Le souffle du passé
le souffle du passé
Auteur : Mimi Yuy
Email : mimimuffins@yahoo.fr
Origine : Yami no matsuei
Disclamer : Persos pas à moua, je ne fais que l'en emprunter
Genre : Heu…. Yaoi ca vous suffit ^_^ ?
Couples : Désolé mais vue qu'ils se battent, z'ont autres chose à penser. Si vous y tenez vraiment, suffit de prendre les trois persos principaux et de faire toutes les possibilités possible et vous y êtes (Mais non, c'est pas non plus Melrose Place ^^ )
Remarque : texte en diagonal = dialogue par télépathie dirons nous ^_^
Chap 10 : Bataille finale.
Tsusuki et Hisoka marchaient silencieux le long d'une avenue délimitant LE parc. Comme quelques jours auparavant, une pluie fine tombait sur les deux hommes, tel le signe d'un nouveau malheur.
- Où allons nous ?
- Une vielle demeure.
Hisoka n'avait rien contre les vieilles battisses. Mais le fait de devoir longer le théâtre de tous ses cauchemars ne lui plaisait pas énormément. Au loin se dessinait le toit du kiosque qui à sa vue lui donna une série de frissons le long de sa colonne vertébrale. Il avait hâte de s'éloigner de cet endroit.
- Pourquoi ce quartier ?
- Je te l'ai dit tout à l'heure. Je l'ai suivis jusqu'ici il y a deux jours. Avec un peu de chance, il s'y trouvera encore.
Ils arrivèrent finalement devant une porte imposante au moment où l'orage éclata. Il pleuvait une véritable averse et l'entrée ne comportait aucun haut-vent. Alors ce fut tout naturellement que Tsusuki recouvrit son partenaire déjà trempé d'un pan de son imperméable.
A ce geste, Hisoka releva la tête. Il avait été blessé certes, mais fallait pas non plus exagérer. Un peu de pluie n'avait jamais fait de mal à personne. Sans compter qu'après avoir survécu aux pires tortures qui puissent exister sur cette terre, ce n'était pas un simple rhume qui allait avoir raison de lui. Il voulu fusiller du regard Tsusuki quand il fut stoppé par l'éclat des deux améthystes. Aucun pitié dans ses yeux là. Rien qu'un mélange de tendresse et de protection bienveillante. Bon, il pouvait aussi éviter de faire un scandale et accepter son geste comme un cadeau de bon retour au service. Après avoir boudé dans son coin pour lui reprocher de ne pas faire attention à son existence, il n'allait pas commencer à critiquer toutes ses tentatives, aussi malheureuses soient-elles, de démonstration de son intérêt pour lui.
- Je ne voudrais pas paraître sceptique. Mais tout cela ne te semble pas un peu trop simple. Il te retrouve, te drague, t'abandonne troublé dans un resto quelconque avant de se laisser filer comme le premier débutant venu ?
La partie "drague" n'échappa pas à Tsusuki. De toute évidence Hisoka n'avait jamais été dupe concernant sa relation ambiguë avec Muraki. Mais comment s'en étonner quand on savait qu'il était celui qui le sauvait le plus souvent des griffes de ce fou ? Eloignant au plus loin ses idées moroses quant à son manque de volonté, il répondit enfin à son coéquipier
- Je ne sais pas. C'est une erreur de sa part ou juste un énième piège qu'il nous tend.
- Tu nous surestimerais pas trop dans ce cas ?
- Peut-être. Mais je crois que nous devons en finir tous les trois, une bonne fois pour toute.
N'ayant eu aucune réponse suite aux quelques coups tapés à la porte, les deux hommes forcèrent une fenêtre pour entrer dans la maison.
***********
La hall d'entrée était complètement démesuré. Haut de plusieurs mètres, il donnait sur les trois étages. Après avoir parcourue le rez-de-chaussée, il ne faisait aucun doute que ce petit manoir était bel et bien habité. Aucune présence ne s'étant toutefois déclarée, les Shinigami entreprirent de visiter les étages à le recherche du moindre indice. Tsusuki reconnaissant certaines pièces fit en sorte d'être celui qui s'occuperait de la chambre à coucher qu'il avait partagé avec Muraki. Il ne devait prendre aucun risque quant à la possibilité qu'il puisse y subsister des traces de sa présence en ce lieu. Après une petite heure de recherche infructueuse, ils se retrouvèrent de nouveau dans le salon/bibliothèque.
