Lost Boy
Auteur : Yami
Aku
Base : Harry Potter sauce Peter Pan
Genre :
Slash Yaoi, oui, donc homophobe passez votre chemin, car nous ne tolérerons pas de remarques sur ce point là. Il y aura du lime,
le lemon n’étant pas encore prévu, mais qui sait !! héhé !!
Que dire de plus, et bien de l’aventure. Voila pour le moment ce qui
est sûr.
Disclamer : Aucun personnage
appartenant au monde d’Harry Potter n’est à moi,
le monde de Peter Pan non plus même si je le modifie un peu, la base
reste tout de même la même. Donc entre J.K.Rowlin, Disney, Loisel
et Kaname Itsuki, vous avez le choix !!lol !!!
Blabla :
Alors je sais ce que vous allez nous dire, une nouvelle fic, et bien, la réponse sera oui vu qu’elle est là, mais non
par la même occasion. Sachant que l’inspiration laisse un peu à désirer
sur nos anciennes fics en ce moment, nous avons eu envi de changer d’air
! Donc cette fic sera continuée seulement si elle vous plait, si ce
n’est pas le cas et bien, le chapitre suivant ne viendra pas avant
un moment. Si elle ne vous plait pas et bien, autant dire qu’elle sera
rapidement rayé de liste ! J’espère que vous comprenez
ce que nous voulons dire, nous faisons des essais, s’ils ne sont pas
acceptés et bien, on change !!mdr !!!
Voila, missi de votre compréhension.
Chapitre 1 : Conte.
Et le capitaine à la jambe de bois fendit l’air de son épée
avant de l’abattre sur la pauvre jeune fille qui ne pu que reculer.
D’un pas rapide pourtant, elle réussit à éviter
la lame et à sauter adroitement sur le bord et recula habilement jusqu’à la
proue.
Le capitaine la suivit sans peur, son sabre à la main prêt à pourfendre
la gamine.
Le garçon ainsi que la jeune fille qui s’amusaient étaient en train de courir partout dans la chambre, un sabre en bois pour l’un, un peigne pour l’autre, habillé l’un d’un pyjama en soie bleu marine, pour l’autre d’une nuisette de lin violette. Le garçon avait de longs cheveux châtains retenus en une magnifique queue de cheval, sa peau légèrement halés, ainsi que ses yeux ambrés, lui donnait un petit charme que peut pouvait se venter d’avoir, la jeune fille avait les cheveux aussi noirs que l’ébène, maintenus en chignon pour ne pas la gêner dans sa lutte acharnée contre le jeune homme, son visage fin, ainsi que ses yeux onyx lui donnaient cet aspect de diablesse.
Rend toi espèce de garce !
Jamais vil serpent, je ne me rendrais jamais, si cela devait se faire, c’est
que j’y aurais laissé ma vie.
La jeune fille mit sa main sur son cœur pour montrer l’importance de ses paroles, tandis que le jeune homme plissait les yeux avant de lever son sabre de bois.
Dans ce cas, tu périras par cette lame.
Il se rua sur la jeune fille, celle-ci recula encore, avant de partir sur le coté et de monter sur le lit pour prendre de la hauteur, le garçon la suivit et une longue course poursuite continua ainsi pendant un petit moment. La jeune fille enjamba rapidement une malle avant de monter sur le meuble et de toiser de toute sa hauteur le capitaine.
Tu ne m’auras jamais !
C’est ce que tu crois.
Il voulut monter sur le meuble mais la fille était déjà descendue et repartait dans l’autre sens. La porte s’ouvrit doucement alors que les deux jeunes continuaient leur jeu, avant même qu’elle ne soit complètement ouverte, la jeune fille se retourna vivement et fit glisser quelque chose au sol, le garçon qui ne fit pas attention se prit les pieds dedans et s’étala de tout son long.
Mais c’est quoi ce bordel ?! Hurla une voix un peu grave.
Un rire lui répondit, il regarda la jeune fille qui se tenait les côtes, son peigne à la main, il haussa un sourcil avant de demander d’une voix froide.
Il se passe quoi ici ?
C’est…Blaise…il…
Elle ne pu finir sa phrase que sa crise de fou rire reprenait, suivant le regard de la jeune fille, il pu voir le jeune homme étalé de tout son long juste devant lui, son sabre à quelques centimètres de lui et l’objet qui avait valu sa perte de l’autre coté, ce qui n’était d’autre qu’une paire de chaussure.
On peut savoir ce que tu fais par terre Blaise ? Demanda le jeune homme de leur âge qui venait de rentrer.
Une sorte de bruit lui parvient mais il ne pu définir ce que cela voulait dire, pendant ce temps, Pansy avait reprit son calme et levait fièrement son poing en hurlant.
Et la jeune fille remporta sur le capitaine à la jambe de bois.
N’importe quoi. Soupira l’arrivant.
Il enjamba celui qui était au sol avant de se diriger vers la malle pour y mettre ses vêtements du jour. Le jeune homme qui apparemment se prénommait Blaise se releva avant de lancer un regard noir à la jeune fille qui ne pu que lui faire un magnifique sourire innocent en retour.
Tu me le payeras Pansy.
C’est ce que tu dis toujours et tu perds à chaque fois.
