ça.

- Vous tombez bien vous. J'aimerais votre avis.
- Ou… Oui.
- Un soldat se doit de respecter les règles, n'est-ce pas ?
- Oui.
- Et s'il y a des règles, c'est qu'elles servent à quelque chose, non ?
- Ça… Ça dépend. Certaines sont…
- Répondez par oui ou par non !
- Oui.
- Bien ! Quelle est la peine infligée lorsque ces règles sont bafouées ?
- Ça dépend de la gravité et…
- Franck !
- La mise aux arrêts !
- Mh… Mise aux arrêts… Cela ne me semble pas assez fort…

Le soldat se sentait de plus en plus mal devant se regard perçant où étincelait une lueur de folie.

- Monsieur ?
- Quoi ?
- J'étais venu vous annoncer qu'il n'y a plus qu'une seule crise à attendre.
- Parfait ! Déclenchez-la et lorsqu'il sera à point amenez-le moi. Vous pouvez disposer.

Le scientifique se fit un plaisir d'obéir et sortit en courant. L'officier retourna à son soldat.

- Je ne vais pas pouvoir m'occuper de toi. Quel dommage. Allez file ! On se retrouvera un autre jour, un invité plus important que toi est attendu.

§§§

- Duo ! DUOOOO !!
- Qu'est-ce qu'il te prend de hurler comme ça Winner ?
- Je ne trouve pas Duo.
- Tu as essayé dans sa chambre ?
- Il n'y est pas.
- Près de Heero ?
- Non plus.
- Son gundam ?
- Vide et tranquillement installé dans le hangar.
- J'ai plus d'idée.
- Merci quand même.

Wufei émit un reniflement agacé et repartit. Peu lui important que le shazi soit partit mais il n'avait pas envie d'être accusé. Quatre continua à chercher l'Américain. Il ne savait pas pourquoi, mais quelque chose lui disait de le faire. Son empathie mêlée à son intuition probablement.

Quatre continua à hurler encore un bon moment, refaisant le tour de la maison encore et encore, mais aucune trace du natté. La seule possibilité était que Duo soit sorti. Maintenant qu'il y pensait, il n'avait pas vu la panthère, confirmant ainsi ses doutes. Toujours en suivant son intuition il alla voir Heero pour connaître la raison de cette sortie qu'il espérait n'être qu'une promenade. Il retrouva le Japonais, dans sa chambre, pianotant sur son laptop. Rien de nouveau. Où peut-être que si. Quatre dont l'empathie développée l'informait de l'état de santé de Heero, ne comprenait pas ce que faisaient des cachets à ses côtés.

- Heero ?
- Nh ?
- Tu ne te sens pas bien ?
- Dooshite ? (= pourquoi)
- La boîte à tes côtés.

Heero tourna la tête vers l'objet en question et resta paralysé en la regardant. Quatre attendit mais ne voyant aucune réaction chez le Japonais, ne préféra passer à une autre question. Il était évident que tout autre question concernant la boîte n'obtiendrait pas plus de réaction.

- Tu sais où est Duo ?
- Avec Sally.
- Heu… Heero… Sally est déjà partie. Elle ne pouvait pas s'attarder ici donc, dès que nous sommes arrivés, elle est rentrée chez les sweeper.
- Il m'a dit qu'il était avec elle.
- Et tu ne t'inquiètes pas ? Duo sort sous une fausse excuse et toi tu ne t'en fais pas ?
- Laisse moi tranquille Quatre.
- MAIS REAGIS BON SANG !!!! JE SAIS QU'IL SE PASSE QUELQUE CHOSE !!!
- Mais moi j'en connais la raison…
- COMMENT ÇA TU…

Quatre eut le souffle coupé. Une boîte remplie de cachets. Un Heero apathique avec la voix bourrée de remords. Un Duo en fuite pris pour fou.

- Tu n'as quand même pas…
- Tu voulais que je fasse quoi ? Vous tous le preniez pour un fou. Toi compris. Ne fais pas cette tête. Tu l'as même accusé de t'avoir blessé. C'était la dernière chance que j'avais pour ressouder le groupe.
- Mais… Je… De quoi tu parles ?

Heero avait de nouveau la tête baissée et ses bras pendaient dans le vide comme inanimés. Quatre le regardait sans comprendre. Il n'avait accusé personne. Tu crois ? Duo ne l'avait pas blessé. Mais qui le sait à part nous deux et le Chinois ?

Ce fut avec une voix étrangement enrouée qui recommença à parler.

