Les soubrettes égyptiennes



les soubrettes égyptiennes Auteur :Ysa (Ysachan)
Adresse : maelarchange@hotmail.com
Série : Yu-gi-oh
Genre :yaoi, OCC
Couple : Yami Marik X Yami Bakura
Disclaimer : personnages de yu-gi-oh
*** *** : déplacement temporel
présentation de l'histoire : Yami Marik et Marik sont engagés par Seto pour un boulot…un peu délicat.


Chapitre un



- Debout !
- Nan, laisse moi dormir !
- Debout ou l'intendant va se fâcher !
- Eh bien tant pis !

Yami Marik, bien décidé à rester sous ses couvertures n'entendit pas l'intendant du château arriver. Yami Yugi, car il était l'intendant, empoigna le feignant avec ses couvertures et ses draps et le jeta sans ménagement par terre, Yami Marik poussa un juron et essaya de se débattre dans ses draps qui le retenaient prisonnier. Quand enfin il sortit la tête de ses couvertures, il se trouva en face d'un Yami Yugi furieux, il faillit replonger immédiatement dans ses draps mais n'en eut pas le temps.

- Il est 6h30 du matin(et tout va bien ^-^),et le patron va bientôt se réveiller, allez dépêche-toi.

Yami Marik se redressa en maugréant, cela faisait déjà sept mois qu'il travaillait dans la résidence Kaiba avec son frère sous les ordres du " patron ", Seto-sama. Il y avait bien quelques domestiques qui n'étaient pas foncièrement méchants mais Yami Marik les détestait tous ; à leur façon de regarder son frère et lui-même ; et puis il y avait aussi les hommes de main de Seto-sama, et plus particulièrement leur chef, Yami Bakura, un vrai salaud selon Yami Marik. Et puis il y avait pire leur tenue de travail, qui dit en passant, était en elle-même la parfaite représentation de leur genre de travail : lui et son frère devaient enfiler des tenues de bonnes. D'après Yami Bakura, qui n'arrêtait pas de leur mettre la main aux fesses quand ils passaient, lui ou son frère, devant lui, ils étaient à " croquer " dans leur robe. Marik, un peu timide, avait eu plus de mal à s'y habituer, le pauvre, entre le patron qui lui soulevait sa robe quand il lui apportait son petit déjeuner le matin, et l'intendant qui se rinçait l'œil quand son patron mettait bien en vue les dessous de Marik, il n'avait pas de chance. Il en avait parlé à son frère et celui ci lui avait dis de faire attention.

Sortant de sa rêverie, Yami Marik commença à enfiler avec dégout, la petite culotte blanche avec les porte-jarretelles, y accrocha les collants blancs, puis enfila la robe noire avec le tablier en dentelles. Ridicule, il était sûr d'avoir l'air ridicule, cela faisait sept mois qu'il se répétait cette phrase dans sa tête.

- Tu…tu peux venir m'aider ?, supplia Marik qui n'avait toujours pas compris comment s'accrochaient les collants, il se débattait avec, il se débattait toujours avec, autant les porte-jarretelles il avait tout de suite compris le truc, autant les collants s'étaient une autre paire de manche.(^_^)
- Eh les bonniches ! Vous allez être en retard !
- On arrive ! ", cria Yami Marik.

Il aida rapidement Marik à enfiler ses collants, puis ils se précipitèrent à la cuisine pour préparer le thé, le café, les tartines, toute cette bonne nourriture qui leur rappelait qu'il n'avait pas manger.

- Tu sais, hier, Seto-sama m'a encore mis la main aux fesses et ……
- Et ?
- Et il a soulevé ma robe…
- Et ?
- Et il a décroché mes collants…
- Et ?
- Et j'ai mis un temps fou à les remettre.
- Je t'avais dit de faire attention.

Marik frissonna.

- Tu as froid ?
- Non, mais je repense à hier quand j'essayais de remettre mes collants monsieur Yami Bakura est rentré et quand il m'a vu ….et bin il a ri.
- C'est tout ? Il n'a rien tenté d'autre ?
- Il m'a proposer son aide .
- T'as pas accepté j'espère.
- Bin, si.