Gniagniagnia.
Je ne vous ai pas invité chez moi pour que vous mettiez le souque.
Oh Draco, cesse donc de faire ton rabat joie et joue avec nous. Tu pourras être,
le prince venant sauver la belle princesse.
Il y eut un petit rire étouffé à sa gauche.
Je ne vois pas de belle princesse dans le coin.
Oh toi la ferme !
Blaise lui répondit par un charmant sourire avant d’aller rejoindre le garçon.
Allez Draco, je suis sûr qu’on s’amuserait plus tous ensembles.
Si mes parents montent à cause du bruit, je vous tue tous les deux.
Pansy s’agenouilla sur le lit pour regarder son ami venir s’y asseoir, celui-ci portait un pyjama en soie noir brodé d’argent, sa peau était pâle, ses cheveux parfaitement coiffé d’un blond mêlant habilement les teintes argentés, ses yeux étaient de la couleur des orages et variaient en conséquence de son humeur.
Allez juste un petit peu Draco s’il te plait. Supplia la jeune fille.
Promis, on ne fera pas de bruit.
Il soupira, avait il le choix si ces deux amis se mettaient contre lui, il se baissa pour attraper quelque chose et se leva rapidement brandissant fièrement une tige en plastique devant avoir servit dans le temps. Pansy sauta hors du lit, reprenant en main son peigne, Blaise son épée en bois.
Vous avez désiré combattre le chevalier à l’âme
noble.
En grade preux chevalier. Fit Blaise.
Vil serpent d’eau salé.
Ne faites pas comme si je n’étais pas là, rustre. Fit
Pansy se mêlant à la bagarre.
S’en suivit alors une course poursuite dans la chambre, le blond qui avait été si réfractaire au début, était debout en équilibre sur le bord de son lit, en train de se battre avec Blaise alors que Pansy était de l’autre coté, son piège prêt à recevoir les deux garçons qui faisaient comme si c’était une faible femme.
Bande de rustre.
Elle monta rapidement sur le lit et passa une main rapide dans les cheveux blond, un grognement se fit entendre, apparemment toucher ses cheveux étaient quelque chose qu’il ne fallait pas faire. Se retournant vivement, il fronça les sourcils.
Tu vas mourir.
Pansy lui offrit un sourire qui en disait long avant de sauter du lit, un Draco à ses trousses, il n’eut pourtant pas le temps de poser le pied par terre, qu’il les prit dans un drap et s’étala au sol, suivit rapidement par Blaise qui avait emprunter le même chemin. Ce fut donc dans un bruit assourdissant que les deux garçons se retrouvèrent l’un au dessus de l’autre devant une Pansy droite, souriante machiavéliquement.
Je vous avais dit de faire attention à la faible femme.
Ils grognèrent de concert juste au moment où une porte s’ouvrit sur un homme grand, de longs cheveux blonds tombant dans son dos, un visage pâle et froid, habillé correctement pour une soirée, sa canne à tête de serpent à la main.
C’est quoi tout ce boucan, Draco ?
Une tête échevelée apparue de derrière le lit, l’homme releva un sourcil en voyant son fils dans cet état.
Peut on savoir ce qui se passe ici ?
Rien père, nous avons glissé.
Vraiment ?
Oui.
Draco baissa la tête et Lucius, son père, jugea de sa bonne fois avant de regarder le foutoir dans lequel se trouvait la chambre de son fils.
Et tu vas me dire que tout ça est arrivé là, magiquement
?
Hum, Oui. Fit Draco d’une petite voix.
Mais vous vous foutez moi !!!!
Les trois adolescents baissèrent la tête, Lucius Malfoy était un homme respectable, il avait un travail qui le rendait connu dans tout Londres et même l’Angleterre entière. Avoir l’une des plus grande firme et surtout être l’un des hommes les plus imposants et riches était quelque chose qui ne passait pas inaperçu. Cependant, la notoriété voulait aussi dire, faire attention aux apparences.
Draco Lucius Malfoy, il me semble vous avoir déjà parlé de
ce genre de divertissement.
Oui père.
Lucius allait ajouter quelque chose mais une voix retentit dans le couloir.
Lucius, Lucius chéri, n’auriez vous pas vu mon ruban de soie
bleu.
Non Narcissa, je ne l’ai pas vu.
Mais il me le faut absolument pour aller avec ma robe.
Une jeune femme au cheveux cendrés bouclés, le même teint pâle mes les yeux d’un bleu pur, arriva portant une robe de bal de la même couleur que ses yeux.
Oh mes chéris, vous vous amusiez ?
Vous êtes très belle madame Malfoy. Fit Pansy.
Merci mon ange, allons mon chéri, venez plutôt m’aider à retrouver
ce ruban.
Lucius leva les yeux au ciel avant de suivre sa femme délaissant les enfants. Il fit tout de même quelques pas en arrière.
Rangez moi tout ça et plus vite que ça.
La porte refermée, les trois adolescents soupirèrent de concert avant de se mettre à rire, du moins, Blaise et Pansy. Draco était déjà debout entrain de se dépêtrer correctement des draps.
Allez venez plutôt m’aider au lieu de rire.
