Prend ton en-vol
prend ton envol
Auteur : Nyonoshii (nyo91@voila.fr)
Genre : slash (yaoi) Harry/Drago, PG-13 (donc pas de lemon ^^)
Base : Harry Potter ...
Disclaimer : Les persos ne sont pas à moi, ils appartiennent tous à J.K. Rowling (malheureusement...). Juste cette fic est de mon cru...
Chapitre 2 : Mensonges
Je sortais, en rage, de l'infirmerie. Mais pour qui Malefoy se prenait-il ? ... Mon ennemi. Oui, ça devait sûrement être ça. Malefoy se prend pour mon ennemi. Je ressentais comme l'envie de l'étrangler. Sentir son sang arrêter de bouillonner dans ses veines alors qu'il devient pâle, trop pâle, alors qu'il s'effondre par terre, se tenant, se massant son cou, n'arrivant plus à hurler, ni à bouger....
ça y est, ça recommence. Je ne peux plus m'en empêcher de lui souhaiter sa mort. Mais après tout, c'est ce qu'il me souhaite également, donc qu'est-ce que ça peut faire ? Voilà ce qui me différencie de Malefoy. Voilà pourquoi je suis à Gryffondor alors qu'il est à Serpentard.
Mais... Tout de même. Tout à l'heure... C'était quelque chose de bizarre. Je ne regrettais pas de m'être excusé. J'en avais besoin. Je sais, c'est quelque chose d'étrange... Malefoy reste mon pire ennemi, maintenant que Voldemort n'est plus. Bien sûr, on ne peut pas comparer Malefoy à Voldemort, mais... Hum, je m'embrouille. C'est quelque chose de difficile à expliquer, mais j'avais envie de m'excuser, voilà tout.
Ridicule, voilà le seul mot qui me vient à l'esprit pour le moment. Ma gentillesse me perdra un jour, c'est sûr. Il faudra que j'essaye de me souvenir que Malefoy n'a aucune envie d'entendre mes excuses. Tout ce qu'il a compris, lui, c'est que le " Grand Potter est pratiquement venu se prosterner à ses pieds "... Merd*, qu'est-ce qui m'a pris ? ........ Pourtant, quand je suis venu à l'infirmerie, et quand j'ai vu le gros machin violacé qu'il avait attrapé au dessus de son œil gauche, sur le front... Les mots sont sortis tout seuls, et je me suis dit que ça valait la peine de s'excuser, même si ces excuses sont adressées à un Malefoy. Hum. Je suis cinglé, définitivement cinglé.
A présent, j'allais avoir cours de métamorphose. Depuis l'année dernière, j'avais fait pas mal de progrès dans cette matière, et j'avais désormais atteint un niveau acceptable. Ce n'était pas encore suffisant pour devenir auror, le seul métier qui me venait en tête après mes études à Poudlard, cependant, si je bossais assez dur cette année pour obtenir mon ASPIC, je devrais avoir mes chances, comme me l'avait expliqué Mc Gonagall, au début de l'année scolaire.
Ce jour-là, elle m'avait convoqué, suite à euh... une bêtise. Malefoy m'avait provoqué, et alors que je m'apprêtais à lancer un sort, Mc Gonagall était arrivée telle une furie. Mais je préférais que ce soit elle plutôt que Rogue, il est vrai. Bref.
Après m'avoir longuement sermonné, elle avait commencé à me dire que mon avenir allait être compromis si je n'arrivais pas à me contrôler. J'entends encore sa voix sévère. " Les aurors sont, doivent être sérieux. C'est impensable d'être autrement, dans le métier. Comment voulez-vous accomplir à bien une mission si vous ne pouvez vous empêcher de tuer tout le monde ? "
Mc Gonagall avait raison. Elle le savait, je le savais. Mais j'avais beau faire des efforts... Jamais, je pense, je n'arriverai à résister aux sarcasmes de Malefoy. Il ne faut pas essayer de me demander la lune, non plus !
