Renaître de notre haine


Auteur: Salmanda
Source: Harry Potter
Genre: Mystère, Romance, tragédie


Chapitre 1


Je suis en retard, j'aurait du les rapporter plus tôt. Je doit y aller vite. Il fait sinistre se soir. Le genre de soirée ou vous remerciez le ciel d'avoir crée des choses aussi belle, belle et sinistre cette nuit. Ces soir ou, il fait si noir que l'on voit le rayon de lumière des lampadaires. Des soir tellement sinistre que vous priez Dieu pour qu'elle ne soit malheur pour personne. Une soirée aussi belle, que l'on veux qu'elle reste gravé en nous. Des nuits ou, on ne veux qu'une chose, c'est marché à travers le vent déchaîné. Marché sur les trottoir mi-éclairé, marché dans la lumière et dans l'obscurité à la fois. Marché en sentant le vent caressé violemment votre peau et emmêlé vos cheveux. Sentir le vents si durement sur votre visage que l'on en pleure des yeux. Se genre de soir que l'on prit d'avoir. J'avait prié le soir d'avant, d'en avoir une nuit comme celle-la. Le genre de nuits où tout peu arriver.

C'était se genre de soir, se soir. Plus belle et magnifique que jamais. Mais tout de même. Il fait que je rentre, le travaille m'attendait. Car je suis journaliste. Et le journal pour qui je travaille boucle sa fermeture le lendemain. Alors il fallait que je me remettre sur cette article. Mais je savourait quand même cette marche jusqu'à mon appartement. Je vivait en banlieue. Dans un duplexe luxueux. Pas très grand, mais très satisfaisant pour une travailleuse célibataire.

Quand ma marche prit fin, j'ouvrit la porte en soupirant de devoir quitté une nuit si fabuleuse. Je m'assis devant mon ordinateur portatif, relu et relu mon article déjà a moitié complété et le supprima. A croire que tout se que je pondrai se soir ne sera jamais satisfaisant. Il faut dire je suis une perfectionniste incorrigible. Je me demande souvent pourquoi je fait se boulot. J'écrit, je rédige et tout sa dans un journal moldu. Il faut croire que sortir première de classe d'une école de sorcellerie ne vaut rien quand on a choisi le journalisme comme voie de carrière. J'ai bien sur eu plusieurs proposition a ''la gazette du sorcier'' mais le poste qui m'était offert n'était que ragots et potins, j'ai donc refusé pour ne pas devenir comme cette Rita. Mais je m'en suis mordu les doigts quand j'ai vu la super vie que menait Pansy Parkinson, celle qui a pris le poste à ma place. Mais bon j'ai quand même un emploie bien payé. Il est ennuyeux à mourir et il est chez les moldus. Mais je ne m'en fait pas. Je mène une belle vie, la seule chose qui me tracasse c'est que je ne peux revoir Harry et Ron, car j'ai perdu contact après le collège, surtout à cause de mon emploie et de leurs emplois. Il sont toujours à la poursuite de Vous-savez-qui. Dans l'ordre du phénix, ils sont devenu une équipe d'Auror inséparable. Le meilleur duo de tout les temps.

Mais bon…Je me balança la tête de tout bord tout coté pour éviter de penser et pour revenir à mon articles. Je m'occupait de la rubrique ''Étrange et Mystère''. Se qui m'allait plutôt bien. Cette semaine c'était sur un mystérieux meurtre, le corps avait été retrouvé idem sans égratignure aucune et la victime ne souffrait d'aucun malaise quelconque. Ce genre d'article était particulièrement dur à écrit, sachant très bien qui était à la source de c'est meurtre. Mais elle se força tout de même à rendre sa crédible. Elle avait fait une enquête sur le passé de la victime, un certains Joshua Ibert. Il n'avait rien de maléfique. Il était un père de famille, deux enfants, une femme. Aucun problème d'alcool, ni de drogue. Que pouvait-elle bien inventé pour couvrir Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom.