- Tu avais raison Hisoka. Une fois encore, il s'est contenté de jouer avec moi.
- Peut-être pas.
- hum ?
- Je ne sais pas. Quelque chose me dit qu'il était encore ici, il y a très peu de temps.
Disant cela, le jeune homme serra l'une de ses mains sur son avant bras. Il ressentait la présence de Muraki sans en avoir les vertiges habituels.
- Ca ne vas pas ?
- si.
Amusé par la panique de Tsusuki à son égard, Hisoka regarda de nouveau leur environnement. Suivant son instinct, il s'approcha d'un miroir sur pied aussi large qu'une porte. A peine l'eut-il frôlé qu'un petit déclic se fit entendre. De toute évidence, il ne faisait pas que ressembler à une porte mais en avait aussi l'utilité. Suivis de Tsusuki, il descendit un escalier qui les mena à une grande salle souterraine bien plus spacieuse qu'une simple cave. En son centre se trouvait une table d'opération sur laquelle était déposée un corps sans vie. Ne pouvant se défaire des picotements de plus en plus pressant sur sa peau, Hisoka souleva l'une de ses manches s'attendant à y voir les dessins de possession. Mais ces derniers n'y étaient pas.
Tsusuki n'en croyait pas ses yeux. Ils avaient devant eux la représentation exacte de l'antre du docteur Frankenstein. Des murs de pierres recouverts de toiles d'araignée, protégeaient à l'abri des regards un équipement médicale des plus perfectionnés. Tout cela, pour la même et unique raison : ressusciter cet homme. Ce frère que Muraki espérait plus que tout au monde faire revivre. Laissant Hisoka observer ce dernier à sa guise, il contourna la pièce pour trouver l'une des poupées en porcelaine tant convoitées par le médecin. Cette dernière contrairement à la collection de Muraki était de taille réelle. Quoiqu'en y regardant de plus près, il ne s'agissait peut-être pas d'un simple mannequin. Ne voulant même pas envisager l'autre possibilité, Tsusuki s'apprêtait à rappeler son partenaire quand une voix les figea tous les deux.
- Je vous l'accorde, j'ai peut-être un peu trop forcé sur la déco ^__^ Mais avouez que cela donne plus de charme qu'une simple pièce aux murs blancs !
Pour toute réponse, Hisoka se jeta sur l'homme aux cheveux argentés, poussé par la colère sans fond qu'il ressentait à son égard. Sans faire d'effort, ce dernier projeta l'adolescent sur plusieurs mètres. Mais cela ne l'arrêta pas pour autant. Se relevant aussitôt, il attaqua de nouveau sans plus de succès. Le combat entre les deux ennemis dura ainsi quelques minutes avant que Tsusuki ne vienne à la rescousse de son partenaire. Après l'avoir protégé d'un énième choc d'une violence démesurée, il affronta à son tour Muraki. Plusieurs minutes d'assauts et d'attaques mêlées entre les trois hommes reprirent jusqu'à ce qu'Hisoka reçu une énième décharge le faisant tomber aux pieds de Tsusuki. Relevé et soutenu par ce dernier, ils étaient bien décidés à en finir une bonne fois pour toute.
Face à son œuvre, Muraki s'amusait déjà beaucoup à l'idée que le plus beau restait encore à venir.
- Alors ! Etes-vous prêt pour la troisième et dernière étape de notre petit jeu ?
*************
La situation était tout bonnement inimaginable. Hisoka n'en revenait pas. Comment pouvait-on être aussi stupide qu'eux pour se jeter une fois encore si facilement dans la gueule du loup ? Le seul point positif de tout cela était cette découverte qui aurait put lui donner une joie sans fin si seulement ils n'étaient pas en si mauvaise situation. Les dessins n'étaient pas réapparus. Il gardait encore des stigmates de ses effets, mais il avait bel et bien réussi à détruire le lien qui l'empêchait d'agir librement en la présence de cet assassin. Il ne leur suffisait plus qu'à lier leur forces et ils pourraient tous deux se débarrasser définitivement de ce monstre. Finalement, la fin serait peut-être plus optimiste qu'il ne l'aurait cru aux premiers abords.
