Pas de titre
pas titre
Auteur : Loona/Lenquera/Arizona..... Bref, plein de pseudo et surnoms ! ;)
Genre : Ch'ais pas trop mouâ...... à vous de décider !
Adresse : arikitty@free.fr
Base : ben... Fruis basket !
Disclaimer : Bon, ben, aucun des perso présents ne sont à moi, à part Loona ! Paske personne n'en veut ! Oooouuinnnn !!! looooolll
Ch'uis folle, oui, foooollllee ! 'Tention, ais pas pris mes pillules !! SSSHHIIGGUURREEE&HHAATTOORRII PPOOOWWAAA -_-" pppffff... Oui, je sais, faut que je me calme...
CHAPITRE 2 : Une visite surprise...
Ce n'était pas la première fois que je venais ici, mais je ne me souvenais pas où se trouvaient les toilettes. Allez savoir, peut-être que mon sens de l'orientation était pertubé par la propreté des lieux...
En traversant les pièces, je me suis rendue compte que je ne reconnaissait pas "la" maison de Shiguré. Là où les vêtements se trouvaient dans la cuisine et quelques ordures générales dans les chambres.
M'enfin... Je savais à quoi m'attendre avec cette fille dans les parages.
Bon, ces toilettes ? Un couloir ? Trois portes ? Ca ne me disait rien... Deux sur la gauches et une sur la droite. Je pris celle de droite, à tout hasard. Mais je fus bien surprise en découvrant une pièce, pas très grande, bien éclairée grâce à deux fenêtres et une lucarne. De l'air frais rentrait dans le-ci, donnant à cette chambre une atmosphère calme et aérée. Son mobilier n'était pas très encombrant : un lit, une étagère remplis de livres, un bureau et une corbeille pleines de feuilles griffonnés, classe cette chambre, mais un peu trop vide à mon goût.
Je ramassa un papier qui trainaît . Je m'apprêtais à le lire quand...
- Mais qu'est qu'tu fiches ici ?????? C'est MA chambre ! Personne n'y entre sans MON autorisation ! fulmina une voix agressive et familière.
"Encore lui ? Bahh... sa chambre ? L'est plutôt basique. Remarque, la tienne est en bazard, faudra que tu la ranges un jour.. si t'y retourne.."
Je repris le cours de l'histoire, me disant que "Kyon" serait déçue si je ne le provoquerai pas... Ca lui manquerais peut-être ?
- Tiens tiens "Koko"... Tu es fâché ? Faut que tu mettes que c'est ta propriété , car moi, je pensais que j'ouvrai la porte des toilettes... dis-je dans un sourire ironique, exagérant bien le sens de mes mots en passant devant lui.
- Il n'a qu'à marquer "baka neko"... On saura que c'est sa chambre. Loona, les toilettes sont à gauche, deuxième porte... me répondit froidement Yuki, adossé dans l'encadrure de la porte.
- Au fait, nous allons bientôt passer à table, alors, depêches-toi !
- Yuki, reviens te battre, k'no nezumi !!!! RREEVVIIENNSS !! hrla Kyo.
- Après manger, haussa le Rat, déjà au rez-de-chaussé.
Moi, je riais intérieusement. Je pensa que mon séjour ici allais être intéressant. En descendant, j'aperçu le Chien qui patientais en bas de l'escalier, me regardant d'un air très sérieux... Personnellement, je préfére quand il déconne...
Je pris tout mon temps pour descendre, sachant ce qui allait me sortir comme paroles.
- Loo, va falloir qu'on parle après le dîner, débita t-il rapidement.
Je t'attendrai dans mon bureau. Je m'apprêtais à le dépasser pour manger, mais il me dépassa et me lança bien fort pour que je reste sur place :
-Eh Loo ! Je préférais ta tenue léopard à Tokyo !
Kyo qui redescendait en même temps, entendit cette remarque.
- T'as couché avec lui alors ? me demanda t-il. Ca ne m'étonnerais pas, t'es assez perverse pour ça !
- Kyo, mon chou, si tu crois tout ce que dit Shiguré , tu es encore plus crédule que le chat de la légende, lui rétorquais-je.
Ce qui eu pour toute réaction de l'énerver.. (D'ailleurs, qu'es ce qui ne l'énerve pas ? Tohrû ?)