Ensuite, s'était suivi une discussion sur mon niveau et c'est ainsi qu'avec une lueur de sourire dans les yeux, elle me dit que j'avais peut-être mes chances de devenir auror. Si je travaillais, bien sûr.
J'arrivais devant la salle de cours et entrais. Hermione et Ron étaient déjà arrivés ; je m'assois à côté d'eux. Ron se penche et me murmure :
- ça va être agréable... Pas de Malefoy pour nous casser les pieds aujourd'hui !
- C'est plutôt lui qui s'est cassé quelque chose dans cette histoire...
Nous rions face à cette petite blague... Minable. Mais bon. Nous avions une occasion de nous moquer de Malefoy, on allait quand même pas refuser de rire de si bon cœur !
Une dizaine de minutes plus tard, le cours démarre par l'arrivée de Mc Gonagall, qui, comme d'habitude, fait taire toute la classe.
- Aujourd'hui, nous allons étudier les Animagus. Oui, que de la théorie aujourd'hui, Mr. Weasley. Cela ne peut vous faire de mal, de plus, ce sujet risque fort d'être abordé dans les évaluations écrites des ASPIC.
Qu'est-ce qu'elle peut m'énerver quand elle prend ce ton là... J'aime bien Mc Gonagall, mais quand elle commence à radoter avec ses " évaluations pour les ASPIC de métamorphose... Très important... Avenir... Patati & patata... "... C'est d'un effet soporifique exaspérant. Ce n'est pas que je me foute de mon avenir, mais je n'ai pas envie d'avoir la pression non plus. Ça me donne l'impression que les professeurs sont encore plus stressés que les élèves. Mais après tout, c'est amusant...
Mais je dois avouer que le sujet de ce cours m'intéresse. J'aurais bien aimé être un Animagus. Cela n'a rien à voir avec le fait que je veux ressembler à mon père ou à Sirius... Non, j'aurais bien aimé, c'est tout. Voir l'effet que ça fait de se changer en animal, de ne plus devoir affronter ses problèmes en courant un peu n'importe où, libre comme l'air... ça doit être tout de même merveilleux... .....
- Potter ? Potter !
Hum ?...
Que se passe-t-il ? Je relève la tête et m'aperçois que Mc Gonagall est juste devant moi.
- Oui ? Dis-je, un peu perdu.
Eclat de rire général. Ai-je dit quelque chose qui ne fallait pas ? Apparemment oui, car la directrice adjointe avait l'air exaspérée.
- POTTER ! Comment pensez-vous passer vos ASPIC si vous... Vous ENDORMEZ en plein cours ! Un cours important, très important, en plus ! Voulez-vous être recalé ?
- Hum... Euh... Je suis désolé. Je m'entends marmonner.
Je me suis endormi. Super. Je ne me sentais pas particulièrement fatigué, pourtant. J'essaye de fixer mon attention sur les paroles de Mc Gonagall, mais je me rends compte qu'elle est de nouveau partie dans un interminable discours sur l'importance des ASPIC. Super... Il y a des jours comme ça où tout va bien...
Finalement, ce cours n'était pas si intéressant...
Après de longues minutes qui me semblèrent durer des heures, le cours se termine enfin, et, soulagé, je sors, en compagnie de Ron et Hermione. Je ne peux m'empêcher de bayer, ce qui a l'air de profondément choquer Hermione.
- Mais enfin, Harry ! Tu pourrais faire un minimum d'efforts, je ne sais pas, moi ! Songe un peu que cette année, c'est l'année des examens... Et toi, tu dors en plein cours de métamorphose ! Estime-toi heureux qu'elle n'a pas enlevé de point à cause de ta paresse... S'emporte-t-elle
- Hum... Euh, Harry, c'est vrai qu'elle a un peu raison... C'est notre dernière année à Poudlard et... Approuve Ron, gêné.
- Arrêtez de vous inquiéter ! Ce n'est pas comme si je le faisais à chaque cours... Ce n'est pas parce que... Hum, je me suis un peu laissé aller que je suis déjà recalé.
