Problème Freudien!



problème freudien Série : Fruits basket.
Auteur : Amao le retour
Adresse : amao999@aol.com (n'hésitez pas !)
Genre : euh….un truc a moi, pas comique, bizarre….je sais pas qualifier !
Pèrsos : Yuki principalement et Akito
ATTENTION : LEMON mon premier ! youpie enfin mon premier fanfics Lemon !
Disclamer : ces deux persos sont pas a moi car avec ce que je leur fais ils seraient :ou morts, ou enfuis


Je n'ai jamais compris ce sentiment étrange qui m'a toujours paralysé.

C'est peut-être cette chambre noir, ces tortures incessantes qui me procuraient cette sensation.

Pourtant même là-bas, chez Shiguré, je ressentais encore ses bras se serrer autour de mon torse.
Je sens même maintenant devant cette pierre, son souffle sous mon cou et ses mains sur mes joues. Et cette phrase qu'il répétait sans cesse " pleur pas Yuki, je suis la ! "
Il l'était pour sur, toujours là. C'était un démon caché dans un coin sombre attendant paisible, les cries de souffrances de ses victimes.

Et toujours devant cette pierre grise a l'heure où je vous parle. Je me souviens de mes premiers cries :
" Akitoooooooo, Ouvre moiiiiiiiiii ! JE T'EN SUPPLIE, OUVRE CETTE PORTE NOM DE DIEU !!! ouvre la porte…haaaaaaaaaa, ouvreeeeeeee, j'en peux plus ".
Je criais, je pleurais, je vomissais autant que je pouvais. J'avais mal, peur, et froid. Je voulais mourir.

Le soir souvent je l'entendais gratter à la porte, ou s'y asseoir contre. Cela m'étais insupportable, je voulais le faire souffrire comme il me faisait souffrir, je voulais le tuer, comme il me tuer a feu doux. Lentement.

Et c'est encore devant cette pierre parmi tant d'autres, que je me souviens de cette nuit :
Début flash back
" -Yuki, mon chéri, lève toi !
Akito était rentré dans cette chambre peinte en noir qui me servait de lieu de vie. J'étais recroquevillé dans un coin le plus loin possible de la porte d'entré. La tête dans mes genoux je pleurais.
-pourquoi tu pleurs, Yuki bébé, je suis là! Et aujourd'hui est un grand jour !

Je détestais son coté ironique et sadique je rêvais que d'une chose d'avaler ma langue pour mourir.
-YUKI !REPOND QUAND JE TE PARLE !
Ca voix avait changé, il venait de perdre patience.
-Quelle…est …ce jour ?Demandais-je même si je m'en fichais bien, en reniflant.
Entre mes mèches je le vis sourire de satisfaction .
-Ce jour c'est celui de ton anniversaire !
Déjà ? Lequel ? Je ne sais plus combien de temps je suis ici.
-Quel age…quel age j'ai ?
-Tu as 16 ans aujourd'hui !Tu es un grand ! Et j'ai un cadeau pour toi !
Il sourire encore, heureux, et part fermer la porte avant de revenir s'agenouiller en face de moi dans l'un de ses fidèles kimonos qui avaient défilés chaque jour dans cette chambre. Pourtant je les savais différents sans jamais voir leurs couleurs tant il faisait sombre.

Il passa sa main sur mon épaule, et releva ma tête pour m'embrasser doucement. Lentement.
J'ai été d'abord choqué, c'était un garçon ! Puis de doute façon rien ne pouvait plus me salir.
Il me rapprocha de lui, me fit pivoter, et me posa délicatement sur le sol. Aurait-il peur de me faire mal ?Ai-je pensé sur le coup.