Blaise et Pansy se mirent donc à l’ouvrage, en quelques instants la chambre fut de nouveau rangée, parfaitement comme elle l’était toujours, car Draco était quelqu’un de très ordonné. Une fois cela fait, Draco se laissa tomber sur son lit, ses deux amis à ses cotés. Il avait un lit assez grand pouvant facilement, comporter trois à quatre personnes, le baldaquin était d’un très joli vert, la chambre était blanche, le sol parquet d’un bois assez clair, et les meubles avaient la même teinte. La fenêtre donnait sur la petite cours, et était bordée de rideaux ayant les mêmes tons verts que le baldaquin mais magnifiquement brodé de fil d’argent.
Et voila.
Franchement, ce n’était pas dur de ne pas mettre le foutoir
pendant que je prenais ma douche.
Blaise et Pansy ne dirent rien, ils aimaient beaucoup la chambre de Draco
parce que justement, tout était tellement bien rangé, qu’il
y avait de la place.
Il y eut un petit bruit dans le couloir et la porte s’ouvrit, les trois
enfants se levèrent pour tomber sur Lucius qui inspectait l’état
de la pièce.
C’est mieux, mais franchement à votre âge, vous pourriez
faire autre chose que mettre une salle en désordre.
Oui monsieur. Firent en cœur Pansy et Blaise.
Oui père. Répondit Draco.
Lucius hocha de la tête avant de faire demi tour.
Nous allons partir.
Bien.
Draco se leva complètement de son lit et suivit son père au rez-de-chaussée. Arrivé là, sa mère était en train d’enfiler son manteau de fourrure aidée par la dame qui était censée les garder. Lucius était déjà prêt et dehors la calèche attendait afin de pouvoir emmener le couple à la soirée.
Vous êtes magnifique madame Malfoy. Fit la baby-sitter.
Merci bien Eléanore.
La jeune fille qui était rousse, ses cheveux tressés avec des lunettes se courba légèrement pour saluer le couple. Lucius se tourna vers elle, ainsi que les trois enfants.
Ne faites pas de bêtise, je n’étais déjà pas
pour que vous restiez tous les trois alors que nous ne sommes pas là,
alors gardez la maison sur pied.
Oui père.
Bonne soirée mon petit dragon.
Narcissa donna un gros baiser sonore sur la joue de son fils avant de faire de même sur celle des deux autres et de passer la porte pour monter sur la calèche. Lucius la suivit après avoir fait un signe de la main aux enfants et ajouté à la baby-sitter, qu’elle avait intérêt à assurer ce soir.
La jeune fille ferma la porte et se tourna vers les trois adolescents, garder des adolescent de 16 ans, on pouvait lui dire ce qui passait par la tête de certain, ils pouvaient se garder tout seul, mais bon, les riches d’aujourd’hui pouvaient se permettre le luxe de se prendre une gardienne et elle, elle allait pas se plaindre de gagner un bon petit pourboire.
Vous voulez manger quoi ?
Je crois que madame Malfoy a laissé un plat sur la table.
Bien.
La jeune femme disparue dans la cuisine devant le visage souriant de la plus jeune. Celle-ci se tourna vers Draco et Blaise.
Ne me dis pas qu’on va se la coller toute la soirée ?
J’en ai bien peur.
Moi qui contais aller faire un tour.
Et bien non, la farouche Pansy sera clouée entre quatre murs ce soir,
mais ne te plaints pas, au lieu d’aller courir les rues à la
recherche d’un homme minable, tu seras en compagnies de deux beaux étalons.
Pansy se mit à rire alors que Draco le regardait un sourcil relevé. Il n’y avait pas à dire, son meilleur ami avait parfois des expressions un peu crues. Il se permit tout de même un sourire avant d’aller s’écraser dans le canapé en attendant que le repas soit fait. S’installant à leur tour, Draco mis en route la radio histoire d’avoir un fond sonore dans la pièce autre que la respiration de ses amis.
Encore un meurtre dans nos rues de Londres, une jeune femme a été retrouvée…
Draco changea de fréquence.
Cette nuit le temps sera dégagé, mais nous prévoyons pour le reste de la semaine de la grisaille.
Il tourna encore le bouton.
- Have you seen the little piggies
Crawling in the dirt
And for all the little piggies
Life is getting worse
Always having dirt to play around in
Il éteignit complètement l’engin vu qu’il n’y avait rien d’écoutable, le silence s’installa donc dans la pièce, ce fut finalement Pansy qui brisa le tout pour parler.
On fait quoi après manger ?
Je ne sais pas Pansy. Fit Blaise. Tu proposes quoi Draco ?
Que voulez vous que je vous propose, on évite de courir dans toute
la maison comme on vient de le faire dans la chambre et ce sera parfait.
Mais ça ne dit toujours pas ce qu’on fera.
La silence se réinstalla et fut cette fois ci brisé par la baby-sitter qui déposait le dîner sur la table, les trois adolescents s’installèrent et commencèrent à manger tranquillement. Eléanore se permit un petit soupire discret, ils ne seraient pas intenables, c’était déjà ça. Une fois le repas correctement pris, elle débarrassa le tout alors que les trois partaient dans la chambre.
