Perte de contrôle

 

 

Auteur : Magical Girl Kiki à votre service
E-mail : magical_girl_kiki@yahoo.fr
Série : C’est toujours du Gundam Wing mais vu, revu et corrigé par moi
Genre : Incontestablement yaoï, reprise du délire à plein régime, LEMON LEMON LEMON (vous ai-je dit qu’il y avait un lemon dans ce chapitre)
Couples : ce n’est pas un vrai couple donc pas de divulgation intempestive, vous n’avez qu’à lire.
Disclamer : S’ils étaient à moi, ils ne seraient pas aussi sages dans la série.
Chtite note : C’est mon premier lemon et je sais vraiment pas si c’est réussi
Les *********** indiquent un changement dans l’espace ou de point de vue
En italique, c’est les pensées qu’ils ne peuvent contrôler.

 

Chapitre 2 : cabine d’essayage


Dire qu’il ne voulait pas faire cette mission aurait été très largement en dessous de la vérité. Il aurait donné n’importe quoi pour ne pas l’effectuer. Mais comme H lui avait dit, il n’avait pas le choix. Voilà pourquoi Quatre se retrouvait dans ce magasin de grande réputation où son nom avait servi de sésame miraculeux, à écouter une vendeuse, encore mal réveillée au vu de l’heure matinale, environ 9h30 (mais les clients avant tout), à écouter donc une vendeuse lui vanter les avantages de tel ou tel smoking, noir/bleu dans toutes ses nuances/beige/gris/ rose ou même multicolore, sans tenir compte du fait qu’il avait déjà précisé cinq fois qu’il en voulait un blanc. Le jeune homme sentait ses malaises empirés depuis la veille et cette pipelette de vendeuse menaçait de lui coller un mal de tête phénoménal si elle ne se taisait pas rapidement. Il lança un regard désespéré à Trowa qui inspectait d’un œil expert l’étalage de vêtements que la jeune femme avait sorti. Le français en extirpa un smoking blanc qui était passé inaperçu et le tendit à son ami, en demandant gentiment à la vendeuse de leur préparer un café. Elle s’empressa de disparaître pour les satisfaire.

- Merci, soupira Quatre. Je crois que j’ai vraiment besoin d’un café. Pas toi ?
- Non. C’était uniquement pour qu’elle se taise. Va l’essayer qu’on en finisse rapidement.
- On pourrait déjà être reparti si elle avait bien voulu comprendre qu’il me fallait un blanc, même si je m’en passerais, maugréa-t-il en entrant dans la cabine d’essayage.

Quatre commença à retirer son gilet et reprit :

- Tu veux bien me rappeler pourquoi Heero et moi n’avons pas pu louer nos vêtements dans le même magasin.
- Pour éviter d’attirer l’attention, vous n’êtes pas sensés vous connaître pendant cette mission. Ca fait trois fois que tu le demandes. Tu es sûr que ça va ?
- Oui, oui. J’ai juste eu une nuit difficile, ajouta Quatre en enlevant son pantalon après sa chemise.

C’était l’exacte vérité. Malgré les paroles de H, il n’avait toujours pas retrouvé son calme et cela avait affecté son sommeil.
Après avoir quitté son mentor la veille, il avait rejoint ses coéquipiers à l’infirmerie. Sally les avait examinés à tour de rôle et quand était venu le sien, Quatre lui avait confié qu’il ne se sentait pas au mieux. La jeune femme l’avait trouvé un peu chaud mais c’était selon elle sans gravité pour la mission. Elle lui avait tout de même fait une prise de sang pour effectuer des tests complémentaires afin de le rassurer. Il soupira avant d’ôter son débardeur.

- N’empêche que je voudrais bien en avoir déjà fini avec cette mission, j’ai l’impression qu’il va arriver quelque chose qu’on pourrait éviter. Mais on passe à coté alors qu’on a tous les éléments en main. Tu ne ressens rien d’anormal, toi ?

N’obtenant pas de réponse, il posa ses affaires sur une chaise à ses cotés et il se redressa :

- Trowa…, demanda-t-il étonné du silence subit de son ami.