A leurs airs gênés, je vois qu'ils pensent exactement le contraire. Ron n'a visiblement plus envie de s'étendre sur le sujet, mais Hermione est totalement déchaînée.
- Et d'ailleurs, où étais-tu, après le cours de potion ? Ron et moi, on t'a cherché, mais on a dû abandonner quand on a remarqué qu'on allait être en retard... Dit-elle, soupçonneuse.
- Nulle part. J'avais voulu prendre un autre chemin mais... Euh... Je me suis perdu.
Je savais que je mentais très mal. Mais là... Même Luna Lovegood ne m'aurait pas cru. Mais d'abord... Pourquoi je leur mentais ? J'avais honte de leur dire que j'étais allé voir Malefoy pour m'excuser ?... Excuses, qui l'avaient sans aucun doute bien amusé.
Je sentis ma rage ressortir contre ce blondinet-à-son-papa. Depuis l'épisode catastrophique à l'infirmerie, je m'étais efforcé de me calmer et j'avais essayé de l'oublier. Et voici que Hermione me rappelait son existence ! J'étais de mauvaise humeur, subitement.
Hermione s'apprêtait à parler, mais je fus plus rapide qu'elle.
- Et d'abord, qu'est-ce que ça peut te faire ? Vous allez pas mourir parce que je ne reste pas 24 heures sur 24 avec vous !!!
- Mais non, Harry, je n'ai pas dit ça... Répondit précipitamment Hermione.
- Hey ! Laisse moi en dehors de tes histoires ! Dit Ron, qui n'avait pas l'air de vouloir prendre part à la " conversation ".
- Rah... De toute façon, j'en ai marre. Je m'en vais. Au revoir !
Et je me dirige à contresens de l'endroit où je voulais aller, c'est-à-dire, au cours de Défense Contre les Forces du Mal, qui, exceptionnellement, (car c'était vraiment exceptionnel) avait été repris par Lupin. Oui, Lupin, le professeur loup-garou qui avait été " viré " à cause, justement, de son... " Statut ". En effet, depuis l'année dernière, le Ministère de la Magie avait écrit un Décret concernant les droits des loups-garous au travail. C'était une faveur que j'avais demandée à Fudge, peu après la mort de Voldemort. Après tout, ce ministre qui commençait à " grassouiller " (si vous voyez ce que je veux dire) me devait bien un service.
Toujours en colère après le ... Le culot, oui, c'est ça, le mot... Le culot d'Hermione. Je marche sans trop savoir où je veux aller. N'importe où, du moment que ce soit assez loin de cette... .Calme-toi, Harry, calme-toi... Je notais que cela fonctionnait plus ou moins bien.
Malgré ça, je ne peux pas me calmer. Et puis quoi, encore ?! J'ai l'impression que ma colère s'accroît lorsque je reconnais les lieux où je me dirige, inconsciemment. L'infirmerie. Oh non... Où est-ce que j'étais sur le point d'aller ? Suis-je fou ?! Cela ne m'étonnerait pas...
Il est trop tard pour reculer. Je suis passé devant l'infirmerie, devant la porte vitrée, et j'entends une voix familière, une voix désagréablement traînante m'appeler.
*_*_*_*_*_*_*_*_*_*
Toujours en train de m'ennuyer ferme, couché sur mon lit, alors que Pomfresh m'interdit de bouger, tout en grommelant des " Utiliser des potions pareilles sur ses élèves... Fou... " Je préfère ne faire aucun commentaire. Cette folle serait capable de me donner des somnifères sans m'en rendre compte. Ça me donner presque envie d'être infirmier, cela me permettrait sûrement de torturer pleins de Sang-de-Bourbe...
J'aurais pu, pour passer le temps, m'amuser à imaginer divers moyens pour les torturer quand je le vois arriver. Un sourire narquois aux lèvres, je le salue...
- Tiens, tiens... Que vient faire Saint-Potter ici ? Ou Super-Potter, si tu préfères. Personnellement, j'aime bien " le Balafré... "
- La ferme, Malefoy ! Je ne passais ici que pour... Aller en cours de potions. Dit-il.