- Tahhhhhh !!!! Si t'étais pas une fille, je t'aurais déjà écraser ! cria t-il.
- Off... J'en tremble de peur.., répliquais-je, un sourire en coin.
Je savais que mon air supérieur l'exaspérait au plus au point et qu'il me savait bien entrainer aux arts martiaux. Il ne se doutait aucunement de la raison qui m'avait poussée à venir ici.
"Pas grave... Laissons-le s'énerver et s'amuser. Il verra bien dans quelques mois... Il verra bien".
A cette pensée, mon coeur se serra, et mon ryhtme cardiaque augmenta brusquement.
Je dus m'appuyer au mur pour ne pas tomber dans les pommes. Kyo me regarda, bouche bée, ne sachant quoi faire.
Mais bien vite, il se repris et m'aida à reprendre mon souffle.
- Que s'est t-il passé ? Tu te sens mal ? Tu veux que j'appelles Shiguré ?
A cet instant, une pensée m'effleura l'esprit : celle de Shiguré en tenue de docteur et celle d'Hatori comme dragueur professionnel et pervers à point.
Je souris, et commenca à rire doucement. Ce rire se transforma en toussetement. Kyo, vraiment inquiet (du moins, il en avais l'air) alla chercher le Chien. Il revint, peu de temps après, accompagné de Shiguré. Celui-ci me jeta à peine un regard, il articula seulement :
- Hatori va venir te chercher dans à peine quelques minutes. Tu te sens capable marcher Loo ?
Tout d'un coup, je me suis sentie très gênée. Gênée de susciter tant d'inquiètude. Ca ne m'arrivais jamais de flancher comme je venais de le faire, et je savais que c'était pour ça qu'ils s'inquiètaient tant.
- Oui, je pense que ça devrait aller, Shiguré, le rassurais-je, mais il se peut que se soit de la fatigue tu sais. Je ne me suis pas reposer depuis ce matin, et il s'est passés des choses depuis...
En essayant de le convaincre que rien de grave ne m'était arrivé, Hatori arriva, et me regarda, peu surpris. Apparement, la nouvelle de Shiguré devait le laisser de froid. Tohrû arriva et paru heureuse que Hatori fut là.
- Bonjour M.Hatori, le salua poliment Tohrû.
- Bonjour Tohrû, lui répondit Hatori. Il recentra son regard sur moi et semblait plongé dans une réflexion profonde.
Les deux maudits m'aidèrent à marcher jusqu'à sa voiture. Après m'être assise à l'avant, Shiguré me fit un signe de dehors qui signifiait que je n'échapperais pas au passage des explications. Je poussa un soupir qui fit tourner la tête à Hatori.
- Ne t'inquiète pas, ça ne durera pas longtemps, me dit-il, si se sont les explications que va te demander Shiguré, c'est sûr que ça va l'être...
- Je sais, je sais, et je n'ai pas l'intention de les éviter, lui répondit-je.
Le trajet fut silencieux jusqu'au manoir. Au moment où Hatori ouvrit sa portière, je ne pus m'empêcher de lui demander :
- Akito... est-il éveillé ?
- Oui, mais il ne sait pas que tu es là. Je ne lui ai rien dit... heureusement pour toi d'ailleurs... murmura t-il.
" Oui, heureusement, et je suis sûre que tu te demandes la raison de ma venue..."
Reprenant un peu confiance en moi-même, nous nous dirigeâmes vers son cabinet. Quelle horreur ! Je déteste aller chez le médecin !
J'en ignore la raison, mais bon... Il me fit faire un détour par une porte dérobée, pour que personne ne puissent contaster ma présence.
Une fois entrée, il sortit mon carnet de santé. Il faut savoir que tous les carnets de santés restent au manoir, c'est bizarre et pas pratique, je le reconnais mais c'est comme ça !
Puis me demanda de me déshabiller. Je suis pas spécialement pudique, mais quand même, je n'en raffole pas !!! Il sortit des objets et commença à m'ausculter.
Puis, il m'annonça :
- Je pense que ce malaise est dut à la fatigue. Rien de bien grave, mais reposes-toi... si tu le peux.
Sa phrase me suprise au plus haut point. Il savait que j'avais des choses derrière la tête, et qu'il ne pouvait m'empêcher de les mettre à jour. Cela me mit encore plus mal à l'aise.