Yami Marik faillit lâcher le plateau qu'il avait dans les mains.

- Mais tu es idiot ou quoi ? Ce mec est un pervers de première.
- Pervers ?

A cet instant les sept coups de l'horloge sonnèrent et les deux frères se séparèrent, l'un se dirigeant vers la chambre de Seto-sama, l'autre vers la chambre du " pervers ".

Yami Marik frappa doucement à la porte puis n'obtenant aucune réponse, entra. Il découvrit le pervers couché sur le ventre, un bras dans le vide et un autre où reposait sa tête. Presque content de le voir endormi, Yami Marik posa le plateau sur la table de chevet et allait partir quand il sentit une main soulever sa robe et une autre se glisser douteusement dans sa culotte. D'un vigoureux coup de poignet, Yami Marik envoya balader les mains et se dirigea vivement vers la porte mais un bras puissant l'en empêcha et le jeta sans ménagement sur le grand lit. Yami Marik, bien décidé à ne pas se laisser faire, voulu se relever mais l'homme le repoussa durement sur le lit de soie rouge. Les rideaux à demi ouverts laissaient voir le visage de Yami Bakura, son torse nu et son pantalon noir. Agile comme un chat, le propriétaire de la chambre sauta sur le lit en coinçant le blond sous ses fesses.

- Mhhmmh…tu sais que tu es très affriolante avec tes jupons…

Yami Marik se tortilla tant bien que mal mais son bourreau ne le laissa pas faire, âpres trois bonnes minutes de tortillement pur, le blond gifla Yami Bakura. Il y eut un long moment de silence, puis en même temps qu'une marque rouge se dessinait sur le visage tourné et pale du pervers, un sourire de prédateur apparaissait sur ses lèvres. Puis ramenant sa tête à la hauteur de celle de Yami Marik, il susurra :

- J'adore les bonniches dans ton genre mais…puisque nous sommes d'accord sur le caractère a avoir voyons si tes dessous m'inspirent tout autant.

Le chef des hommes de main souleva les blancs jupons ( larirette larirette ^^) avec un regard qui n'annonçait rien de bon. En effet les mains commençaient déjà à tirer allègrement sur la culotte de même couleur que les collants.

Mais Yami Marik détestant qu'on le traite de cette manière, s'énerva tellement que Yami Bakura dut le plaquer contre le lit, une main sur la bouche pour qu'il arrête de gigoter.

- Allons tu es bien nerveuse ma mignonne, est ce que tes dessous en lingerie y seraient pour quelque chose ?

Il y avait à peine effleuré la cuisse de son jouet que celui ci repris ses débattements. Cette fois l'homme de main le plaqua contre le montant du lit et lui mordillant le lobe de l'oreille, murmura :

- J'en ai maté des plus résistants que toi pendant les règlements de compte.

Et comme la phrase n'avait pas l'effet escompté, il ajouta :

- A ton avis pourquoi es tu obligé de porter cette robe et se qui te cache en dessous. Hormis les travaux de la maison, ton travail consiste à…accueillir les hommes d'affaires avec qui Seto-sama traite.
- Accueillir ?
- Mais oui.

Yami Marik comprit soudain pourquoi ils étaient si bien payés, et le pervers profita de son état pour soulever brièvement la robe tout en détachant le tablier, Yami Marik émit quelques faibles protestations mais le vêtement en dentelle était déjà tombé sur le sol ; l'homme de main releva la robe jusqu'à la taille et glissa une main sur les fesses a demi découvertes . La peau y était douce et Yami Bakura retourna rapidement la bonne contre le mur pour remplacé sa main par sa bouche puis par sa langue. Celle ci glissait, formant des arabesques dignes d'un danseur, écrivant toutes les lettres de l'alphabet, en inventant même. Yami Marik avait de plus en plus de mal à se contenir : un feu qui envahissait ses reins, une langue chaude qui prenait sans peine possession de sa peau, et ces mains qui lui écartaient les jambes pour dévoiler plus toujours plus de son anatomie. C'est à peine s'il entendit Yami Yugi l'appeler dans le couloir. Le pervers regarda le jeune homme remettre un peu d'ordre dans sa tenue puis donna une petite fessée bien placée avant de lui lancer :

- Reviens me voir quand tu auras fini, mon cœur. J'aimerai terminer ce que nous n'avons fait qu'ébauché.