Pansy se laissa tomber dans le pouf, alors que Blaise faisait ça sur le lit et que Draco se rendait à la fenêtre. Le ciel était étoilé et on pouvait clairement voir la lune au dessus de l’horloge de Londres.
On fait quoi, m’ennuie moi !!! Beugla t elle.
Commence par te taire, on a l’impression qu’on égorge
un chat.
Blaise se prit une chaussure qui traînait prêt de la brunette dans la figure.
Aie, mais t’es malade, ça fait mal.
C’était le but chéri.
Elle lui tira la langue avant de se tourner vers Draco qui regardait toujours le ciel d’un air absent.
Tu pensais à quoi Draco amour ?
A une vieille histoire que me racontait ma mère lorsque j’étais
tout petit.
Vrai ?
Hum hum.
Tu nous la raconte, einh, einh, tu nous la racontes !!
Pansy était en train de réclamer, alors que Blaise soupirait mais ce mit lui aussi à harceler le blond, il aimait entendre son meilleur ami raconter, c’était quelque chose qu’il savait très bien faire, ainsi que les berceuses, il était vraiment doué sur ce point là.
Allez Draco, racontes là nous cette histoire.
Il soupira avant d’ouvrir la fenêtre pour laisser passer un peu d’air, il alla s’asseoir sur son lit, s’appuyant contre la tête, Blaise se coucha dans la longueur de l’autre coté, et Pansy vint elle aussi s’installer près des deux garçons. Le blond remit une mèche en place et s’éclaircie la voix.
Donc, c’est un conte pour enfant, mais lorsque j’étais petit, je rêvais souvent que je volais, alors ma mère m’a acheté ce conte. Ça s’appelle Peter Pan. Lorsqu’il était encore enfant, le berceau contenant le bébé dévala une pente, ses parents ne le retrouvèrent jamais. Tout cela, parce qu’il avait été emmené par les fées. Enfant souhaitant la liberté, désirant l’inaccessible ciel parsemé d’étoile, ses pleurs furent entendus et les fées d’un royaume oublié vinrent l’emmener pour un pays fait que de songe, de rêverie, son nom : le pays imaginaire.
Draco s’adossa un peu plus le long de son lit et continua.
Il y a été élevé par des fées, qui en firent leur petit prince, Peter devint Peter Pan, car les croyances voulaient qu’il soit un descendant du faune Pan qui n’était d’autre que celui que nous appelons le Dieux Pan en classe. Ainsi, Peter Pan, prince du royaume imaginaire était connu pour voler, il avait cette particularité et beaucoup lui enviait, comme le terrible et menaçant capitaine crochet. Celui-ci étant arrivé en ce lieu alors qu’il parcourait les mers et se prit dans une tempête, il fut attiré par le trésor que renfermait cette île si étrange.
Draco sourit en voyant Blaise complètement dans les vaps buvant ses paroles tout comme Pansy.
Ainsi, Peter prince de l’île, toujours accompagné de
la petite Clochette qui n’était d’autre que sa fée
personnelle, devint l’ennemi juré du capitaine. Cachant le trésor
au plus profond de l’île, le Capitaine n’en fut que plus
attiré. Une lutte sans merci commença entre eux. Des combats
de sabre et d’épée parsemaient leur quotidien, mais bien
sûr, c’était toujours Peter qui s’en sortait, jouant
de sa ruse contre le vilain Pirate.
Mais que pouvez faire un enfant face à une horde de pirate?
Peu de chose ma chère Pansy, il était accompagné aussi
d’une horde d’enfants, qui était ses amis et qui l’aidait.
Jouant des tours aux adultes sans jamais se faire attraper. Le vaisseau pirate était
le lieu qu’ils préféraient afin de s’amuser. Seulement,
vint le jour, où une prière fut entendue au pays imaginaire
et comme pour Peter, les Fées se mirent en route. Peter découvrit
avec elle, notre monde, celui d’où il venait, suivant ses amies,
il découvrit une jeune fille rêvassant à sa fenêtre.
Celle-ci regardait le ciel avec espoir, en bas, on pouvait entendre ses parents
crier. Le jeune garçon s’approcha d’elle discrètement
et fut surpris et ébloui par une si pure beauté. La prenant
pour une Nymphe, il se décida à lui venir en aide. Jamais il
n’avait vu si belle créature, et pourtant sur son île,
on trouvait sirène,s indiennes, nymphes, dryades. Mais elle, c’était
différent.
L’amour. Souffla Pansy.
Parfaitement, il était amoureux, amoureux d’un ange qui ne vivait
pas sur son île. Entrant discrètement alors qu’elle dormait,
il s’approcha pour la regarder de plus près. Un sourire aux
lèvres il se pencha vers son visage, la jeune fille sursauta en se
réveillant, elle se retint de crier et examina le garçon qui
voletait devant elle.
Qui êtes vous ?
Peter Pan, et toi, es tu un anges ?
Un ange ?
Oui, un ange, j’ai beau te regarder, tu n’es pas une fée,
ni une nymphe et encore moins une dryade. Pour être aussi jolie, tu
dois être un ange alors.
La jeune fille ne comprit au début pas ce que lui disait le garçon
puis sourit avant de lui tendre sa main.
Je m’appelle Wendy.
Alors tu es un ange Wendy.