Et ben dis donc. C'est vraiment un sacré menteur. Ce que je ne m'empêche pas de lui dire :
- Tu mens décidemment très mal... Tous vos cours de potions en lieu avec les Serpentards. Et si, à cette heure-ci j'étais en cours, ça ne serait certainement pas en cours de potions... J'explique, savourant l'expression de Potter.
Quel sombre idiot... Je ne peux m'empêcher de sourire sarcastiquement. Si il n'avait pas ce léger tremblement dans la voix, et ses deux yeux verts qui semblaient briller par sa colère, j'aurais eu beaucoup plus de mal à savoir si il disait la vérité ou non. Mais là... Ce n'était pas bien dur. Je connaissais mon emploi du temps, tout de même.
- De toute façon, je n'avais aucune intention de venir ici... Dit-il, essayant de reprendre du poil de la bête.
- Mais oui, Potter, mais oui... Tu es venu ici sans t'en apercevoir. Et je vais te croire ?
J'adore l'énerver. J'adore voir cette expression de rage s'afficher sur son visage cramoisi. J'adore le voir serrer les poings, voir sa colère augmenter petit à petit alors qu'il ne peut rien faire. Je me sens tout puissant... De temps à autre, il arrive à renvoyer la balle dans mon camp, et alors, c'est à mon tour de bouillir de rage... Mais contrairement à lui, j'arrive à me contrôler et ne laisser apparaître aucun sentiment.
- J'ai presque pitié de ta connerie, dis-je avec un grand sourire. Malheureusement, je sais que je suis généreux, mais je préfère garder mon intelligence pour moi.
- Ton intelligence ne m'intéresse pas. Et d'ailleurs, c'est quoi cette histoire ? Depuis quand tu es intelligent ? Sûrement depuis que tu es tout fier de ton petit bobo à la tête...
- Laisse tomber, Potter... Tu vois bien que tu t'enfonces...
J'avoue, en mon for intérieur, que j'ai un peu été blessé par la remarque. Mais je ne laisse rien paraître et continue d'afficher mon petit sourire narquois.
Pourquoi cet idiot sourit comme... Comme un idiot, d'ailleurs ? Ses deux yeux verts brillent toujours, mais plus de la même lueur. Il semble... Il semble amusé. Je n'aime pas ce regard. C'est le genre de regard que je lui réserve habituellement. Il ne tarde pas à répondre à ma question silencieuse.
- C'est incroyable comme tu as l'impression de savoir cacher tes sentiments...
C'est à ce moment-là que Pomfresh arrive.
- POTTER ! QUE FAITES VOUS ICI ? FICHEZ LE CAMP TOUT DE SUITE ET LAISSEZ MR. MALEFOY SE REPOSER TRANQUILLEMENT !
Interloqué par cette attaque surprise, le balafré me jette un dernier regard noir avant d'être contraint de partir. Je suis enchanté. Lui qui était venu pour foutre le bordel, le voici qui est obligé de partir, comme un petit chien-chien obéissant à son maître. Je me sens plus puissant que jamais.
Je note le " Potter " de Pomfresh. Elle lui parle comme à un petit chien. Cela me referme encore plus à mon idée... Je note également le " Mr. " devant mon nom. L'humiliation totale pour ce cher Potter...
Si encore il n'y avait pas eu cette phrase...
" C'est incroyable comme tu as l'impression de savoir cacher tes sentiments... "
Qu'a-t-il voulu dire ? Je sais absolument rester impassible ! C'est dans mes gènes, c'est dans mon sang de Malefoy... Aurait-il voulu critiquer mon sang ? Mon nom ? Le s***** !
Et ce regard ! Le chien n'a pas à se rebeller à son maître, que je sache ! Il se croit fort, peut-être ? L'idiot ! Non... Il va me devoir quelques explications.
Je sors ma baguette, je me lève et me dirige vers la sortie. Pomfresh a le dos tourné. Parfait... Je file discrètement. Je tourne la tête, à droite, à gauche. Là !
