Les recrues du passé
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Auteur : Kitsune
Adresse: a.kitsune@wanadoo.fr
Base : Gundam Wing
Genre: Première fic, délire
Chapitre 10
-Réveillez-vous, ordonna un soldat aux trois prisonniers. Le général veut vous voir. Non ! Seulement un à la fois. On va commencer par toi, ajouta-t-il en faisant signe à Heero de venir avec lui et une escorte.
La porte se referma aussi vite qu’elle s’était ouverte, laissant Wufei et Shichi seuls, assis sur leurs couchettes, se demandant bien ce que pouvait leur vouloir ce général dont venait de parler le soldat.
Shichi grimaça en sentant la douleur dans son épaule gauche revenir au galop, personne n’étant venu dans cette cellule depuis leur arrestation. Wufei remarqua alors la blessure, et fit signe à la jeune fille de venir vers lui.
-Comment est-ce que tu t’es fait ça ? lui demanda-t-il en examinant l’endroit des dégâts qu’avait causé l’impact de la balle.
-Un guignol m’a confondue avec un stand de tir. Hilde avait bien raison en disant qu’aucun ne savaient tirer correctement.
-Mmm, je vois. Tu aurais dû faire un peu plus attention. Serre les dents, ça va faire mal, l’avertit le Chinois en remontant la manche en sang de la jeune fille.
-Hein ? Tu ne vas tout de même pas…
-Désolé, mais ce ne sont pas eux qui vont le faire.
-Bon, puisqu’on n'a pas le choix. Mais fait vite alors.
Elle attrapa un pan de la couverture de sa couchette, pour y mordre au moment où Wufei commençait à "opérer" afin d’extraire la balle logée dans l’articulation.
Dans le bureau de Treize Kushrenada, les gardes avaient amené Heero, lequel était soumis à un interrogatoire "digne" de lui, du fait qu’il n’était pas vraiment disposé à coopérer avec eux, et encore moins à révéler le but de leurs missions.
-Ainsi, c’est donc toi le fameux pilote 01. Félicitation, tu fais du bon boulot, ironisa Treize. Mais avec moi, c’est une autre affaire. Bien, je répète : qui vous donne vos ordres ?
Le Japonais resta de marbre, comme à son habitude, quand le coup de poing parti, s’abattant dans son ventre.
-REPOND !!!s’énerva l’Allemand [1] .
-Tu rêves, lui répondit l’adolescent, grimaçant à peine sous le coup qu’il avait reçut.
-Bien, ramenez-le à la cellule, et envoyez-moi le suivant.
Le soldat obéit, raccompagnant le jeune homme à sa cellule où Wufei avait terminé de charcuter Shichi, laquelle se trouvait à présent avec un morceau de la chemise du Chinois autour de l’épaule, afin de protéger la plaie.
-Toi, viens ici !ordonna le garde patibulaire à l’adresse Shichi qui était encore sous sa forme garçonnière.
La jeune fille se leva, se frottant l’épaule dont Wufei avait enlevé le projectile, puis se dirigea vers la sortie. Elle était peu rassurée par ce qui pouvait se passer, ayant remarqué qu’à son retour Heero était un peu chancelant, lui, le Gundam humain !
***
-Alors ? Vous trouvez quelque chose ? demanda Relena en entrant dans la chambre où se trouvaient les membres de l’équipe qui avaient entrepris des recherches, n’ayant pas cours ce jour-là, pouvant ainsi chercher le moyen d’aider leurs amis prisonniers de Oz.
-Non, toujours rien, répondit Quatre sans lever le nez de l’écran sur lequel il travaillait depuis une heure.
-En tout cas, Oz n’a pas parlé de cette capture aux informations, intervint Trowa, plongé dans l’étude des plans de la base.
-A l’heure qu’il est, ils sont sûrement en plein interrogatoire, renchérit Hilde.
-Alors, je plains ces pauvres soldats ! ricana Momigie.
-Pauvres ? Les soldats ? s’étonna Relena.