Dos au rideau de la cabine, il entendit les anneaux de celui-ci glisser sur la tringle. Il frissonna : quelqu’un était entré. Quatre voulut se retourner, prêt à frapper un éventuel ennemi mais un bras vint encercler sa taille bloquant les siens et une main se plaqua sur sa bouche étouffant ses protestations. Il allait paniquer quand une voix souffla à son oreille :

- Du calme, c’est moi. Une patrouille de Oz va entrer dans le magasin.

Quatre reconnut la voix de Trowa et se détendit. Le français enleva sa main gauche de la bouche de l’arabe et desserra son étreinte. Quatre se retourna vers le rideau et posa son regard sur ce dérisoire rempart de tissus les séparant du reste du magasin. Les cabines d’essayage étaient en retrait mais si les soldats décidaient de les inspecter, il leur faudrait se battre. Trowa et Quatre tendirent l’oreille quand le carillon de la porte tinta. La vendeuse interrompit la préparation du café pour venir au devant de la patrouille.

- Bonjour messieurs. Puis-je vous aider ?
- Simple inspection de routine. On nous a signalé de nombreuses activités rebelles dans le coin. Vous n’avez rien vu de suspect ou d’inhabituel ? Le moindre détail peut avoir son importance.
- Non. Rien qui puisse vous aidez. Le quartier est très calme en ce moment et c’est toujours comme ça. Je suis désolée.
- Ce n’est pas grave. Excusez-nous pour le dérangement. Au revoir.

On entendit de nouveau le carillon indiquant que les soldats étaient sortis. La vendeuse soupira.

- Même si j’avais vu quelque chose, je n’aurais rien dit. Vous n’êtes que des brutes et c’est à cause de vous s’il y a la guerre. Je préfèrerais aider les rebelles.

Elle retourna alors à sa cafetière laissant de nouveau le magasin vide.

Les deux jeunes hommes soupirèrent soulagés mais Quatre tiqua, une subite rougeur gagnant ses joues.

- Heu… Trowa… Ta main…

Le français baissa les yeux et vit que sa main droite était toujours sur Quatre, posée sur sa taille à la limite de l’élastique de son boxer. Il n’en avait pas eu conscience jusqu’à ce que Quatre le lui fasse remarquer. Son geste avait été spontané, soufflé de manière insidieuse par les pensées qu’il avait eu la veille et avait tenté en vain de refouler. Maintenant, la proximité aidant, il les sentait revenir au galop et se laissa emporté par elles. Il ne voulait plus leur résister, elles étaient trop fortes, trop impérieuses mais surtout si délicieuses. Il commença à caresser doucement le flanc de son ami tandis que son autre main se posait sur la hanche du blond.

- Quoi, ça te gêne, demanda-t-il alors qu’une de ses mains glissa dans le dos de son ami.
- Non, c’est pas ça, déglutit Quatre mais c’est pas dans tes habitudes de….

Il s’étrangla, incapable de continuer. Les mains du pilote du Heavyarms avaient glissé dans son boxer et empoignaient fermement ses fesses. Il sentit son entrejambe réagir fortement à ce contact. Profitant de sa confusion, Trowa le fit reculer doucement et l’arabe fut collé contre le mur. Le jeune homme regarda incrédule son ami délaisser son postérieur pour enlever son pull et eut la surprise de constater qu’il était torse nu en dessous. Maintenant toujours le blond contre le mur, plaquant leurs torses découverts l’un contre l’autre, Trowa replaça ses mains dans le boxer. Quatre sentit alors son dernier vêtement glisser le long de ses cuisses découvrant son érection plus que conséquente. Trowa le souleva, appuyant encore plus son dos contre le mur et faisant tombé le sous-vêtement par terre. Quatre n’eut d’autre solution pour garder l’équilibre que de nouer ses bras autour du cou du pilote aux yeux verts et ses jambes autour de sa taille. Il devina ensuite au-delà des battements soutenus de son cœur le bruit d’une fermeture à glissière qu’on détache et perçut le froissement des vêtements descendant le long des cuisses de Trowa. Leur respiration se fit haletante, l’excitation prenait possession de leurs esprits déjà bien échauffés, leurs yeux s’embrumèrent de désir.
Trowa approcha ses lèvres du cou de Quatre pour en lécher lentement la peau douce pendant qu’il caressait le dos du blond qui se cambra sous les décharges de plaisir qu’il recevait. Les mains du français descendirent sur les reins de Quatre, qui gémit douloureusement, avant de continuer leur route jusqu’à ses fesses. Un doigt s’approcha de l’intimité du jeune homme et la taquina doucement sans pour autant y entrer. Quatre se crispa soudain et se mit à trembler. Trowa cessa ses caresses, reposa les mains sur ses hanches de son partenaire et le regarda une lueur anxieuse dans l’émeraude de ses prunelles.

