Raconte-moi



raconte moi Auteur : ChtiteElfie
Mail : ChtiteElfie@aol.com ou chtiteelfie@hotmail.com
Source : GW
Genre : 2+ ? et franchement je vois rein d'autre
Disclamer : Le pretre est a moi ^^ mais po les g-boys T_T
Note : franchement je me demande pourquoi g écrit ça.


Raconte-moi



Une église en paix dans un monde en guerre. Une église calme ou règne la tranquillité. Le prêtre de l'église va voir ceux qui sont venu chercher refuge dans la demeure de Dieu. Il n'y a personne.
Toujours personne. Qui s'intéresse à Dieu quand il y a la guerre ? Seulement les mourants. Ce qui veule se confesser avant de se retrouver devant Dieu.
Il y a quand même une personne. Un jeune homme. Habituellement se sont ceux qui viennent le plus rarement et toujours accompagner de leur parent. Pourtant celui-la est seul. Il ne fait pas de bruit. N'a pas d'écouteur sur ses oreilles. Il a l'air si triste. Le prêtre se demande ce qui peut le troubler à se point. Il s'approche de lui et se retrouve en face. Le prêtre est surpris. Une longue natte se trouvait à coter de lui sur le banc. Ses yeux couleur améthyste le regardaient avec confiance.
Plus personne n'a confiance en personne durant la guerre. Même les hommes de religion ne sont pas épargnés. Une telle confiance l'étonna et lui rappela la raison de son choix de devenir prêtre. Il se décida à parler.

-Les gens se font rare désormais. J'espère que vous trouverez la paix dans la maison de Dieu.
-Merci, mais je ne pense pas pouvoirs jamais trouver la paix…Ici ou ailleurs.
-Si vous voulez parler le confessionnal est là pour ça.
-Je viendrais…Dans quelques minutes.
-Bien.

Le prêtre repartit. La voix du jeune homme avait été triste. Il se demanda ce qui pouvait troubler l'adolescent à ce point. Il se dirigea vers le confessionnal attendant le jeune homme.
Celui-ci s'y installa au bout de cinq minutes. Il ne dit pas un mot. Le prêtre interprétant mal son silence voulut le rassurer.

-Vous pouvez tout me dire cela ne sortira pas de cet endroit.
-Je le sais. Le père Maxwell me l'avait dit. Un prêtre ne peut se déroger a se serment sous peine d'être radier de son ordre [perso j'en sais rien de se qui se passe s'il le font mais je trouve que sa irait bien comme conséquence moi ^^]. C'est juste que cela me rappelle des souvenir.

Le prêtre était surpris. L'adolescent connaît ou avait connut un prêtre et en parlait avec respect. Presque avec amour [paternel l'amour, paternel bande de pervers è_é]. Il était curieux de savoir qui était ce prêtre pour ce jeune homme.

-Vous semblez tenir à cet homme.
-Effectivement c'est le cas. Je devrai en parler au passer mais je suis toujours attacher à lui, même après sa mort.
-S'il nous entend, il sera heureux de cette phrase.
-Peut-être.
-Pourquoi devriez-vous en parler au passé ?
-Il est mort. Quand il m'a recueillit, je n'étais qu'un voleur et un orphelin. On c'était fait prendre et les gens qui nous avaient attrapés nous ont dit que le père Maxwell acceptait de nous accueillir. Je n'en revenais pas. On me proposait à moi, un gamin des rues d'avoir un toit et à manger tous les jours.
La première fois que sœur Helene s'est occuper de moi elle à voulut me couper les cheveux. Je ne voulais pas et n'arrêtais pas de gigoter pour l'empêcher de me les couper. Le père Maxwell est apparue et lui a dit de m'arranger une coiffure plutôt que de les couper. C'est elle qui me les à coiffer en natte et c'est pour elle que je les garde comme ça. Ensuite ils ont essayer de me placer dans des familles d'accueil. Mais je revenais toujours. Je ne voulais plus les quitter. J'étais égoïste mais j'étais heureux avec eux. Je voulais ne plus jamais les quitter. Ils étaient devenus ma famille. Le père Maxwell et sœur Helene remplacent les parents que je n'avais pas connus. Ils étaient tellement gentils avec moi. Je pensais avoir trouver le paradis. Je me rappelle une fois où des garçons à l'école o* j'allais m'avait dit que je sentais les égouts. Sur le coup cela m'avait mis en colère. Je ne cherchais pas à me débarrasser de mon passé de voleur mais je le trouvais tellement méchant. Que savait-il de la rue ? Avait-il jamais réfléchit à ceux qui n'avaient pas de chance et finissaient dans la rue ? Pensait-il que l'on choisissait cette vie là ? J'étais tellement en colère, que je me suis battu contre lui. Bien évidemment j'ai gagné. Un enfant habituer à se battre contre ceux qui pleuraient quand ils tombaient ne pouvait que gagner. Ils ont dut aller à l'hôpital. On m'a ramené à l'orphelinat. Sœur Helene voulait savoir pourquoi je m'étais battu. Ou plutôt pourquoi j'avais recommencé à me battre contre eux. Je n'arrêtais pas de lui dire que c'était de leur faute. Elle a finit par me demander ce qu'ils avaient dit. Je lui aie répondu. Elle ma prise dans ses bras en me disant que c'était faux.
J'aimais être dans ses bras. C'était tellement réconfortant. J'avais vraiment l'impression qu'elle était devenue ma mère adoptive.
Puis la guerre est arriver. L'église accueillait les blesser. Des rebelles. Nous n'étions plus heureux. La guerre nous prenait nos sourires et nos rires. Un jour ils ont frappé le père Maxwell puis sœur Helene. Ils essayaient de leur rappeler ce qu'était la paix. Ils leurs disaient de ne plus se battre. Les rebelles se sont mis à les prendre pour des espions de l'alliance. Pourtant le père Maxwell et sœur Helene ne faisaient que ce qu'ils faisaient toujours. Ils prônaient la paix. Je ne voulais plus qu'ils les frappent. Je leur aie dit que s'ils acceptaient de partir, je leur volerais une armure mobils. Ils m'ont rit au nez sur l'instant. Mais je leur aie promis de le faire. Je suis partit en courant. J'en ai trouver une dans le camp de l'alliance et je l'aie voler avec le camion. Quand je suis revenu…Quand je suis revenu…