- Comment ça… Accusé…
- Tu ne te souviens pas ? Quand vous étiez dans la cuisine toi Duo et Wufei. Il y a eut eu des cris. Quand moi et Trowa sommes arrivés, toi et Wufei étiez blessés. Lui a accusé Duo et tout de suite après tu as fais la même chose.
- Dans la cuisine ? Quand ça ? Je… Je me souviens pas…
- Regarde ton bras. Les coupures datent de cet incident.
- Non… Je… Je me suis fait ça en mission… Enfin je crois…
- Arrête de mentir Quatre… Arrête par pitié… Et pars…

L'Arabe effrayé par ce que leur leader avait dit, recula lentement tout d'abord et finit par s'enfuir à tout vitesse manquant tomber plusieurs fois. À l'intérieur de la chambre de Heero, ce dernier était toujours sur sa chaise. Il ne bougeait plus, semblait vide de toute énergie, une de ces poupées auxquelles on aurait enlevé les piles. Des taches sombres se formèrent sur le débardeur vert.

- Gomen… Gomen nasai Duo-koi…

Ça n'était qu'un murmure. Un souffle bref chargé de culpabilité.

§§§

- LACHEZ-MOI !!! JE VOUS AI DIT DE ME LACHER !

L'officier regardait avec amusement l'adolescent se débattre. Il n'avait bien entendu aucune chance face aux quatre soldats qui l'encadraient, et c'était bien cela qui était amusant. Le voir se débattre tel une proie entre les griffes du prédateur. Une proie qui ne se doute pas encore qu'il va lui arriver quelque chose de pire que tout ce que ces cauchemars ne lui ont jamais montré. Une proie aux allures de biche. Une longue chevelure châtain détachée descendant jusqu'aux cuisses. Un corps fin et galbé. Un visage de chérubin. Et des yeux particulièrement exceptionnels. D'un magnifique bleu violet.

La biche essayait en ce moment de s'enfuir en se débattant et vociférant à tord et à travers. Le lieutenant se décida à intervenir et s'approcha du jeune homme. Il approcha sa main du visage de l'adolescent qui s'y déroba. L'officier tenta plusieurs fois de prendre doucement le visage mais voyant que cela ne mènerait à rien, il gifla le gamin avec force et avant qu'il n'ait le temps de se reprendre, il lui prit le menton. Ils se regardèrent un moment dans les yeux. Acier contre améthyste.

- Tu es à moi. Je peux faire tout ce que je veux de toi. Vous lâchez-le ! Il ne fera rien.

Le lieutenant sourit sadiquement. Il savait qu'il n'avait rien à craindre. Le jeune homme montrait déjà dès signes de dépression. On le lui avait amené à point. Il regarda les gardes qui n'avaient toujours pas libéré le garçon.

- Vous voulez que je me répète.

Après un instant de flottement, les soldats se dépêchèrent de lâcher l'adolescent et de partir. Le jeune homme voulu suivre leur voie et partir, mais l'officier enserrait son poignet comme dans un étaux.

- Oh non, tu ne partiras pas. Maintenant que les testes sont finis et que nous n'avons plus besoin de toi, je peux faire ce que je veux de ta carcasse. Et j'ai ma petite idée sur ce que je vais te faire.

L'adolescent prit peur, les yeux du lieutenant étant devenus ceux d'un fou furieux en manque.

§§§

- Franck reviens sur terre. Si tu continues ton expérience va fuir.
- Ah.
- Si tu veux un conseil. Ne pense même pas à ce qui se passe là-haut.
- Mais…
- Tu dormiras mieux sans savoir.
- Pourquoi j'ai accepté de venir ici…
- Pour la même raison que nous tous. Tu as voulu faire avancer la science à ta façon et maintenant tu es devenu l'une des nombreuses âmes damnées du lieutenant.
- Mais ses supérieurs doivent se rendre compte que quelque chose ne va pas ici non ? Comment ce fait-il que nous n'ayons jamais de visite de supérieur.
- À quoi crois-tu qu'a servi la première puce ?
- Oh ! Juste comme ça. Comment ils ont fait pour l'implanter ?
- Somnifère sûrement. Ou alors lors d'un examen de routine.
- Je suis le seul à regretter d'être ici ?
- Non. Mais tu es le seul assez fou pour le dire tout haut.
- Mh. Un jour j'aurais le droit de savoir à quoi servent ces cuves ?
- Ont servi. Non. C'est pour ta santé mentale qu'on ne t'a rien dit.
- Youpi. Y a-t-il un truc de normal sur cette base ?
- La bouffe. Aussi dégueulasse qu'ailleurs.
- Pas faux.
- Ton expérience s'est barrée.
- Elle n'ira pas bien loin.

Le scientifique nommé Franck pris un sifflet et en fit sortir un son discordant. L'étrange animal revint en courant la queue entre les jambes.