-Ouais. Surtout s’ils essaient d’interroger Shichi, elle ne répond que par ce qui l’arrange, et si ça ne marche pas trop, elle prend un air innocent, en répondant n’importe quoi. Et le pire, c’est qu’on finit toujours par la croire !
-Je vois le genre, soupira Quatre.
***
-Ecoute Wufei, commença Heero quand la porte se referma sur Shichi et ses gardiens. Il faut que tu saches que j’ai fait des recherches sur Momigie et Shichi.
-Tu es vraiment méfiant Yui, lui rétorqua Wufei
-Peut-être, mais j’ai découvert quelque chose sur elles !
-Quoi donc ?Elles font parti de Oz ?s’inquiéta le Chinois.
-Non, mais tous les membres des familles Fugimilla et Lavoie sont morts ou ont disparu il y a plus d’un siècle. Elles ne peuvent être encore en vie, à moins que ce ne soit des imposteurs.
Wufei se figea en entendant ce que lui avait révélé le Japonais, n’en croyant pas ses oreilles.
-Qu’est-ce que tu en conclus ?demanda-t-il tout de même à l’adolescent impassible qui se trouvait en face de lui.
-Nous allons procéder à un petit interrogatoire au retour de Shichi, répondit son camarade.
Quand elle arriva dans le bureau de Treize, Shichi se demanda qui était cet homme en uniforme que les autres soldats semblaient respecter, mais ne fit pas que se poser la question.
-Z’êtes qui vous ? questionna-t-elle lorsque les deux yetis qui l’accompagnent l’asseyent de force sur une chaise en face du bureau, continuant à monter la garde aux côtés de la jeune fille.
-Mmm, je vois que vos amis ne vous ont pas parlé de moi. Je me nomme Treize Kushrenada, et je suis un des dirigeants de Oz.
-Alors c’est donc vous Kushrenandouille ? rétorqua-t-elle avec un grand sourire innocent. Je me demandais bien qui pouvait avoir un nom aussi idiot.
La réponse de la rebelle parut quelque peu choquer Treize, qui en eut un hoquet de surprise.
-Bien, vous êtes nouveau, reprit-il, et inconnu de nos services, donc vous allez nous donner votre identité.
A ces paroles, la Française partit dans un fou rire retentissant, et qui eut du mal à s’arrêter.
-Et vous croyez que c’est en me le demandant gentiment que vous allez obtenir ce que vous désirez ?s’amusa-t-elle. Faut pas rêver mon vieux !
-Bien, nous allons donc utiliser un moyen un peu plus radical, trancha Treize avec un mauvais rire en pointant vers la jeune fille le canon d’une arme. Donnez votre nom !ordonna-t-il d’un ton sec.
-Eh !Faut pas le prendre comme ça !s’exclama-t-elle en feignant d’avoir peur. Le Gnome, dit-elle en se souvenant la fois où Wufei l’avait appelée comme cela après qu’elle ait fait une bêtise.
-Pardon ?
-Ben, on m’appelle le Gnome, répéta-t-elle.
-Vous vous moquez de moi ?s’emporta le général en entendant la réponse qu’il ne comprenait pas, n’ayant jamais appris à parler français.
-Mais nooon, qu’est-ce qui vous fait penser que je me moque de vous ?
-Bon, continuons, décida-t-il en se massant les tempes. Age ?
-Euh…Disons trois ans âge mental, mais sinon, j’en ai treize, assura-t-elle après un moment de réflexion.
-Mais c’est pas vrai !!!VOUS LE FAITES EXPRES OU QUOI ?!?!?hurla-t-il, n’en pouvant plus face à cet enfant.
Il s’approcha d’elle, et la regarda droit dans les yeux, juste au moment où les deux anneaux se mirent à scintiller, donnant presque l’impression de tourner autour des pupilles, et aveuglant Treize par leur luminosité.
