Nuit de perditude



d Auteur : Lumina alias Shinigami. Donc moi.
Genre : yaoi, romance (je crois), sérieux, et lemon.
Source : Gundam Wing.
Couple : 13x1. Si, si c'est vrai. Mais pas de brutalité.
Disclaimer : ils ne sont pas a moi.
Duo : calme toi.
Lumina : JE SUIS CALME !!! Qu'est qui te fait croire le contraire ?
Duo : et bien c'est ta deuxième fic que tu commence en moins d'une heure. Sans compter que t'as fini sur les deux " sadisme ". Tu tapes comme une malade sur ton clavier. A croire que tu fait un concours avec Heero pour savoir le quel de vous deux tape le plus vite. Et que t'as l'air super stresser la.
Lumina : hn.

Bonne lecture.


La nuit était fraîche et il aurait du prendre une veste. Les yeux grands ouverts et les pupilles dilatées. Pourtant il n'avait pas bu d'alcool. Mais il se sentait comme ivre. Il marchait vite et a de grande enjambés saccadé. Le vent lui caressait le visage et ses cheveux en bataille lui chatouillaient le nez. Le garçon leva ses superbes yeux bleus de Prusse vers les étoiles sans les voir. Chose dommage étant donné qu'elles rayonnaient de toute beauté ce soir. Le vent s'engouffra dans sa chemise bleu nuit en satin la soulevant légèrement, le col ouvert en V et les manche retroussées. Les mains dans les poches de son jean noir moulant. Le japonais continua son chemin vers la planque qu'il partageait avec les autres. Qui ! eux étaient restés au bar ou ils avaient passer la soirée. Une ambiance qu'il avait écourté en décidant que après avoir fini son verre de cocktail sans alcool la fête serait fini pour lui. Sa tête le faisait souffrir et ses yeux le brûlaient. Pourtant il n'avait pas bu d'alcool. Mais il était sur que quelqu'un avait du mettre quelque chose dans son verre a un moment donner. Mais quoi ? Heero ne le savait pas. Alors il continua sa progression à travers les rues sombre.

Dans une limousine Treize était seul et sirotait un verre de vin blanc. Il avisa en train de marcher assez vite un jeune homme qu'il connaissait bien pour être son ennemi. Qui l'aurait cru que le pilote 01 puisse se promener en pleine nuit et en pleine ville. Mais il semblait étrange. Comme ivre. Pourtant il était bien trop jeune pour boire. Il fit arrêter la voiture avant que l'adolescent ne traverse la rue, lui bloquant ainsi le passage. Puis en sortit, arme a la main et la pointa dans sa direction.

Heero regarda cet homme. Il lui disait vaguement quelque chose. Mais une chose était sur dans son esprit embrumer. Il était menacer par une arme a feu. Aussi le garçon sortit la sienne. Mais il ne la tenait pas très bien. Confirmant ainsi les soupçons de Treize. Le jeune homme était bel et bien ivre. Pourtant il semblait ne pas avoir bu. Où on lui avait fait avaler une de ces nouvelles drogues sans qu'il ne s'en rende compte. Ses craintes furent également confirmées en voyant plus loin des hommes qui surveillaient l'adolescent. Le général rangea son arme retira sans aucun mal celle de Heero de ses mains, qui se demanda depuis quand son revolver avait des ailes et disparaissait. Treize le fit monter dans la voiture, et même si le garçon résista un moment. Dans l'état ou il était un chose était sur il ne ferait pas long feu. Une fois à l'intérieur le chauffeur redémarra. Et le général pus voir les hommes qui guettaient l'enfant, rager que leur proie se soit ainsi sauver. Treize se retourna vers le garçon qui se trouvait à l'opposer de la limousine et fus très surpris de la scène qui l'attendait. Heero était allongé sur la banquette, les jambes en équerre, les mains sur le ventre et les yeux fermés. Il s'était endormi des qu'il avait été au chaud. C'était une chose assez étrange de le voir ainsi se dit Treize. Surtout quand on sait que le soldat parfait est toujours sur ses gardes. Mais en le voyant aussi fragile et mignon. Toutes envies de le faire enfermer dans une cellule lui passa au-dessus de la tête et décida de le ramener chez lui. Durant tout le chemin il l'observa. Ses trais fins et détendus. L'expression impassible qu'il lui avait vue lors de ses précédentes captures était envolée. Comme par magie. Autant avant il aimait le regard de cet enfant. Autant il appréciait de le regarder dormir. Calme et sérénité voila se qu'il lui inspirait a se moment présent. Il en vint à penser que le garçon n'était pas seulement mignon, mais beau.