- Quatre, tu es vierge, demanda-t-il fiévreusement pour tenter d’expliquer la réaction du blond.

Ce dernier ferma les yeux, essayant de calmer la peur qui avait subitement ressurgit dans son esprit. Il avala difficilement sa salive et rouvrit les paupières, démasquant ainsi des pupilles turquoises où appréhension et envie de continuer se bousculaient.

- Non, prononça-t-il péniblement en secouant la tête. Mais… la première et unique fois… n’a pas été….

Il n’eut pas la possibilité de finir sa phrase. Trowa, impatient, saisit un téton dans sa bouche, ce qui lui fit de nouveau perdre pied dans le désir.

- T’inquiète pas, souffla-t-il entre deux coups de langue, ça va aller…

Sans relâcher Quatre, le torturant toujours de ses lèvres et ses dents, il attrapa une bouteille d’eau abandonnée par un ancien client sur une des chaises et entreprit d’humidifier ses doigts et son sexe. Il glissa ensuite sa main vers les fesses de Quatre. Il inséra un premier doigt dans son intimité, le détournant de la douleur fugace mais inévitable en caressant son membre dressé. L’arabe resserra ses jambes autour de la taille de Trowa et enfouit sa tête dans le creux de son épaule qu’il se mit à sucer avidement. Le français, voyant sa diversion réussie, s’activa à le préparer grâce à un léger mouvement avant de rajouter un autre doigt puis un autre. Quatre gémit de douleur puis de contentement, léchant le cou du châtain et remontant jusqu’à son oreille. Cela eut pour effet de lui faire perdre les pédales et ne résistant plus à son envie de posséder Quatre totalement, il ressortit ses doigts. Positionnant le blond au-dessus de son sexe palpitant, il ne put attendre plus longtemps et le pénétra d’un coup. Quatre hoqueta sous l’intrusion mais aucun cri ne passa ses lèvres, le français ayant parfaitement détendu ses muscles, il n’avait ressenti aucune douleur, juste un sentiment étrange mais nullement désagréable, loin de là.

*****************************

La vendeuse revenue avec le café et après avoir bavarder avec sa collègue qui était arrivée entre-temps, fut surprise de ne trouver personne. Elle se dirigea vers les cabines et demanda :

- Monsieur Winner, ça va ? Le smoking est bien à votre taille ?

Une voix légèrement rauque lâcha :

- Trop… étroit…

Habituée aux clients difficiles, elle voulut retourner dans les rayons pour trouver un autre smoking plus ajusté mais la voix la rappela :

- C’est parfait…
- Dans ce cas je vous laisse finir votre essayage, n’hésitez pas à m’appeler en cas de problème, dit-elle en repartant vers l’arrière-boutique pour reprendre sa conversation avec sa collègue où elle l’avait laissée.


*****************************

Trowa était stupéfait, cette sensation de Quatre enserrant de son membre était grisante, enivrante.

- Trop… étroit…, articula-t-il difficilement.