Elle réfléchissait, toujours, encore et encore. Non rien. Se n'est pas crédible tout sa. Elle se leva d'un bond. Alla à la cuisine, ouvrit le réfrigérateur en sorti le lait. Pesa sur le bouton de la cafetière. Un bon café au lait. Rien de mieux pour faire marcher ses neurones. Elle le prépara et l'avala d'un coup. Elle retourna devant son ordinateur et commença à écrire. Non, Non et Non. Pas crédible, pas crédible. Se dit elle dans sa tête. Et maintenant elle faisait les cents pas dans le petit salon. Elle se creusa la tête. Après d'incontestables minutes, elle s'effondra sur le petit canapé. Elle leva la tête au ciel et aperçu sur un de ces livres de magie, un symbole. C'est à se moment la qu'elle eut une idée brillante. Elle prit son volume de ''la magie noire, Comment s'en protégé ?'' Et elle regarda au chapitre des sortilèges interdits. Elle parcoura les pages et arriva au paragraphe qu'il l'intéressait. Elle commença à lire tout haut.

- L'Avada Kedavra, sortilège interdit causant la mort. Quand il est exécuter correctement se sortilège provoque la mort de celui qui le reçoit. Une éclair verte est élancé de la baguette. L'endroit ou touche se sortilège, une petite éclair apparaît, mais malheureusement elle ne peux guérir puisque la personne est morte. Donc sa reste une blessure, mais tellement minime que personne ne la remarque vraiment.

Elle finit de lire et repris d'un ton triomphant.

- C'est ça, c'est ça !!! Une secte ! je vais parler d'une secte.

Elle coura jusqu'à son bureau et commença à écrire. Elle n'en finissait plus d'écrire.

''…je n'accuse aucune association religieuse, mais les traces retrouvé sur le cadavre peuvent être la preuve d'un sortilège démoniaque où d'une pratique satanique. Tous sa pour dire qu'il ne faut pas prendre se genre de choses à la légère, cela pourrait devenir beaucoup plus sérieux.
Est-ce une secte ou un tueur en série, dans tous les cas cela risque sûrement de se répéter. Il font donc prendre du recul envers le crime. Et surtout de tout se qui pourrais sembler d'un associations douteuse. Bien à vous, cher(è)s lecteurs(trice).

Hermione Granger''

Son article était assez satisfaisant pour qu'elle consente a l'envoyer. Elle n'avait pas vraiment le choix puisque le journal devait être imprimer à 2h du matin et il était déjà 12h40. Le travail terminé, elle pouvait prendre un peu de repos. Malgré que les heures de sommeil de cette nuit sont plutôt limité, elle tachera de se reposer du mieux qu'elle peut. Elle éteignit son portable et se leva.

C'est à se moment qu'il frappa à la porte. Pourquoi avait-il frappé à sa porte et pas à une autre ? Je ne sais pas. Mais il était la sur le seuil de ma porte, au beau milieu de la nuit. Elle lui ouvrit bien courtoise, comme une ôte respectable malgré le mépris de temps de mauvais souvenirs envers lui. Il était mal en points. Quasiment sur un genoux. Couvert de plait de la tête au pieds. Il avait sûrement un poignets fracasser et une ou même plusieurs côtes également. Il en faisait pitié. Le voyant la mine atroce, elle ne pu s'empêché de pousser un cri de tristesse et d'horreur. Elle aurait sûrement paniqué si s'aurait été un inconnu. Mais lui… elle ne pouvait, malgré le passé, le laissé comme ça.

Alors, elle l'aida à se levé. Le pris par l'épaule. Le traîna jusqu'à la deuxième chambre. Le coucha sur le lit pour lui pansé ses plais. Elle mit son poignets en écharpe, elle verrait le lendemain pour voir si la fracture était bien grave. Et elle s'assit près de lui, tout la nuit. En laissant échapper une larme ou deux en regardant sa mine atroce. Elle le regarda, elle le contempla tel un ange sur son protégé, tout la nuit jusqu'au petit matin ou de fatigue, elle s'assoupi. Pourquoi avait-elle fait sa ? seulement parce qu'elle éprouvait de la pitié, seulement parce qu'elle lui faisait pitié.

A suivre...


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