- Pratique ça.
- Reste à savoir ce que le lieutenant va en faire.
- Ne rien savoir est la clé pour un sommeil sans cauchemar.
- Trop tard pour moi.
- T'as l'air au bord de la crise de nerf.
- C'est le cas.
- Tu finiras par t'habituer à cette base.
- J'espère pas.
- Très drôle. Tu ferais mieux de t'habituer, sinon…
- Qu'est-ce qui m'attend encore. Je croyais que le lieutenant préférait les soldats.
- Oui, mais il y a toujours des cellules toutes prêtes pour nous.
- Ben tiens. Et je parie qu'il y en a un qui y est depuis des années et qu'a complètement perdu la boule.
- Pas qu'un.
- Ah. Quelqu'un a déjà tenté de s'enfuir ?
- Il s'est retrouvé à la place drapeau pendant trois semaines. L'odeur était devenu si insupportable qu'on a fini le décrocher. Il reste encore un peu de sang là-haut si tu veux vérifier.
- Non ça ira.
- T'es tout vert.
- Je sais. Mais il n'a pas de famille à aller voir ?
- Qui ?
- Notre tortionnaire.
- Pas que je sache. Je ne connais même pas son nom, tout comme le reste de la base.
- Pas sorti de l'auberge.
- Tu ne le seras qu'à l'heure de ta mort. Quoi que moi j'y crois pas trop.
- Bah. On sera les compagnons du diable.
- Ouaip.

Un cri résonna dans la pièce. Toutes les personnes présentes dans la pièce arrêtèrent leurs activités le temps de frissonner d'effroi. Franck et son collègue se regardèrent et repartirent aussi à leur tache.

§§§

Trowa était tranquillement en train de lire dans le seul fauteuil de la planque, quand son petit ami arriva visiblement choqué. Il reposa son livre à côté de lui et alla prendre l'empathe tremblant dans ses bras.

- Dis-moi que je n'ai rien fait. Dis-moi que j'ai pas dit ça.
- Dit quoi ?
- Dans la cuisine… Ou je ne sais où. J'ai pas accusé Duo…
- Quatre. Tu lui as dit que c'était de sa faute.
- Oh Allah ! Mais… Comment… Je… Pourquoi…
- Tu étais en sang tout comme Wufei et Duo avait deux couteaux à ses pieds.
- Mais… Ça pouvait pas être lui… C'est… Pas possible…
- Tu ne doutais pas à ce moment-là.
- Mais… Je n'en m'en rappelle même pas !

Trowa laissa Quatre pleurer dans ses bras. C'était à croire que la moitié de leur groupe était devenu dingue. Et qui sait, peut-être que lui aussi. Pendant qu'il réconfortait le blond, il vit Heero descendre et sortir de la planque. Quelque chose clochait. Il n'y avait aucun doute là-dessus.

§§§

Le lieutenant en avait fini avec le jeune homme. Il devait avouer qu'il n'avait jamais connu de tel partenaire. Du moins pas chez ceux qui n'étaient pas consentants. Bien sûr, le garçon avait fait comme l'avait prévu le scientifique et quand le lieutenant avant enfin bien voulu le lâcher, il s'était précipité vers un coupe-papier avec lequel il s'était tranché les deux poignets. La seule chose que l'officier trouvait à redire sur ce geste, c'est que le sang était difficile à enlever de la moquette.

Le gradé se rhabilla lentement, et quand ce fut fait, il alla trouver les gardes qui s'occupaient de sa porte pour leur demander de débarrasser de son bureau l'adolescent désormais mort. Les t soldats le firent sans poser de question. Le bureau n'était pas insonorisé, et avec le peu d'imagination qu'ils regrettaient d'avoir, ils avaient compris ce qu'il s'était passé.

- Mettez-le dans la forêt. Faites croire qu'il s'est fait dévorer par une bête ou qu'il est mort d'une blessure mais que ça ait d'un incident.

Les gardes ne se donnèrent pas la peine de répondre et débarrassèrent vite fait le plancher avec leur fardeau dans les bras. Ils se dépêchèrent de le déposer en forêt, de le mutiler pour faire croire à une attaque de fauve et de partir en vitesse. Quand on était dans cette base, on apprenait très vite à se taire et à oublier ce que l'on avait vu ou entendu.