Lorsque la limousine se gara et que Treize en sortit en tenant dans ses bras le pilote 01. Lady Une sans alarma immédiatement. Elle fixa l'enfant endormi et reporta son attention sur le général et comandant de OZ.

- Votre excellence. Vous avez capturé le 01. Mais pourquoi ne pas avoir appeler des hommes. Cela aurait pu être dangereux.
- Lady Une, d'une je n'ai eu aucun mal a le capturer étant donner qu'il a été droguer. De deux il ne m'aurait jamais fait le moindre mal dans l'état ou il est. Et de trois en le voyant ainsi je n'ai pas eu le cœur de le jeter au fond d'un cellule noir, froide et humide.
- Mais votre excellence….
- Suffit !!! il est mon ôte et partira quand ça l'arrangera.

Sur ces bonnes paroles Treize monta les escaliers et emmena le garçon dans une des chambres de sa demeure. Il entra non sans mal dans une suite, ferma la porte en la poussant de son pied, rentrant la tête dans les épaules lorsque celle-ci claqua. Il soupira en voyant que Heero ne s'était pas réveiller. Treize le posa délicatement sur le lit et lorsqu'il voulut se relever il fut stoppé par des bras fin mais fort et finement musclé qui le retenait fermement par le cou. Il regarda les yeux grands ouverts de l'adolescent et se perdit dans le bleu abyssale de froideur. Et qu'elle ne fut pas sa surprise lorsque les douces et chaudes lèvres du japonais se soudèrent aux sienne dans un chaste baiser. Treize ne comprit pas se qui le poussa a répondre au baiser et a se placer aux côtés de Heero en l'enlaçant. Ils commencèrent à se caresser et à se déshabiller mutuellement. Treize se dit qu'il ne devait pas profiter de la faiblesse du garçon. Que le 01 n'était pas lui-même. Mais les douces lèvres et les mains aux longs doits qui le parcouraient le rendaient fou. Bientôt ils furent tout deux mis a nu. Le général parcourut de ses lèvres la peau offerte du cou et du reste du corps de Heero qui gémissait de plaisir. Effleurant les épaules du bous des doigts il descendit toujours un peu plus bas. Tout ce passait avec douceur et lenteur. Le japonais réagissait agréablement bien a ses gestes et gémissait des qu'il frôlait une zone sensible du corps fin de celui-ci. Les mouvement était tendre et le moment magique. Il flatta le vis-à-vis de Heero en le faisant crier de plaisir. Puis il remonta pour se saisir des douces lèvres offertes tout en entrant avec douceur en le soldat parfait. Les mouvements étaient charnels. Les corps ondulaient en harmonie. Le désir montait de plus en plus en chacun d'eux. Jusqu'à l'explosion des deux êtres. La nuit fut tendre. Où chacun se découvrait. Où Treize apprit à aimer cette perdition. Où il tomba amoureux de ce garçon qui n'était pas encore un homme.

Le lendemain lorsque Heero se réveille la première chose qu'il remarqua c'était qu'il n'était pas dans sa chambre. Un mal lui vrillait le crâne. Il se redressa et découvrit qu'il était nu dans ce grand lit. Lorsque le souvenir de la nuit lui revint en mémoire. Le garçon regarda autour de lui. Tout n'était que du luxe. Le lit était très grand, assez pour tenir facilement a quatre. Sans aucun doute c'était une chambre de bourg. On frappa a la porte et il 'hnna' pour signaler qu'il était réveiller. Une jeune femme entra alors, chargé d'un plateau qui contenait un copieux petit déjeuner. Elle s'approcha de lui et le lui posa sur les genoux et commença a repartir. Heero l'interpella.