Si tu veux, mais dis moi, d’où viens tu ?
Je viens du pays imaginaire.
Je ne connais pas ?
Veux tu que je te le fasse découvrir.
Tu le ferais.
Oui, je te présenterais mes amis.
Elle lui sourit et prit sa main, le garçon demanda à Clochette
de l’aider à la faire voler et la jeune fille sourit en se voyant
décoller, tenant toujours la main de Peter, celui-ci lui fit traverser
le ciel.
Regarde ange Wendy, c’est la première étoile à droite
et tout droit jusqu’au matin.
Ils partirent ainsi pour un voyage agréable où la jeune fille
pouvait voir de haut sa ville, les habitants se faire tout petit puis, les
nuages et enfin le beau pays imaginaire. Peter lui fit découvrir chaque
recoin de cette île.
Draco fit une petite pause, on venait de frapper à la porte, Eléanore entra pour voir si tout ce passait bien et voyant que les trois adolescents étaient tranquillement assis sur le lit, elle se permit de soupirer.
Vous voulez vous joindre à nous ? Demanda Pansy.
Que faisiez vous ?
Draco nous racontait l’histoire de Peter Pan et de l’ange Wendy,
vous connaissez ?
Le début, j’ai du la raconter à un enfant.
Dans ce cas venez avec nous, Draco en est arrivé au moment ou Peter
fait découvrir l’île à Wendy.
La jeune fille sourit et vint s’asseoir dans le pouf pour écouter le jeune homme. Draco se racla la gorge et reprit.
Les deux enfants visitèrent donc chaque recoin, il lui montra les
vertes forêts où vivaient les dryades et autres, le coin où se
trouvait les indiens, puis celui des sirènes qui chantaient de leur
voix claires des sonates pour perdre les voyageurs égarés,
puis le bateau pirate, où vivait le capitaine crochet. La jeune fille
fut éblouit par tant de chose qu’elle ne pensait que magie,
oubliant l’endroit qu’elle venait de quitter, elle passa les
meilleures moments de sa vie avec son nouvel ami. Peter lui présenta
les enfants perdus, ses amis, et elle devint leur maman. Seulement, la jeune
fille au fur et à mesure que le temps passait, se rappelait de sa
famille, de sa mère de son père, de ses amis. Ce monde n’était
pas le sien. Elle en toucha deux mots à Peter, qui ne fut pas de cet
avis.
Tu veux retourner là bas ?
Oui Peter, c’est mon monde.
Mais Ange Wendy, nous avons besoin de toi ici.
Oh Peter, je ne peux rester.
Le garçon fut triste mais la jeune fille insista, si bien que Peter
accepta, lui prenant la main, il l’emmena dans endroit rien qu’à lui,
là où se trouvait le trésor. Lui faisant découvrir
cet endroit, il la fit s’asseoir sur un rocher et se mit à jouer
de la flûte. La jeune fille se laissa porter par le doux son et se
mit à danser, entraînant Peter avec elle. Les deux dansèrent
durant un moment avant que la jeune fille ne trébuche et tombe dans
les bras du garçon. Peter la regarda un instant mais ce fut elle qui
scella leurs lèvres d’un tendre baiser.
Je dois rentre maintenant.
Qu’était ce ?
Un baiser.
Baiser ?
Oui, un baiser, dans mon monde, nous en donnons un lorsque nous aimons beaucoup
la personne.
Donc Ange Wendy aime Peter.
Oui j’aime Peter.
Le garçon sourit et fit le même geste que la jeune fille.
Peter aime aussi Wendy.
Puis d’un commun accord, ils rentrèrent, traversant de nouveau
le ciel, le jeune homme déposa la fillette dans sa chambre. Le lit était
vide et froid, les rideaux volaient bercer par le vent. Wendy se coucha et
Peter vint la voir.
Tu reviendras me voir Peter ?
Je ne sais pas.
Ils s’embrassèrent de nouveaux et le jeune homme disparu par
la fenêtre. Le lendemain lorsqu’elle se réveilla, ce fut
pour se retrouver dans son lit, la fenêtre ouverte. Elle se leva pour
aller voir le ciel, il était d’un bleu pur et elle pouvait voir
le chemin qu’elle avait fait avec Peter. Tendant la main, elle sourit.
A bientôt Peter.
Sa phrase se perdit dans l’air, les jours et les nuit passèrent,
mais jamais Peter ne revint la voir, elle grandissait et espérait
toujours, seulement, le jeune homme ne revenait pas. Elle finit par se marier
et laisser de coté cette nuit là, pensant que ce n’avait été qu’un
rêve. Puis un soir, on toqua à sa fenêtre. Elle l’ouvrit
et pu voir le jeune garçon, toujours le même.
Peter ?
Ange Wendy, mais que t’est il arrivé ?
J’ai vieillis Peter.
Vieillis ?
Oui.
Le garçon regarda chambre et tomba sur le visage endormit d’une
jeune fille.
C’est ma fille, Jane.
Ta fille ?
Oui ma fille.
Le garçon s’approcha de l’enfant endormit, pour la deuxième
fois de sa vie, il vit un ange, ne voulant pas cette fois la voir partir,
il se pencha doucement vers elle.