Tsusuki tremblait de rage mais surtout de peur. Troisième étape disait-il. Cela signifiait donc qu'ils s'étaient fait manipuler depuis le premier instant par ce type. Dans ce cas, il ne doutait pas un seul instant qu'il profiterait d'une certaine révélation pour scinder leur force et à terme obtenir ce pourquoi il les avait fait venir.
- Vous ne me répondez pas ?
- Tsusuki, nous pouvons le vaincre, laisse moi me lier à toi quand tu appelleras Susaku.
- Je, je ne sais pas si …
- Tsusuki ?
- Laisse moi deviner pourquoi une telle surprise dans tes yeux Hisoka ? Tsusuki ne serait-il pas tout à fait d'accord pour partager son esprit le temps de me vaincre par hasard ? Mais cela n'est peut-être pas si étrange que cela en a l'air. Il est normal qu'il redoute ta réaction face à ce que tu pourrais soudainement apprendre.
Que pouvait-il donc apprendre de si terrible ? Il avait déjà pu voir son enfance par le passé. Il connaissait toute la souffrance ressenti par Tsusuki lorsqu'il avait du faire face enfant à la discrimination et la cruauté de ses camarades. Il savait aussi qu'une période encore plus sombre de son existence ne lui avait pas encore été révélé. Mais rien de ce qu'il pourrait apprendre ne changerait les sentiments qu'il éprouvait à son égard. Non rien.
- Tsusuki, je t'en prie fait moi confiance. Je …je t'aime rien ne pourra changer ca. Je t'en prie. C'est notre seule chance.
L'instant était des plus cruels. Lui faire confiance ? Bien sur qu'il lui faisait confiance. Mais comment accepter qu'il puisse souffrir de nouveau par sa faute. D'autant plus, après ce qu'il venait de lui avouer. Il le lui avait enfin dit. Il l'aimait. Une personne humaine éprouvait de l'amour à son égard et le lui avait assuré sans plus de protocole. Et cette même personne n'allait pas tarder à savoir. Apprendre sa trahison. C'était trop dur. Trop cruel.
- Hisoka, je dois te dire quelque chose avant tout. Il faut que…
Hisoka ne comprenait pas. Tsusuki pleurait sans aucune retenu devant lui, le regardant comme s'ils allaient mourir. Mais ils pouvaient être en situation de force contre Muraki. Pourquoi ne l'acceptait-il pas ?
- Je vais te simplifier la tache Tsusuki. Je comprend qu'il t'est difficile de lui avouer.
Avant que l'un d'entre eux puissent réagir, Muraki attira à lui le jeune homme pour déposer sa main sur ses yeux. Comme maintes fois auparavant, cela eut pour conséquence de plonger l'adolescent dans les pensées de son tortionnaire. Submergé par le flot d'information, il vit des images de corps frissonnants d'excitation, de caresses et de désir assouvi. De tout cela ressortait deux visages. Celui de son partenaire et derrière lui un corps à la peau blanchâtre, des mains fines faisant frissonner sa peau nue et des lèvres glissant sur son corps abandonné. De ces lèvres, apparurent enfin le visage de celui qui prenait avec passion Tsusuki. Et cette personne n'était nulle autre que …….
- Noooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Tsusuki était déchiré, Hisoka venait d'être attiré dans les bras de Muraki qui souhaitait de toute évidence avoir la joie de lui montrer ce qu'il redoutait le plus. Et comme dans ses pires cauchemars, Hisoka resta figé quelques secondes avant qu'un cri ne viennent traverser ses lèvres, brisant ainsi le silence qui avait prit place. Tombant sur ses genoux, le jeune Shinigami y resta alors inerte, les yeux dans le vague. Sans réfléchir, Tsusuki s'approcha de lui dans le but de lui donner sa version des faits mais il était déjà trop tard. Révulsé par sa découverte le jeune homme émettait une barrière autour de lui pour le rejeter de toutes ses forces.