-AAARRG !!!s’exclama-t-il en se relevant, les mains plaquées sur ses paupières fermées. Enlève-le d’ici !Tu m’amèneras le troisième demain, je n’en peux plus !ordonna-t-il ensuite à un soldat qui était resté dans l’ombre tout au long de l’interrogatoire.
Le soldat en question n’était autre que Zechs Merquise, qui n’avait justement aucune mission en cours. Il empoigna Shichi par le bras, et l’emmena hors du bureau, suivi par Lucrezia chargée de lui venir en aide au cas où le prisonnier tenterait de s’échapper.
-Excellente tactique, félicitation, murmura le colonel à la jeune fille que tout le monde prenait pour un garçon, tandis qu’il la ramenait à sa cellule
-Merci, mais je n’ai aucun mérite. J’en connais qui font pire que ça, puisque ce sont eux qui m’ont appris.
-Les autres pilotes ?
-Eux ?Vous plaisantez !Non, je parle d’autres personnes que je ne reverrait plus jamais.
-Il ne faut jamais dire ça. Quoi que…Ce n’est pas vraiment l’endroit où vous pourrez de les rencontrer, en effet.
Parvenu devant la porte de la cellule, Zechs l’ouvrit, et poussa durement Shichi dans la pièce, refermant ensuite vivement la porte. Les prisonniers entendirent encore son pas quelque temps, puis Heero et Wufei regardèrent la jeune fille qui était partie s’installer sur sa couchette.
-Pff, j’suis morte, soupira-t-elle en s’allongeant.
-Pourtant, tu n’as pas fait grand-chose, à part peut-être répondre à deux ou trois questions, remarqua Wufei.
-Peut-être, mais je te signale qu’il y a à peine trois jours, je n’étais qu’une civile normale.
-Bien. Il faut qu’on te parle, lui dit Heero.
-De quoi donc ?
-De toi, répondit durement le Japonais.
-D’accord, qu’est-ce que vous voulez savoir de plus ?
-Seulement qui tu es, et ce que tu comptes faire, répondit à son tour Wufei.
-Mais…Vous savez très bien que je m’appelle Shichi Lavoie, et que j’ai été engagé en tant que nouvelle dans l’équipe, tout comme Momigie !
-Justement, trancha Heero, les Fugimilla et les Lavoie ont cessé d’exister il y a plus de cent ans.
En entendant cela, la jeune fille se rembrunit. Elle savait ce qu’il fallait qu’elle réponde, même si ce n’était pas simple.
-Bien. Vous avez gagné, leur dit-elle en venant s’asseoir contre la porte de la cellule. Je suis née en l’an 1989 après Jésus Christ, et Momigie en l’an 1988 après Jésus Christ. Elle et moi venons du passé.
-Du passé ?s’étonnèrent-ils tous deux.
Ils avaient plutôt pensé qu’elle et Momigie étaient des espionnes, mais il ne leur était pas venu à l’esprit qu’elles pouvaient venir du passé.
-Il me semble avoir déjà entendu une chose semblable, se rappela alors Heero. Des gens était envoyés du passé pour accomplir des missions dans le temps…
-Ce sont les recrues du passé, souffla Shichi. Et nous en faisons parti.
BAOUM !!!
La discussion s’arrêta là, la porte venant de voler en éclat. Le choc de l’explosion propulsa la jeune fille sur le mur qui se trouvait de l’autre côté de la pièce, et tandis que Wufei se précipitait vers la Française assommée, Heero avait bondit sur ses pieds, cherchant qui avait pu faire cela, prêt à se battre.
-Taro ?T’es sûr que c’est la bonne porte ?Y’a juste un zigoto qui est prêt à nous défoncer la tête, là-dedans, demanda une première voix.
-T’inquiète !Demande lui plutôt s’il sait où elle est, répondit une deuxième voix.
-Attend, faut déjà que j’arrive à bien le voir, c’est un peu flou ici.
-T’as qu’à remettre tes lunettes, idiot !Mais c’est vrai, t’as tout de même raison, on n’y voit pas grand-chose, mais ça, c’est à cause de l’explosion.