Yami Marik ne préféra pas répondre et repartit en courant vers son lieu principal de travail : la cuisine. Leur travail consistait à préparer les repas, faire la vaisselle, et laver le linge. Ils mangeaient âpres tout le monde et prenaient leur douche en dernier, et malheureusement juste apres les hommes de main de Yami Bakura se qui n'était pas très sécurisant, surtout que ces beaux mâles, bâtis comme des yakusas, trouvaient bien excitants les deux puceaux qui prenaient leur place dans la douche. Et de son coté, Yami Marik n'en menait pas large, quand ils les avaient vus sortir des douches, la peau encore humide des caresses de l'eau, il avait bien failli tomber en pâmoison.

Yami Marik retrouva son frère dans la cuisine, en train de préparer la viande en chantonnant, il chantonnait toujours quand il était heureux.

- Vas-y ! Raconte ", l'incita son frère.

Marik lui fit un grand sourire et lui expliqua que Seto-sama avait voulu regarder sous sa jupe et qu'il lui avait dit qu'il avait de très jolies fesses.

Yami Marik avait dut mal à comprendre la joie de son frère en cet instant.

- Et tu l'as laissé faire ?
- Bin, je n'ai pas vraiment eu le choix.

Yami Marik leva les yeux au ciel, il ne changera jamais.

- Tu peux t'occuper du dessert pendant que je prépare la viande ?

Yami Marik acquiesça et se décida a préparer quelque chose que leur patron apprécierait mais un problème s'annonça rapidement : il ne connaissait pas du tout les goûts de Seto-sama. Il réfléchit rapidement ; cet homme semblait plutôt pervers et aimait être excité, quel dessert pourrait l'exciter ? …….de la crème pensa Yami Marik, de la crème. Bon alors un gâteau a la crème pour Seto-sama, espérons qu'il aimera ça. Il se mit au travail avec entrain et au bout d'une bonne heure et demie il avait fini. Il s'assit quelques instants en admirant son chef d'œuvre, il n'en était pas mécontent, le trouvant plutôt réussi, il mit ensuite le couvert, puis comme Seto-sama était un homme très ponctuel, il avait à peine fini de poser le dernier verre que le patron entra accompagné de ses gardes du corps, hommes de main, intendant et deux ou trois hommes d'affaires. Ils se mirent aussitôt à table et commencèrent à parler de choses et d'autres, d'affaires pendant que les deux bonniches s'affairaient à les servir. Yami Marik ignoraient s'ils s'étaient tous donné le mot mais à chaque fois qu'il servait un des hommes assis à cette table, un main insolente se posait sur son postérieur, Yami Marik mal à l'aise commençait franchement à paniquer à l'idée d'aller servir Yami Bakura qui à chaque fois qu'il passait à ses cotés ne se contentait pas de poser sa main sur ses fesses mais la glissait négligemment sous sa robe. Juste avant le dessert, Yami Bakura prétextant un besoin quelconque se leva et se dirigea vers la cuisine où Yami Marik travaillait seul puisque Marik servait les invités.

- Alors qu'est ce que tu nous as préparer de bon ?

Yami Marik sursauta en entendant la belle voix grave et se retournant vit Yami Bakura s'appuyer nonchalamment contre la porte, la seule issue(dit en passant), désormais fermée, les mains bien enfoncées dans son blouson noir, la tête légèrement penchée.

- Un….un….gâteau….
- Mmmhh……à quoi ?
- Au…..à la…à la crème…
- Il en reste ?
- De quoi ?
- De la crème
- Oui bien sur.

Il désigna du doigt un saladier rouge, l'homme de main se dirigea tranquille vers l'ustensile et glissant un doigt à l'intérieur, le ressortit couvert de crème. Il suçota doucement le bout de son doigt, l'air un peu rêveur puis enfonçant son index plus profondément dans sa bouche le ressortit totalement lubrifié. Yami Marik avait atteint des tons de couleurs rouges encore insoupçonnables dans ce monde.