Il ne prit conscience que la vendeuse était revenue et leur avait posé une question que quand Quatre répondit d’une voix douce, non pas à la jeune femme mais à lui :

- C’est parfait…

Trowa releva le visage de son amant d’une main et put voir un sourire d’extase étirer ses lèvres. Il n’en espérait pas plus pour continuer. Trowa agrippa les hanches de Quatre et le soulevant puis l’abaissant, il entama un va-et-vient d’abord lent mais les gémissements qu’il eut en retour lui firent rapidement accélérer la cadence. Le blond suivit le rythme, permettant à son partenaire de l’empaler un peu plus à chaque mouvement. A la cadence soutenue qu’ils avaient adoptée, il ne leur fallut pas longtemps pour arriver aux portes de l’orgasme.

- Trowa…, supplia Quatre d’une voix plaintive, Je…Je vais…

Il ne finit pas sa phrase, emporté par des vagues de plaisir de plus en plus fortes. Trowa comprit que Quatre ne pourrait bientôt plus résister et sentit qu’il allait crier. Il était dans le même état, prêt à succomber au plaisir suprême. Il eut cependant un éclair de lucidité, lui rappelant où ils étaient. Il arrêta ses mouvements et happa la bouche entrouverte du blond, faisant danser leur langue. Pendant qu’ils se dévoraient mutuellement, le français attrapa quelque chose posé sur la chaise. Ils se séparèrent et il approcha le débardeur de Quatre de leurs lèvres. Ce dernier comprit son intention et lui sourit, montrant par là son acquiescement. Ils mordirent dans le tissu en même temps sans se quitter des yeux au moment où Trowa reprit ses coups de reins. Ils étouffèrent ainsi leurs hurlements de plaisir alors que Trowa pénétrait toujours plus loin et plus fort en Quatre. Il se contracta une ultime fois et se libéra entre leurs deux corps aussitôt suivi par son amant qui s’assouvit dans son intimité. Leurs mouvements continuèrent encore quelque secondes, se faisant plus lents et les ramenant en douceur du coin de paradis où ils étaient montés, jusqu’à finalement s’arrêter. Leur bâillon tomba de leur bouche pour les laisser pousser un soupir de contentement.
Ils reprenaient leurs souffles lentement, Quatre serrant toujours son partenaire avec ses bras et ses jambes le visage tourné vers le plafond, Trowa les mains soutenant les fesses de son amant le menton reposant sur son épaule et le front contre le mur.
Un nouveau soupir de Quatre ramena Trowa à la réalité, il prit alors conscience de ce qui venait de se passer. Il glissa ses mains dans son dos, caressant involontairement les cuisses du jeune homme qui frissonna de nouveau. Le français détacha les jambes de Quatre avant de le soulever pour se retirer de son intimité et de le reposer sur le sol. Se détournant de son amant, il remit son pantalon et ramassa son pull avant de sortir de la cabine en courant, torse nu.

*****************************

Aussitôt sorti du magasin, Trowa prit le chemin de la planque. Il avançait à grandes enjambées, la tête basse où tourbillonnaient et se bousculaient violemment les pensées :

Non mais c’était pas vrai ?
Il hallucinait, il délirait, il déraillait complètement…
Qu’est ce qui lui avait pris de faire l’amour avec Quatre ?
Il le voulait depuis qu’il était rentré de mission mais il avais réussi à se contrôler jusque là.
Pourquoi d’un coup, cela lui était apparu comme une nécessité de le posséder, de le prendre encore et encore comme si sa vie en dépendait.
Si on faisait une comparaison, son comportement tenait plus du fauve en rut qu’autre chose. Et encore, dans l’accouplement de n’importe quel animal de la création, il y avait plus de préliminaires que dans ce qui s’était passé avec Quatre…
NON, c’était faux ! Certes, il l’avait pris mais il avait tout fait pour ne pas le blesser malgré son désir littéralement bestial et …

BING !!!!!!!!!!!!!