-T’es connaisseur à ce que je vois.
-Tu sais, Kojirô, à force de regarder des films destructeurs, j’en connaît un rayon.
-Au fait, faut toujours que tu me prête "Anaconda", tu te souviens ?
-Plus tard. Pour l’instant, il faut qu’on la retrouve.
Heero commença à distinguer deux silhouette à travers poussière soulevée par l’explosion. Il n’y voyait cependant pas grand-chose, seulement que les deux personnes qui parlaient s’avançaient vers Wufei, Shichi et lui.
-Qui êtes-vous ?leur demanda-t-il lorsqu’ils approchèrent de lui.
Il put alors clairement voir qu’il s’agissait de deux jeunes adolescents, l’un de la taille de Shichi, et l’autre dépassant son camarade de pratiquement deux têtes.
-Plus tard les questions, répondit le plus petit. Tu connais Shichi Lavoie ?
-Oui, bien sûr, répondit-il, se demandant ce que voulait les deux garçons à la jeune fille.
-Où est-elle ?Vite !On a pas beaucoup de temps !s’impatienta l’autre adolescent.
-Au fond, avec le Chinois, les renseigna le Japonais, avec, il faut bien le dire, une certaine méfiance vis-à-vis des deux jeunes garçons.
-Bien. Taro, va la chercher !Et fait attention cette fois !ordonna le dénommé Kojirô à son camarade.
-Je ne te garantis rien, répliqua Taro en se dirigeant vers l’endroit où était allongée la jeune fille, toujours dans les vapes après le choc qu’elle avait reçut en se prenant le mur.
-EEH !!!s’exclama Wufei lorsque le grand inconnu embarqua Shichi dans ses bras. Où est-ce que vous l’amenez ?
-Dans un endroit où vous serez en sécurité si vous voulez sortir d’ici, lui dit sèchement Kojirô en plissant les yeux derrière ses lunettes rectangulaires. Alors dépêchez-vous avant qu’ils ne donnent l’alarme !
Ils suivirent le conseil du jeune garçon, et sortir à sa suite, se tenant sur leurs gardes. Kojirô les mena dans un dédale de couloir, Wufei se demandant comment le jeune Français pouvait s’y retrouver. Au bout d'une minute de course précipitée, ils entendirent l’alarme retentir dans la base, résonnant dans les couloirs.
-Comment se fait-il qu’elle ne se mette en marche que maintenant ? s’étonna Heero.
-Eh ! Ch’uis un pro de l’informatique, moi ! s’exclama Taro en se retournant vers le Japonais. Alors l’alarme, c’était du gâteau de la saboter !
L’Asiatique soupira en entendant cela, se demandant où Kojirô pouvait bien les emmener, lorsque celui-ci s’arrêta devant une porte, faisant signe aux autres de le suivre à l’intérieur après l’avoir ouvert avec uns espèce d’épingle à nourrice.
"Comme il y a deux cents ans" songea Heero en voyant les gestes précis que l’adolescent exécuta avant d’ouvrir la porte et de s’y engouffrer, suivit de Taro et les autres.
Une fois à l’intérieur de la salle, Kojirô ouvrit la fenêtre et jugea la hauteur. Dix mètres.
-Bien, c’est ici. Taro, passe-moi Shichi, tu descends le premier. Je te la repasse après. T’as intérêt à bien la rattraper, sinon, je ne réponds plus de mes actes !A moins que…
Il se retourna vers les deux Asiatiques qui attendaient toujours derrière, Wufei inquiet sur ce qu’allait subir Shichi.
-Est-ce que l’un de vous sait chuter de dix mètres de haut sans se blesser, mais avec quelqu’un dans ses bras ?
-Wufei sais faire, répondit Heero en jetant un coup d’œil au Chinois. Ils s’est bien entraîné avec Sally.