Ne fais pas ça Peter, si elle se réveille, je ne veux pas avoir à lui
dire que tu disparaîtras.
Je ne disparaîtrais pas.
Peter embrassa Jane et celle si se réveilla.
Le conte ne raconte pas plus, seulement que leur histoire à eux se
poursuivit, que tendrement ils s’aimèrent et que plus jamais,
Peter ne vola. Voila.
Draco réveilla tout le monde au mot voila, Pansy s’étira pour faire craquer tout son dos courbaturé, Blaise bailla à s’en décrocher la mâchoire et Eléanore se releva.
Très belle histoire Monsieur Malfoy.
Merci.
Il lui offrit un tout petit sourire avant que celle-ci ne regarde l’heure et mette sa main devant sa bouche.
Il est déjà si tard, vous devriez dormir !
Déjà ? Fit Pansy.
Oui, déjà, ce sont les ordres de monsieur.
Mais monsieur n’est pas là. Fit Blaise.
Je sais, mais les ordres sont les ordres, allez, dans cinq minutes je vous
veux au lit.
La jeune fille quitta la chambre et en cinq minutes, les trois adolescents furent lavés et au lit. Elle passa et éteignit la lumière avant de refermer la porte.
Dis Draco ?
Quoi ?
Tu penses que Peter Pan existe ?
Pansy. Soupira Blaise. T’es plus une gamine, tais toi et dors.
Rooo rabat joie, je demande juste, parce que si ça se trouve, c’est
un très beau garçon.
Pansy !!
Ecoute je dis ce que je pense Blaise chou, si t’es pas content t’as
qu’a pas m’écouter.
Le problème ma chérie, c’est que tu es juste à coté de
moi et que tu me gueules dans les oreilles.
Blaise se retourna et Draco étouffa un petit rire, Pansy grogna contre un abruti qui ne faisait que l’énerver et se tourna de l’autre coté. La chambre se retrouva dans un silence casi-religieux, il n’y avait que le vent qui passait dans les rideaux qui faisaient un petit bruit presque rassurant.
Doucement alors que tout le monde s’endormait, dehors, les rues de Londres étaient presque silencieuses, l’horloge sonna les minuits, un chat miaula alors qu’il sautait de sa poubelle apeuré par une ombre ou une petite lumière, c’était suivant les choix. La petite boule de lumière voleta cherchant apparemment quelqu’un, sans la trouver. Ce posant sur le chapeau d’une poubelle, elle soupira, passant une main lasse dans ses cheveux roux elle soupira. Ou était il passé ? Elle en avait marre de le chercher en vain comme ça.
Le chat qui avait eut peur revint vers la petite luciole, regardant de ses yeux affamés, il leva la patte au dessus de la drôle de bestiole pour l’attraper, elle ferait parfaitement l’affaire pour son dîner. La petite boule de lumière releva la tête pour voir les griffes s’abattre sur elle.
Il y eut un bruit de poubelle, un miaulement strident puis de nouveau les poubelles. Le silence se réinstalla et la petite boule de lumière se posa rapidement sur une gouttière, brandissant son poing et maugréant contre ce stupide animal qui avait voulu la manger. Avisant de sa petite robe rouge et or déchirée, elle râla encore une fois tout sauf poliment et repartit à la recherche de celui qu’elle avait perdu, se promettant de lui faire payer sa disparition.
Une ombre poussa la fenêtre de la pièce, il posa un pied à l’intérieur, regardant à droite et à gauche pour voir s’il n’y avait personne caché près à lui sauter dessus. Avançant d’un pas silencieux, il sursauta lorsqu’un grincement ce fit entendre. Il se dépêcha de retenir la fenêtre avant qu’elle ne réveille les endormis.
Pansy fais moins de bruit…murmura l’un deux en se retournant.
L’ombre soupira lorsqu’il ne vit personne se réveiller,
il repoussa la fenêtre pour qu’elle ne tente plus de trahir sa
présence, puis d’un pas lent, il parcouru la pièce du
regard à la recherche de quelque chose qu’il semblait avoir
perdu.
S’approchant doucement de la malle, il l’ouvrit pour regarder à l’intérieur,
mais ne trouva rien, continuant son avancé vers l’un des placard,
il recommença son manège, toujours cherchant ce qu’il
semblait avoir perdu.
Ses pas étaient légers et il se rapprocha du lit, tombant sur le visage endormit d’une jeune fille aux cheveux noirs de geai, il laissa son regard couler sur le suivant qui avait les cheveux châtains pour finir sur une petite touffe blonde qui lui tournait le dos. Contournant le lit pour voir à qui appartenait une telle couleur qui lui rappelait la lune, il se pencha pour voir le visage serein et pâle du garçon.
Il était beau, approchant sa main lentement, il voulut toucher la joue qui lui semblait si douce mais ses doigts furent retenus par une petite boule de lumière qui venait de rentrer comme une bombe dans la chambre. L’ombre regarda la petite boule pas content, mais celle-ci l’était encore moins.
Ça fait des heures que je te cherche, tu ne devais pas t’éloigner
de moi.
Que tu peux être rabat joie Gin, j’avais envi de visiter un peu.