Le jeune homme avait du mal à parler. Le prêtre se doutait de ce qu'il allait dire. Il était lui-même triste. Il est vrai que beaucoup de personne de son ordre avait subi les conséquences de la guerre. Mais il n'avait jamais entendu parler de prêtre frapper. Celui-là avait été d'une générosité telle et cela lui était retomber dessus. Il n'avait pas eut de chance. Le jeune homme reprit son histoire.

-Vous avez entendu parler de la tragédie de l'église Maxwell ?
-Bien sur.

Qui n'en avait pas entendu parler ? Une église réduite en cendre par l'alliance. Il ne comprenait pas ce que voulait dire le jeune homme. Tout le monde était mort dans l'incendie. A moins que…

-Il n'y a eut aucun survivant selon les journaux.

Une goutte d'eau tomba à terre.

-Il y en a eut un. Un garçon qui avait voulut arranger la situation de l'église. Quand il est revenu, il n'a trouvé que des cendres. Il n'en croyait pas ses yeux. Il c'est approcher les jambes tremblantes. Il a appelé. Une femme aux cheveux blonds lui a répondu. Elle était allonger ses cheveux éparpiller autour d'elle. Elle était recouverte de cendre et de sang. Le garçon c'est approcher et la femme lui a dit que le père avait pensé à lui jusqu'à son dernier souffle. Elle lâcha son dernier. Le garçon hurla sa rage et pleura pour la seconde fois de sa vie. Il avait perdu sa troisième famille. Il courut le plus loin possible de ce carnage de cette folie qu'est la guerre.

Le prêtre n'en revenait pas. Il y avait eut un survivant. Et celui-ci se trouvait avec lui. Mais il devait continuer son travail. Même si sa stupéfaction était énorme.