Il reprit, semblant ne pas remarquer mon trouble :
- Au fait, je dois mettre à jour ton carnet Loona...
"AH NON !! Tout mais pas ça..." fulminais-je en moi-même, oubliant ainsi ma stupeur.
- Okay. Y'a des vaccins, je suppose ? dit-je froidement.
- Bien sûr, je vais te les faire tout de suite, même.
"Super".
Il sortit une seringue et me piqua à l'épaule gauche, compressa avec un coton, et fis la même chose de l'autre côté, sauf qu'il changea de seringue.
Puis, il me mesura, enfin, la totale quoi.
Le bilan, une demi-heure après :
- Bon, alors, d'après les examens que je viens de faire, tu fais un 1.65 et tu pèses 52K. C'est normal, mais tu as finis ta croissance.
- Dommage, je n'atteindrai jamais le mètre soixante-dix, adieux, rêves de mannequin ! persiflais-je, furieuse de m'être laisser faire.
- Oui, c'est vrai qu'a 17 ans, tu peux difficilement grandir... dit-il avec une voix neutre, j'ajoute aussi ta date de naissance. D'après elle, tu es du signe du Cheval.
- Je le sais bien, merci ! ironisais-je méchamment, une fois de plus.
Hatori ne broncha pas. Plus froid que de la glace... Il devait quand même me trouver énervante, mais n'en laissa rien paraitre...
-Bon, je vais te ramener chez Shiguré, tu peux te rhabiller..
Après m'être revêtue, nous sommes sortis du cabinet. J'avoue que j'avais un peu peur qu'Akito nous aperçoives, mais Hatori était si calme que je craignait de moins en moins sa venue.
Nous passâmes cette fois par l'allée centrale, bordée de jolis coquelicots éclots.
- Ohh ! Des coquelicots ! me suis-je écriée, toute joyeuse.
Hatori leva un sourcil, inquiet du bruit que je faisait.
- Ben quoi ? J'ai le droit d'aimer les coquelicots, non ? demandais-je.
- Oui, si tu veux... soupira t-il.
Nous étions arrivés à la fin de des plantations de coquelicots (à mon grand regret) et à leur place se succédaient myosoties, pensées, jonquilles, roses blanches, rouges, roses, et même, spécialement devant la porte d'un pavillon, noires. Voyant cela, je me suis mise à frissonner, sachant quelle personne vivait ici. Hatori n'en parut pas s'en soucier le moins du monde.
Bientôt, l'allée se termina et le portail franchit, je vis la Mercedes noire nous attendant.
Je fut surprise un instant, car le moteur tournait, et la voiture semblait chauffer depuis un moment, puisque qu'il n'y avait pas de buée sur le pare-brise (je rapelle que la soirée est très avancée ^^)
La voiture se faufila dans la nuit sombre, tel un chat, chasseur nocture, souple, silencieux, et fier comme un daim.
Elle s'arrêta sans bruits devant la maison de Shiguré mais pourtant les 3 maudits et Tohrû se précipitèrent dehors, comme s'ils nous avaient entendus depuis la grande route.
" Quel accueil ! Fallait pas !"
J'étais encore en colère contre Hatori et son fichu examen médical... Avant que je puisse descendre, Hatori me regarda et me tendit un superbe bouquet de coquelicot qui avaient fait mon admiration dans le manoir Sôma.
- Tu sais, on t'a pas oublié, ni ton caractère, ni tes goûts.. me dit-il en souriant.
Je suis resté sans voix. Le silence peut être aussi éloquent que des remerciements, et il le comprenait.
Ca m'avait fait plaisir de le voir sourire. Lui qui avait vécu tant de chose dures dans sa vie. Je lui rendit son sourire et descendit de la voiture, heureuse comme quand j'avais 5 ans. Les souvenirs m'assaillirent en nombres et me plongèrent dans mon enfance, prématurement close...
Tout cet attirail de sentiments arrivèrent et partirent en quelques secondes.
Je vis Tohrû arriver sur moi, visiblement inquiète, Kyô, qui suivait plus Torhû que ma santé, et enfin Yuki et Shiguré, appuyés sur les colonnes de bois de la maison.
A suivre
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