POV Yami Marik :

Il a l'air content de lécher son doigt, je me demande se qui le rend si joyeux. Peut être qu'il pense qu'il lèche un ……oh non pourquoi je pense à ça moi ? Mais tout de même il pense à quoi en léchant son doigt ?

Fin du POV.

Tout de suite des pensées perverses s'étaient mises à lui monter à la tête, et ses hormones qu'il tentait en vain de calmer ne cessaient de l'exciter.

Yami Bakura qui avait fini de lécher son doigt, se détourna du saladier pour regarder l'effet produit sur la bonne, enfin tout content de lui, il amena le saladier à coté de Yami Marik et réintroduisant son doigt dedans le présenta devant les lèvres à demi ouvertes de l'égyptien. N'obtenant aucune résistances il glissa son index plein de crème entre les lèvres légèrement gonflées et effectua un très doux mouvement de va et viens sur la langue qui sous la caresse sortie peu à peu de son antre, les mains crispées sur le rebord de la table contre laquelle il se tenait, Yami Marik se laissait faire dans l'espoir que s'il avait se qu'il voulait il lui ficherait la paix. Les joues rosies de plaisir, il perdait peu à peu conscience de ce qui l'entourait, ses mains avaient lâché le bord de la table pour se cramponnées à lui et sa langue commençait à parcourir d'elle même se que l'homme de main avait enfoncé dans sa bouche. Celui ci le retira et l'inspecta avec attention, enfin sourit et passant sa main sous la robe de bonne murmura :

- Mais tu bandes ma p'tite chatte….

Il releva le tissu d'un geste expert et baissa doucement la culotte.

- Monsieur….Bakura ….nous sommes dans une cuisine…….
- Justement…..mieux vaut en profiter…..

Il attrapa le saladier et prenant le liquide compact et légèrement sucré dans sa paume en étala sur la verge dressée de Yami Marik.

- Qu'est ce que vous….. ? Eh mais vous n'avez pas le droit ! Je vous interdit …. !
- Ecoute le droit je le prends et……tu n'es pas en mesure de m'interdire quoique se soit.
- Mais qu'est ce que vous allez faire avec cette crème… ?
- La même chose qu'avec mon doigt.

Yami Marik n'eut pas le temps de protester que déjà la bouche de Yami Bakura avait engloutit son membre, aussi rapidement qu'avec son doigt l'égyptien fut dompté sous la langue entraînée du chef des sbires de Seto. Il appuya instinctivement sur la tête de Yami Bakura d'une main et d'une autre tenta d'empêcher ses cris de sortir en la mordant férocement. Yami Bakura sourit intérieurement en voyant la réaction de la bonniche, il voulait le satisfaire et en même temps s'il le satisfaisait trop il n'aurait certainement plus le loisir de le revoir dans sa chambre. Il décida donc de le libérer de ses lèvres juste avant qu'il n'accède à un seuil de non-retour afin de l'amener à venir lui même dans son lit.

Yami Marik ne comprit pas pourquoi Yami Bakura lui remettait sa culotte alors qu'il allait se libérer, il enrageait, après l'avoir rhabiller Yami Bakura se dirigea tranquillement vers la sortie comme si de rien n'était, il lui couru derrière :

- Attends tu joues à quoi ? Tu commences à m'exciter et ensuite tu me ……
- Cela t'a plu on dirait que je t'excite.

Yami Marik resta les bras ballants, les yeux écarquillés, la bouche entrouverte, il ne s'attendait pas à cette réplique d'autant plus qu'elle était vraie.

- Désolé mais moi ça ne m'a fait aucun effet.

Yami Marik baissa les yeux.

- Ton numéro de bonne en chaleur était parfait mais….mon engin n'a pas réagit….alors mieux vaut s'arrêter là
- …..
- Si tu me cherches tu sais où me trouver.

Il partit en fermant la porte, laissant un Yami Marik patraque, il attendit que la porte soit fermée pour laisser couler ses larmes, et il tomba à genoux.


A SUIVRE



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