- Potter ! Je gronde.
Il se retourne. Il a encore ce... Ce regard ! Je suis blême de rage, je le sais, il le sait.
- Tu vas... Tu vas tout de suite arrêter ! Je continue de grogner, d'une voix qui ne me ressemble pas du tout.
- Quoi donc ? Le petit Malefoy n'est pas content ? Je devrais faire attention, il pourrait tout répéter à son petit papa... Dommage que celui-ci soit à Azkaban... Dit-il, le sourire aux lèvres.
Je sors ma baguette magique. Je... Il n'a pas le droit... Il n'a pas le droit de salir l'image de mon père.
- Tu vas regretter tes paroles, Potter...
Je ne sais pas quoi dire d'autres. Je ne trouve plus mes mots. La rage déforme ma voix... P****, Potter ! Tu vas le regretter... Tu vas le regretter...
- Stup... Je commence à dire.
Malheureusement, il est plus rapide que moi.
- Experlliamus* !
Je suis projeté contre le mur face à la violence du sortilège, et je sens ma baguette arrachée des mains, pour atterrir dans celle de Potter. Sale rat... Balafré...
- Je vais te... Je murmure, hors de moi.
- Non, tu ne feras rien du tout, me dit-il d'un sourire.
Et lorsque j'entends Pomfresh me hurler dessus, je ne peux constater que d'une chose : il a raison. Et je bouillonne de rage.
- MALEFOY ! QUE FAITES-VOUS HORS DE L'INFIRMERIE ? JE VOUS SIGNALE QUE VOUS ETES BLESSE ! Me hurle-t-elle.
- Mais Madame, Potter...
- JE NE VEUX RIEN SAVOIR ! J'ENLEVE 25 POINTS A SERPENTARD ! VOUS ME DECEVEZ ENORMEMENT...
Je ne peux que me révolter...
- Mais madame ! Potter m'a provoqué ! Il a ma baguette ! Vous ne pouvez pas... Dis-je vainement en montrant du doigt, où, trois minutes plus tôt, Potter était présent et me narguait.
- TAISEZ-VOUS, MALEFOY, et cessez d'utiliser cette pitoyable excuse contre Mr. Potter. Il n'est plus là depuis dix bonnes minutes, mais vous, vous êtes bien ici...
- Vous pensez vraiment que je sortirais de l'infirmerie sans raison ? Dis-je, découragé.
- CESSEZ D'ETRE INSOLENT ! Vous n'êtes pas le maître, ici, c'est compris ? Et retournez à l'infirmerie, TOUT DE SUITE !
Dépité, bouillonnant de rage, je ne pus que faire ce qu'elle me disait. Tremblant encore de cette rage ravalée, je retournais dans le lit, n'ayant qu'une pensée en tête : me venger. Et renvoyer cette Pomfresh, qui se croit tout permis. Mais le pire encore, c'est que Potter a ma baguette. Qui sait ce qu'il en ferait ? Il pouvait m'en faire, des choses ! Du chantage, ou pire, la détruire.
Quelle preuve j'aurais, dans ce cas-là ?
J'étais d'une humeur massacrante. Pour la première fois de ma vie, je me sentais impuissant. Je ne pouvais qu'essayer de me contrôler, tout en pensant que la prochaine fois, je le tuerais, ce balafré. Et il n'aura plus qu'une balafre, il en aura des centaines...
C'est là que je me souvins. De son regard. Son p***** de regard. Je déchirais le drap de rage.
C'était mon regard. C'était mon regard narquois, mon regard qui le rendait fou de colère. Il... Il n'avait pas le droit. C'était un regard de puissance.
Je vais me venger, c'est sûr...
Je le hais.
A suivre
------------------------------------- Remarque au cours de l'histoire (1, définie par " * ") ------------------------------
*= Je ne suis pas sûre que ça s'écrit comme ça... J'ai un doute, mais j'ai la flemme de vérifier. Lol ^^''
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