-YUI !!!Ma vie privée ne te regarde pas que je sache !s’offusqua le jeune homme en rougissant légèrement.
-Bon, en tout cas, on vous fait confiance, continua Kojirô sans se préoccuper de la dispute qui commençait entre les deux pilotes. Taro, passe-leur la fille. Comme ça, tu pourras me rattraper si je me loupe.
-OK, tiens ça toi, fit le grand garçon en mettant Shichi dans les bras de Wufei. Bon, on se retrouve en bas, ajouta-t-il en sautant par la fenêtre.
-EH ?!Mais…Il a l’habitude au moins ?s’inquiéta Wufei en voyant le jeune homme disparaître.
-Faut pas s’inquiéter, il s’entraînait en se scratchant par terre, à l’école, le rassura Kojirô en se postant sur le rebord de la fenêtre. Bon, j’espère qu’il pourra me rattraper, j’ai pas son expérience, moi !A tout à l’heure si tout va bien, les mecs, ajouta-t-il en disparaissant à son tour.
-ILS SONT DERRIERE CETTE PORTE !!!s’exclama une voix hors de la pièce.
-Mince, ils nous ont retrouvés. Bon, j’y vais, fit Wufei en assurant sa prise sur la jeune fille dont il avait la charge, se précipitant ensuite dans le vide à la suite de Taro et Kojirô, lui-même suivi par Heero au moment où il touchait le sol.
-VITE !!!SUIVEZ-NOUS !!!s’exclama Taro en courant vers un portail derrière lequel était camouflée une camionnette.
Le jeune garçon se précipita au volant, mit le contact pendant que les autres s’installaient à l’arrière, et démarra en trombe, défonçant au passage quelques soldats qui venaient à la rescousse.
***
-EEEH !!!s’exclama Quatre en regardant les informations. Venez voir ça les mecs !
Tous se ruèrent dans la salle de détente dans laquelle Quatre regardait les infos, espérant ainsi découvrir de nouvelles informations sur l’endroit où étaient retenus captifs leurs amis, et virent alors ce qui avait intéressé le petit blond. Un reportage relatait l’évasion de leurs camarades.
-Lieutenant Noin, que pouvez-vous nous dire sur ce qu’il s’est passé ?interrogea un journaliste. Comment ont-ils pu s’échapper ?
-Ils ont eu une aide extérieure qui a réussit à s’infiltrer dans la base, a saboté l’alarme afin qu’elle ne soit pratiquement plus opérationnelle, et les ont libérés, répondit la jeune femme. Tout ce que nous pouvons vous dire de plus, c’est que l’un des prisonniers était blessé à son arrivée, ce qui risque de les ralentir un peu.
-UNE AIDE EXTERIEUR ?!?!?s’exclama Duo, visiblement surpris. Mais…Qui ça ? Aucun d’entre nous n’y est allé seul en plus !Qui cela peut-il être ?
-Apparemment, ce sont des alliés, puisqu’ils les ont libérés, observa Trowa.
-Peut-être, mais imagine qu’ils leur posent des questions avant de les rendre à Oz ?continua Duo.
-Je trouve que tu es trop négatif aujourd’hui, Duo, lui fit remarquer Hilde. Qu’est-ce qui ne va pas ?T’es fatigué ?
-Non, non, ça va, répondit l’Américain en se levant. Bon, je vais dans ma chambre.
-Attend-moi !s’exclama l’Allemande en se lançant à sa poursuite.
-Qu’est-ce que tu veux ?lui demanda-t-il en se retournant vers la jeune fille.
-Je pourrais toujours essayer de te remonter le morale, lui murmura-t-elle.
-Ah ?J’hésite, l’embêta Duo.
-Alleeeeez !Viens !insista-t-elle en le tirant par la manche. Je te préviens, Duo, c’est maintenant où jamais !
-Ah ?Alors j’arrive !fit-il en se laissant entraîner par son Allemande.
A suivre [Chapitre 10]
[1] Promis ! Treize est allemand !
Fics Gundam Wing
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