-Pourquoi la troisième ?
-Il vaut mieux que je vous raconte tout. Il faut que vous sachiez tout si vous voulez comprendre.
Troisième famille parce que ma première. Celle qui m'a mise au monde est morte dans les ruelles de L2 quand j'avais quatre ans. Je ne m'en souviens pas et cela est peut-être mieux ainsi. Je ne me rappelle pas de ce qui c'est passer. Seulement que j'ai erré longtemps dans les rues. Un jour, lorsque je fut à la limite de mourir de fatigue, de froid, de faim, et de peur je me suis assis dans un coin et j'ai attendu. Attendu que la mort vienne me chercher. Attendu qu'elle vienne me donner le repos.
Mais quelqu'un est arrivé. C'était adolescent. Il devait avoir dix-sept ans. Il m'a porté dans ses bras. Il m'a emmené dans une autre rue. A l'intérieur d'autres garçons et filles jouaient. Moi, j'étais trop fatiguer pour penser à quoique se soit. Je me suis laisser porter jusqu'à un coin plus abriter. L'adolescent m'a allongé et je me suis endormi.
En me réveillant la fatigue était partit et la peur aussi. L'adolescent c'est approcher à nouveau et m'a tendu de quoi me nourrir. Je ne savais pas si je pouvais accepter mais il insista. J'avais du mal à mâcher et ne pouvais m'asseoir tellement mes muscles manquaient d'énergies. L'adolescent m'appris qu'il s'appelait Solo. Ça n'était pas un enfant de cœur et il volait pour vivre. Mais il c'était une personne merveilleuse. Quand il trouvait des enfants abandonnés ou orphelins comme moi, ils les prenaient avec lui. Il leur apprenait à se battre et à survivre sur L2.
Quand je fut assez rétablit, il m'apprit quelque règle simple pour vivre dans la rue. J'écoutais attentivement mon sauveur. A partir de cet instant il était tout pour moi. Il avait m'a vie entre ses mains. Je me suis fait ami avec les autres de la bande. La plupart finissaient par partir pour se trouver un coin à eux. Moi je restais auprès de Solo. Je l'aidais à accueillirent les nouveaux et volais quand il s'en occupait. Il était mon grand frère. Cette personne qui m'apprenait tout. Cette personne qui pouvait tout. Il voulait toujours que je parte me faire une place ailleurs. Il était sur que je pourrais devenir quelqu'un de bien si je le quittais. Mais je ne voulais pas. Je restais avec lui.
Puis l'épidémie. A ce moment là la bande comptait beaucoup de monde. L'épidémie en prit la moitié. Les médicaments pour étaient détourner et revendu à prix fort pour les riches. Nous, nous mourions en silence.
L'épidémie finit par s'arrêter et trois mois plus tard, elle reprit. Elle fut deux fois plus forte. Toute la bande mourut. Solo comprit. Je le croyais invincible. Il était mort.
J'ai pleuré lors de son agonie.
Solo ne cessait de me dire que les garçons ne pleuraient pas. J'essayais d'arrêter les larmes mais n'y arrivais pas. Il mourut dans mes bras. J'avais perdu ma seconde famille. Je me suis mis à errer dans les rues comme la première fois. Mais par habitude ou par automatisme je me nourrissais. Je ne sais pas si je volais, fouillais les poubelles ou si l'on me donnait à manger mais je mangeais. Finalement, je repris mes esprits et commença à former ma propre bande. De la même façon que Solo.

Le prêtre se demanda comment il avait put parler de cette période avec nostalgie. Lui aurait parlé de cela comme d'une époque détestable de sa vie. De plus ce garçon avait perdu trois fois sa famille. Lui n'aurait pas supporter alors que le jeune homme vivait pour ces personne. Il vivait pour eux. Il se demanda à qu'elle problème il se trouvait confronter. Quelqu'un qui a tellement vécu en si peu de temps devait savoir régler ses problèmes.

-Qu'est-ce qui vous rends malheureux ?
-La peur de la perte.
-La perte de qui ?
-De celui que j'aime.

Ce jeune homme ne paraissait pas inquiet par ses préférences. Cela ne l'étonna pas. Quelqu'un qui avait eut une telle vie ne devait plus chercher après ce genre de détail. Mais il ne comprenait pas ses paroles. Celui qu'il aimait allait-il mourir ?

-Pourquoi avez-vous peur ?
-Vous avez entendu mon histoire. Tous ceux que j'ai aimé, en son mort. Je ne sais pas si je dois lui avouer et risquer de le voir mourir ou continuer à le regarder de loin et le voir vivre.
-Regretteriez-vous qu'il meure sans que vous le lui ayez avoué.
-Je ne sais pas.
-Dite le lui vous vous sentirez mieux après.
-Si je lui dit, il risque de mourir.
-Dite lui aussi vos craintes.
-Vous pensez que je devrais vraiment le faire ?
-Bien sûr.
-Je vous remercie. Me confiez à vous m'a fait du bien.
-Si vous le pouvez faite, la même chose avec celui que vous aimez. Il vous aidera et vous vous sentirez encore mieux.
-Je suivrai votre conseil mais pas tout de suite.
-A vous de voir.
-Merci encore.
-Ceci est la raison pour laquelle je suis ici.

Le jeune homme ne répondit pas. Il sortit du confessionnal. Le prêtre resta assis quelques instant. Il réfléchissait à ce qu'il venait d'entendre. Il finit par sortir et se dirigea vers un banc de prière [je sais po le nom]. Il s'agenouilla et pria. C'était une prière de remerciement. Remerciement pour lui avoir permis de rencontrer ce jeune homme. Remerciement pour l'avoir permis de l'aider. Et enfin un remerciement à tous ceux qui avait été la famille de ce jeune homme un jour ou l'autre. Et enfin, une prière pour que son amour soit réciproque. Il avait le droit au bonheur.


Fin


Mail please *chibi eyes*

L'est tot l'est 21h44. Comprend po comment g put écrire ça. Le pire c que quand je l'ai pensé pour la première fois j'avais tout le discours qui défilait sous mes yeux les gestes du prêtre tout. C'est dans c moment la qu'on regrette de pas avoir de portable comme Hee-chan T_T. Sinon il fait une chaleur a crever ici. Même maintenant on étouffe. C po géniale pour écrire. Ça fatigue méga. Et puis depuis quand fait-il aussi chaud en Bretagne ? L'est censé pleuvoir T_T Doit y avoir qqchose de dérégler là-haut c catastrophique. Voilà g fait mon petit speache et je vous dit salut ^^


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