Ce fut ensuite sa main que je sentie courir le long de mon ventre et son autre dans mon dos. Et j'ai dis alors quelque chose que je n'aurais sûrement pas du prononcer.
-Arrête ! Akito arrête !
J'ai essayé un peu de me débattre remuant frénétiquement sous son corps. Mais je pense qu'il s'excita encore plus.
-Oui, j'aime quand tu me résistes Yuki ! C'est pour ça que je t'aime !
J'ai eu envie de vomir. Le verbe " aimer " dans sa bouche. Qu'elle horreur !
Sa main dans mon dos se contracta au point de me faire mal. Il m'embrasse violemment…
-Apprécie ton cadeau d'anniversaire Yuki !
D'une main assuré il dégrafa mon pantalon, puis il se releva pour le faire glisser le long de mes cuisses et le jeter vers la porte d'entrée. Pendant qu'il s'était redressé, il en profita pour enlever d'un geste vif et bref son kimono.
Bizarrement, en moi commençait a monter une sensation bizarre, presque inconnu. Mais si agréable !
Il rigola en me regardant.
-ah ! Je vois que tu aimes mon cadeau.
J'avais une érection, et j'avais honte de moi, j'aurai voulu ma cacher. Et Akito rigolait de plus belle en se frottant a moi.
J'avais une sensation encore une fois bizarre dans le bas du ventre, en sachant qu'il était nu sur moi et idem pour moi.
Il m'avait agripper les mains et les tenait jointes au dessus de ma tête. Il me léchait le torse, j'avais envie qu'il arrête et de prendre une douche. Mais je ne pouvais pas. Mon corps en voulait plus.
Je me suis alors cambré quand sa langue arriva a mon nombril.
Et j'ai poussé un gémissement quand il prit mon sexe dans sa bouche. Ce fut comme le bonheur a son paroxysme. Contradictoire, mais a ce moment je le désirais, je voulais qu'il me prenne plus profondément. Je voulais qu'Akito et moi ne fassions plus qu'une seule et même personne.

Pendant qu'il s'amusait avec mon gland m'arrachant des petits soupirs et cries de plaisirs, il me plaça son majeur dans la bouche pour que je l'humidifie, ce que je fis…
Et j'ai sentit alors la chose, que je voulais ressentire en moi depuis bien deux minutes. Alors il abandonna mon sexe pour venir mieux se placer, et sans aucune douceur me pénétra brutalement :
-AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
-chut, Yuki…chut…
Il avait placé sa main sur ma bouche pour que je ne crie pas. Et je ne comptais pas le faire, ou si mais de plaisir. Alors que des grosses larmes coulaient de mes yeux, pris de désir je commençais a me caresser moi-même pendant qu'Akito assouvissait ses désirs.
Et quand il se lâcha en moi, que le désir monta en moi encore plus, je m'éjaculais sur le torse.
Akito avait relevé la tête, lécha la substance blanche sur mon ventre et posa son visage dessus.
-Bonne anniversaire, mon petit, non devrais-je dire, grand Yuki ! "

Cette nuit peut vous paraître horrible et vous pouvez me traiter de sadique autant que lui mais sachez une chose. Depuis ce jour ma haine envers Akito s'accrut et pourtant je ne pouvais que lui céder.

Et c'est devant cette pierre tombal au nom " d'Akito Soma " que je viens me recueillir. Car oui, je l'aimais au fond. Je l'ai toujours aimé, pour m'avoir frapper, " violé ", et torturé psychologiquement. Mon seul désir peut être aujourd'hui, c'est de mourir ! Je sais ça ne change pas, avant je voulais mourir pour m'évader, m'enfuire et maintenant pour le retrouver. Je l'aime ça oui ! Je l'aime a un point telle que je pourrais tuer pour lui.
Il m'a eu, et a toujours su que je lui appartiendrai. Même si chez Shiguré j'allais mieux, je ne pouvais que pleurer a être loin de lui ! Je m'en veux d'être tombé amoureux du pire être au monde ! Mais c'est cela que j'aime : la méchanceté.

Si le seigneur accepte la venue de ma personne alors je serai au comble du bonheur. Car dieu n'est pas un être bon, c'est un pécheur au cœur ferme, et cruelle. Un homme comme je les aime. Alors laissez moi les clés du paradis, que je puisse y accéder. Laissez moi me promener a Eden sans y être déranger. Laissez moi retrouver celui que j'aime, chez toi ô seigneur, ô mon père, mon frère, mon amant !


FIN



>>> Voilà c'est mon premier Lemon que je publie! Et oui qui aurait cru que se serait sur Fruits basket ????J'aurai cru (moi la première) faire subire mes fantasmes sur Duo et Heero !
Comme quoi la vie nous réserve bien des surprises ! Evidement, j'attends vos commentaires !!!!
Amao999@aol.com !!!!
Et je fais de la pub ! Allez dans STORY lire " GUNDAM LOVE STORY "
Amao: hop! La pub ni vu ni connu !<<<
Merci a AURELIERM pour me beta-lecter !!!


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