La petite boule de lumière mit ses mains sur ses hanches en signe de mécontentement, puis fixa la personne qu’elle avait tant cherchée.
On rentre, viens.
Mais Gin, attend…
Non non et non.
Elle le tira par le haut de son col pour repasser par la fenêtre, seulement, elle était tellement petite, que tout ce qu’elle réussit à faire fut de tout lâcher et de se retrouver expulsé dans une petite boite en porcelaine qui se trouvait sur la commode. Le chapeau se refermant en un bruit sec, réveillant celui que l’ombre avait voulu toucher.
Se relevant doucement, une main sur ses yeux, les frottant afin de se réveiller, il posa son regard sur la pièce pour voir d’où était venu le bruit, avisant de la fenêtre ouverte, il sortit du lit pour aller la fermer. S’accoudant un moment à la rambarde, il se permit de rêvasser un en regardant les étoiles. Il se souvenait des paroles de Pansy, et soupira.
Stupide, ça n’existe pas tout ça.
Il referma la fenêtre et se tourna vers son lit puis fit quelques pas pour aller chercher quelque chose dans le placard, il ne faisait pas particulièrement chaud à présent. Il ouvrit les porte et prit une couverture, refermant tout ensuite, il n’entendit pas le soupire de la personne qui s’était caché dedans. Le caché, sentant quelque chose à ses cotés, baissa les yeux pour voir une petite lumière.
Draco allait poser la couverture sur ses amis lorsque la porte s’ouvrit subitement sur un garçon qui essayait de rattraper quelque chose qui volait, le regardant sans comprendre, il le vit courir partout dans sa chambre, le chaos régna bientôt en ce lieu et Draco reprit rapidement ses esprits, seulement, les deux choses venaient de quitter la pièce.
Le garçon courrait après ce qu’il était venu chercher, il était certain qu’il était entré ici, et maintenant, il ne restait plus qu’à l’attraper, mais c’est qu’il volait vite pour un bébé. Il passa en courrant dans le couloir, descendit les escaliers, et le poursuivit dans le silence où la baby-sitter dormait, il trébucha dans le tapis et s’étala de tout son long. Arrêtant de respirer, il attendit que tout soit calme pour être sûr qu’il n’avait pas réveillé la jeune femme.
Puis se relevant, il partit à la recherche de la bête qui avait disparu. Remontant les escalier doucement, il entra dans la chambre, seule pièce qu’il n’avait pas faite, il se retrouva nez à nez avec la bestiole qu’il cherchait.
Draco était resté surpris un long moment et alors qu’il s’apprêtait à bouger pour en apprendre un peu plus sur la personne qu’il venait de voir sortir de son placard, une chose volante se jeta sur lui, il l’attrapa rapidement avant de la regarder. C’était, un dragon. Ouvrant grands les yeux, il regarda l’animal, des ailes osseuses, un long cou relié à un petit corps ressemblant fort à celui d’une souris le tout recouvert d’écaille.s
Entendant le bruit de quelqu’un remontant, il s’approcha de la porte et l’arrivant tomba nez à nez avec l’animal.
Hum Hum.
Le garçon releva la tête pour tomber dans un océan gris, il se perdit un court instant avant de se relever totalement pour faire face à la personne qu’il avait réveillé tout à l’heure et qui tenait dans ses mains, son dragon.
Merci de l’avoir attraper.
J’aimerais savoir ce que vous faites dans cette chambre ?
Et bien, je cherchais mon dragon.
Tout a fait.
Draco lui mit la bestiole dans les mains et le mena rapidement à la fenêtre, qu’il ouvrit.
Bien maintenant, au revoir.
Mais…
Draco le laissa là et partit direction son lit, passant une main dans ses cheveux, il murmura.
Je suis complètement fou, je dois rêver, ouais c’est ça.
Il s’apprêta à se recoucher mais il fut tiré en arrière par le garçon qui voulait voir quelque chose, il ébouriffa un moment ses cheveux avant de sourire.
Tu es vraiment un ange pour avoir les cheveux comme la lune.
Draco le regarda les yeux grands ouverts et se coucha.
Je suis fou, ouais ça doit être ça.
Il ferma les yeux et sursauta lorsqu’il entendit une petite boite tomber et se briser puis la fenêtre se mettre à grincer. Fermant les yeux de plus belle et se forçant à ne pas bouger, il entendit un autre bruit et s’énerva. Il se releva d’un coup prêt à hurler mais il ne trouva que la pièce vide de toute âme, la fenêtre ouverte. Il allait se lever pour la fermer, lorsqu’une tête matte se retrouva juste devant lui. Il fit un bond sur le lit en hurlant.
Blaise et Pansy se réveillèrent en sursaut et regardèrent Draco qui changeait de couleur, pour passer du pâle au foncer.
Nan mais tu n’es pas encore partit.
Dis l’ange, tu me donnes ton nom.
Euh Draco, là tu pourrais me dire si je rêve ou......AIE !!!!
Il se tourna vers Pansy qui souriait.
Comme tu le vois, tu ne rêves pas.
T’aurais pu être plus douce.
Mais je suis toujours douce avec toi.
‘
Spèce de brute.
Non mais ce n’est pas un peu fini ce bordel !!! Cria Draco.