- Où suis-je ?
- Dans la demeure principale de monsieur khushrenada.

Voila qui était l'homme avec qui il avait couché cette nuit. La femme repartit, il détailla se qu'il y avait dans son plateau. Il ne mangerait jamais tout ça. Il y avait des croissants, un chocolat chaud, un jus d'orange, du pain perdu, un verre avec un aspirine a côté… tout occuper a détailler le tout une penser lui vint. Pourquoi Treize ne l'avait t'il pas fait emprisonner. Quelqu'un refrappa a la porte et le général entra. Heero le dévisagea.

- Tu devrais manger. Lui dit il. Tu as besoin de reprendre des forces.
- Par ce que vous penser que c'est une parti de jambe en l'air qui va me fatigué ?
- Tu es sarcastique. C'est toi qui t'es offert a moi.
- Hn… admettons. Pourquoi ne pas m'avoir fait emprisonner ?
- C'est un enfant drogué que j'ai récupéré sur le trottoir et pas un soldat. Maintenant mange un peu. Il n'y a rien dedans. Et tu es libre de partir quand tu le voudras.

Comme convaincu de ce que lui avançait l'homme, le garçon commença a manger une tranche de pain perdu et avala l'aspirine pour sa tête. Treize l'observa en silence. Le geste calme et posé de l'adolescent le fascinait tout autant que la nuit qu'ils avaient passé ensemble. Le visage qu'il avait entre aperçut avait de nouveau laissé place a celui du soldat impassible. C'était un enfant qui avait grandi beaucoup trop vite. Heero n'alla pas plus loin que deux tranches de pain perdu et fut stopper dans ses gestes par la main de Treize sur sa joue. Il la repoussa doucement et le fixa intensément.

- Il ne faut pas tomber amoureux d'un ennemi général. Déclara il de sa voix grave et atone.

L'homme n'en revenait pas. Le garçon avait résumer en une seule phrase ce que lui-même ne s'avouait pas encore, mais qu'il acceptait. Le soldat parfait se leva, se foutant de sa nudité et se dirigea dans la salle de bain ou il y disparut. Treize savait que sous ce masque un enfant perdu s'y trouvait enfermé et il voulait briser cette fierté. Autrement que par la torture et autre violence. Oui il aimait se garçon et le lui prouverait a sa façon.

Heero ressortit de la salle de bain habillé de ses vêtements de la veille. Demanda a ce qu'on lui rend son arme, qu'il récupéra donc. Le général le raccompagna à la grille de sa demeure.

- Tu serras toujours le bienvenu ici. Tu viens quand tu le désires.
- Et pourquoi je reviendrais ?
- Pour parler, pour avoir du réconfort.
- Je vais y réfléchir.

Treize l'étreignit et lui fit lever le menton. Il l'embrassa tendrement, mais l'adolescent ne répondit ni à l'étreinte, ni au baiser. L'homme le relâcha et Heero partit sans se retourner. Le général regarda s'éloigner la fine silhouette de l'adolescent et se jura qu'un jour il briserait se masque de froideur.

Fin.

TADAAAAAA !!!!!!!!! Vous avez vu j'ai pas mis de note dans ce fic.
Duo : c'est un miracle. Mais…. ?
Lumina : Vi ?
Duo : POURQUOI T'AS MI HEE-CHAN AVEC TREIZE ???????????????
Treize : je m'en plains pas.
Lumina : on le sais toi tu les ferais bien tous.
Heero (brandi un panneau avec écrit dessus 1x2x1) : elle a promis a Salomé Li de pas en faire d'autre de 13x1.
Lumina : vi !! C'est vrai ça.
Duo : bon alors sa passe.


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