Il venait de rentrer dans quelqu’un et s’arrêta pour s’excuser. Il remarqua par la même occasion les regards étonnés voire carrément gênés des passants. C’est alors qu’il constata qu’il était toujours torse nu, avec des suçons sur le cou, son pull à la main alors que la température ne devait pas dépasser 4°. Il renfila son pull et reprit sa route. Heureusement qu’il n’était pas rentré dans cette tenue sinon il aurait eu du mal à fournir des explications cohérentes à ses équipiers.
Il arriva à l’appartement que les Mads avaient loués à quelques encablures de leurs cible finale : le bâtiment où étaient cachés les ordinateurs. Il rentra sans que personne ne relève le fait qu’il était seul. Il aurait donc le temps d’y trouver une excuse. Il s’enferma dans sa chambre, assis sur le lit, la tête dans les mains.
Il fallait qu’il réfléchisse à ce qui était arrivé au magasin, qu’il essaye de trouver une explication logique à ces évènements. Il DEVAIT y avoir une explication autre qu’un désir incontrôlable.
Bon sang c’était complètement fou, irréel…

Oui mais c’était tellement bon….

*****************************

Quatre s’était écroulé par terre, perdu.
Il ne pouvait pas avoir couché avec Trowa, c’était tout simplement impossible, il s’était endormi et tout cela n’était qu’un rêve.
NON, c’était bel et bien la réalité, il sentait encore en lui la présence de Trowa, à l’intérieur et sur son corps les traces de leurs jouissances respectives. Ce moment surréaliste s’était bien produit...
Mais après ce qu’ils avaient partagé, pourquoi Trowa avait-il fui sans un mot comme s’il avait le diable aux trousses ? Regrettait-il finalement ce qu’ils avaient fait ? Quatre, lui, ne regrettait rien, même s’il ne comprenait pas comment ils en étaient arrivés là.
Ni l’un ni l’autre apparemment n’avait prémédité ce qui s’était passé mais de toute évidence ils avaient été tous les deux incapables de s’en empêcher, comme si une pulsion irrésistible s’était emparée d’eux. Quatre désirait ses coéquipiers depuis longtemps en raison de ses sentiments mais jamais il n’aurait cru passer à l’acte avec l’un d’eux, encore moins dans une cabine d’essayage d’un magasin de luxe. Alors pourquoi maintenant ? C’était totalement incompréhensible. Il ne voyait aucune raison valable à leurs réactions : cela ressemblait presque à un assouvissement bestial de leurs pulsions les plus primaires. Et pourtant… Pourtant dans leur unique baiser et la façon dont Trowa l’avait pris, on pouvait déceler de la douceur, la peur de le blesser, peut-être de l’am…

Il fut stoppé dans ses réflexions par une douleur fulgurante, qui transperça son corps. C’était comme si des milliers d’aiguilles se plantaient dans chaque centimètre de sa peau. Tous ses muscles se crispèrent violement. Mais cette douleur disparut aussi vite qu’elle était venue le laissant de nouveau fiévreux. Elle avait fait revenir à vitesse grand V ses malaises. Cependant, elle avait eu le mérite de lui faire reprendre légèrement ses esprits. De son cerveau encore déboussolé, il formula une vague idée en rapport avec la mission à effectuer. Il s’y accrocha comme un noyé à une bouée de sauvetage pour se relever malgré ses tremblements. Il ramassa son débardeur, rendu inutilisable à cause des trous laissés par leurs dents et essuya avec les vestiges de leur union sur son ventre et ses cuisses. Il se rhabilla rapidement, prit le smoking et sortit de la cabine. La vendeuse n’était pas revenue, alors il laissa de l’argent sur le comptoir avec un généreux pourboire et quitta le magasin.
Il se dirigea de façon mécanique vers leur planque. Il n’arrivait pas et ne voulait plus formuler une pensée cohérente ou analyser les raisons de leurs actes. Ils avaient une mission à faire qui reposait en grande partie sur lui, il devait se concentrer dessus. Quant à Trowa, ils auraient une discussion pour éclaircir la situation mais plus tard. Il tenta de faire le vide dans son esprit mais une pensée y trottait inlassablement :

Cela avait été si bon.


A SUIVRE

 

IL est fini, mon premier lemon est fini ! YOUPI !!!!!!!!!!!!!!
Pour info, au départ toute cette histoire devait juste être une gentille séance de papouille et une one-shot. Et puis en y réfléchissant, je suis partie dans un véritable délire très profond. Vous comprendrez mieux de quoi je parle dans les prochains chapitres qui risquent d’être aussi chauds que celui-ci.
Kiki