Tout le monde se tut, le jeune homme avait une main sur la figure, se relevant il fit quelques pas dans la chambre.
Bon, reprenons, je suis en train de rêver, ce n’est pas possible
autrement, il n’y a ni Dragon, ni garçon dans ma chambre.
Rooooooo mais elle est trop mimi !!!! Fit Pansy.
Draco se tourna vers ses amis qui étaient fascinés par la boule de lumière, Draco passa une main lasse sur son visage.
Et maintenant une fée, c’est quoi ce bordel ?
Dis l’ange, ton nom, c’est Draco.
Je ne te permes pas tant de familiarité, mon nom est Malfoy.
Malfoy, c’est étrange, mais Draco c’est mieux, dis moi
alors tu es un ange ? Parce que tu ne peux pas être une nymphe, et
encore moins une sirène vu que tu marches, alors peut être,
non plus.
Restons zen, je suis un humain, comme eux.
Il montra les deux enfants qui regardaient le dragon et la fée avec joie, puis hocha la tête de dépit.
Finalement non. Bon écoute, je voudrais dormir, je veux que demain
matin, je me réveille et que tout cela est été le fruit
de mon imagination.
Tu ne m’as pas l’air très gentil pour un…
Tais toi, tais toi, mon nom est Draco Malfoy, rien d’autre clair.
Le garçon hocha la tête avant de se présenter à son tour.
Moi c’est Harry Potter.
Il pencha la tête sur le coté, et Draco pu voir qu’il n’était pas si moche que ça, une peau bien halée par le soleil, des cheveux geais courts tombant en de fines mèches dans son cou, des yeux cachés derrière des lunettes rondes, qui semblaient être vert. Il portait une tunique assez étrange, verte, mais qui lui donnait un aspect assez féerique. Il devait même faire son âge.
Bon tu récupères ton dragon et ta fée et du balai.
Mais…
Draco recommença son manège voulant mettre le garçon dehors mais Pansy fit la moue.
Draco, pourquoi es tu si méchant avec eux ?
Pansy chérie, hum, les dragons, ainsi que les fées n’existent
pas.
Mais…
Non non et non, ce ne sont que des contes pour enfant.
La jeune fille baissa la tête et vit la petite fée devenir un peu palotte, elle lui fit un grand sourire avant de lui dire qu’elle, elle croyait que tout cela était vrai. La fée lui fit un grand sourire avant de se mettre à voleter autour d’elle.
Pansy a raison Dray, regarde, on ne rêve pas.
Rappelez moi de ne plus vous contez d’histoire avant de dormir.
Mais…
J’ai dis non Blaise, vous le savez autant que moi que…
Une main se posa sur sa bouche avant qu’il ne puisse dire une nouvelle fois que ça n’existait pas, la main était assez grande et forte.
Si tu ne crois pas tes amis, dans ce cas, laisse moi te montrer que tout cela est vrai.
Draco leva un sourcil mais le garçon était déjà devant les deux autres.
Vous venez avec nous aussi, je vais vous montrer mon chez moi.
Vrai ? Demanda Blaise.
Oui, vrai de vrai, alors suivez moi.
Il s’était jeté par la fenêtre, Pansy retint un petit cri et Blaise avait tourné la tête. Il y eut un court silence avant qu’une voix ne s’élève.
Et bien vous ne me suivez pas ?
Abrutit, ce mec est un abrutit.
Pansy se leva rapidement pour aller voir ce qui se passait et elle vit Harry voletant dans les airs.
Draco il vole !!!
Harry passa la fenêtre planant librement avant de se mettre juste devant le blond.
C’est vrai vous ne volez pas, Gin’ !
La petite fée se mit à voleter autour de Pansy avant de s’occuper de Blaise, faisant tomber sur eux, une belle poudre dorée, puis vint faire de même sur Draco qui se mit à tousser.
Maintenant, penser à quelque chose d’agréable et allons y.
Pansy ferma les yeux ainsi que Blaise.
Un beau garçon venant me faire la cours comme une princesse.
La tarte aux pommes de ma mère.
Espèce de goinfre. Fit Pansy en riant.
Harry leur fit un magnifique sourire avant de les voir voleter et commencer à s’amuser, Draco, lui, ne décollait pas du tout.
Je t’ai dis de penser à quelque chose d’agréable.
Pff.
Il tourna la tête sur le coté, le jeune homme fit un sourire à Gin, qui fit signe aux autres de sortir, puis soudaint, Draco ce sentit tirer vers la fenêtre.
Dépêche toi, la route est longue.
Il le tira et le fit passer par la fenêtre, cependant, il ne volait toujours pas et Harry fut tiré par le bas mais le retint tout de même par la main.
Pense à quelque chose d’agréable.
Ce n’est qu’un rêve.
Harry sourit, ce garçon était plutôt buté, ça lui plaisait bien, il tira le blond dans ses bras avant d’encrer son regard émeraude dans le sien.
Ce n’est pas grave, si tu ne veux voler, je te porterais.
Draco rougit et poussa le brun avant de fermer les yeux et de penser à quelque chose qu’il ne dirait jamais et il se mit à planer. Harry le sentant plus léger le lâcha et se tourna vers les autres.
Maintenant, direction chez moi !
A suivre…