§§§

La nuit était tombée et tous les g-boys, sauf Duo qui manquait à l'appel, passait la soirée à regarder un quelconque documentaire sur une des centaines des chaînes piratées. À part Wufei, personne n'avait envie de s'amuser. À y regarder de plus près, le Chinois aussi. Le documentaire était sur les espèces nocturnes d'une certaine région de la terre. Et il aurait été banal, si la caméra n'avait pas tout à coup, filmé autre chose qu'une chouette en train de se réveiller. À partir de cet instant, tous les regards furent scotchés à la télé. Le programme était passé de documentaire sans réelle importance à un film d'horreur. Sur l'écran, on pouvait voir un jeune homme allongé sur le sol, le corps recouvert de coupures, ce qui ressemblait à des griffures, et d'autres blessures de ce genre. Une longue chevelure l'entourait. Sur le moment, la silhouette n'avait qu'une vague ressemblance avec le pilote 02. Mais quand sera-t-il demain quand le corps sera passé à l'autopsie ?

- Heero. À quelle heure une émission nous renseignera sur…Sur…
- Demain après midi. Je dirais vers quatorze heures si c'est quelqu'un d'important et vers dix-sept heures si ça n'est personne en particulier.
- Donc… Nous saurons demain si Duo est toujours vivant ou pas.
- Non. Nous saurons s'il est mort ou disparu.
- Rassurant.

§§§

G était dans son bureau a à réfléchir sur de nouvelle amélioration sur le Deathscyth Hell custom, quand quelqu'un ouvrit la porte et entra.

- Toujours aussi impoli.
- Intègre-moi en tant que sixième pilote.
- Pour cela il faudrait que le 02 soit mort, sinon les autres ne voudront pas.
- Il est mort.
- Tu as fait des tiennes.
- Je m'en fiche intègre-moi !

- Il me semble que je n'ai pas le choix. Mais se sera à une condition.
- Laquelle ?
- Ils ne devront pas voir ton visage.
- Je n'avais pas l'intention de le leur montrer.
- Bien. Je m'arrangerais.
- Merci papa.
- De rien fiston.

§§§

Le lendemain vers quatorze heures, Trowa, Quatre, Heero et Wufei furent installé devant le poste à attendre le premier journal télévisé de cette heure. Et il ne tarda pas.

" Bonjour. Tout d'abord une bonne nouvelle à vous annoncer. Hier soir un corps a été découvert dans une forêt de la Terre. Après examen, ce corps a été identifié comme appartenant au pilote 02, pilote du gundam Deathschyte. Il se serait fait attaquer par une bête sauvage durant la nuit, et de bon citoyen l'aurait achevé. Je ne devrais pas encourager ce genre de délit, mais de tels hommes doivent être mis hors d'état de nuire le plus vite possible. Je tiens à préciser que contrairement à la rumeur ce ne sont pas des adolescents mais des hommes d'âge mûr d'une quarantaine d'année. De plus, nos médecins ont découvert dans la nuque de cet homme un composant électronique, probablement destiné à améliorer leurs performances.
Maintenant passons à la suite du journal… "

Les quatre pilotes restaient les yeux écarquillés devant l'écran. Certains pleuraient, d'autres malgré leurs actes semblaient plus surpris que jamais. Mais des quatre, aucun n'avait la conscience tranquille. Heero pleurait pensant que c'était de sa faute, qu'il n'aurait pas dû proposer à Duo les pilules de ce satané médecin. Trowa se sentait coupable d'avoir douté de l'Américain. Quatre commençait à comprendre certaines choses faisant s'agrandir ses yeux bleus. Une main était déjà posée sur sa nuque. Wufei lui, semblait lutter contre quelque chose, sa main montant puis retombant lourdement.


À suivre…


Fin de la première partie

Chtite : *méga baillement*
Shinny : Pas mieux
Kymoon : Où qu'y sont mes médocs ???
Chtite : sais pas
Shinny : tous mangé
Chtite : Bah heureusement que j'avais un peu commencer en cours *yeux de shooté*
Shinny : Pikoi ?
Chtite : 4h30 pour c'te chap =__=
Kymoon : Et une heure et demi pour moi. =_=
Shinny : ^^0
Chtite : Je compte sur toi pour prendre les coups à ma place -_-
Shinny : Ké coups ? Oo
Chtite : Relis -_-
Shinny : Ah çaaaaaaaa et alors ? Oo
Chtite : Les lecteurs savent pas se qui se passe dans ta tête -_-
Shinny : Bah y devrais ^^ C'es très intéressant parfois ^^
Kymoon : Effectivement… Parfois…
??? : C'est quand mon tour ?
Chtite : Le week-end prochain ? *sifflote*
??? : T____T
Shinny : ^^0
Kymoon : Le week-end prochain ? Je sais à quoi je passe mon lundi alors…
Chtite : Veux bien une review moi ^^ *sens que les menaces de morts vont pleuvoir*




Fics Gundam Wing

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