- Ne me touche pas !!!
Quand il percuta le mur, Tsusuki fendit les pierres qui le composaient en graviers tant l'impact fut violent. Face à lui Muraki jubilait des effets de sa dernières cartes tout en mettant hors d'état de nuire son coéquipier resté prostré à terre. Aucun doute qu'il venait de le perdre à cet instant précis. Se reprenant malgré tout, il tenta de réagir à l'approche de Muraki. Mais son esprit perdu dans la douleur d'avoir trahis la seule personne qu'il aurait du protéger plus que sa vie, fit de lui un piètre adversaire. Après tout, à quoi bon lutter quand il n'y avait plus rien à défendre.
*************
Muraki était satisfait. Débarrassé de l'avorton, il avait enfin Tsusuki pour lui seul. Ne gâchant pas alors le plaisir de sa victoire, il rejoignit ce dernier avec nonchalance pour lui octroyer toutes les caresses nécessaires à son apprivoisement. Perdu dans sa douleur Tsusuki n'était plus qu'une poupée de chiffon docile. Sans attendre d'avantage il le prit alors dans ses bras pour l'allonger aux cotés du corps inerte conservant les restes de son frère Saki. Tout était enfin près pour qu'il transfert ce dernier dans le corps immortel de son Shinigami préféré. Il ne se préoccupa plus alors du partenaire de celui-ci qu'il avait laissé gisant au sol, ligoté de ses fils tranchants comme des rasoirs. Il aurait toujours le temps de s'amuser avec lui après son travail. Sortant le matériel adéquat, il entreprit enfin pour la seconde fois d'ouvrir le corps de Tsusuki. Dire qu'à Kyoto celui-ci avait presque réussi à le tuer d'un coup de couteau avant de mettre le feu à des années de travail. C'est avec difficulté qu'il avait alors réussi à sauvegarder les restes de Saki dans un corps qui ne lui appartenait pas. Tout cela parce que ce Shinigami avait conserver le désir de se battre dans l'espoir de vivre un jour aux cotés de ce môme. Aujourd'hui, il n'en était plus rien. Sa seule raison de survivre l'ayant rejeté, il accepterait sa nouvelle condition sans le moindre problème.
Hisoka ressentit de la colère mais aussi de la jalousie. Aussi fou que cela puisse être possible, il ne comprenait pas pourquoi il avait toujours du supporter toute la violence de cet homme tandis que son partenaire avait gagné le droit de partager sa passion, son attention. Qu'il ai put prendre du plaisir avec son meurtrier, son tortionnaire était une trahison dont la mort n'était pas un châtiment suffisant. Pourtant, il restait une certitude dans son esprit. Si Tsusuki l'avait trahis, cela était encore et toujours à cause d'un seul et unique responsable. Et ce dernier plus que tout autre personne au monde devrait accepter de franchir les portes de l'enfer. Cette tache ne revenait qu'à lui seul. Il l'accompagnerait jusqu'à ses tourments éternelles pour s'assurer qu'il y demeure bien, quitte à y rester à ses cotés pour l'éternité.
Tout à son occupation, Muraki ne s'aperçu pas que son second prisonnier se relevait, ignorant les liens qui s'enfonçaient dans sa chaire. Par l'esprit, Hisoka renouvela ses appels à son partenaire. Toute haine qu'il éprouvait à son égard, cette dernière n'était en rien comparable à celle dirigée sur Muraki.
- Tsusuki, appelles Susaku !
- Hisoka ?
- Tout de suite !!!!
- tu ..?
- Tout de suite !!!!!!!!!!!!
Ne cherchant pas à le contredire, Tsusuki s'exécuta. Malheureusement la plaie béante qu'il portait au torse grâce aux bon soins de Muraki était déjà trop importante pour lui laisser suffisamment d'énergie. A peine invoqua t'il donc son Shikigami qu'il en perdit tout contrôle.
Ce fut la marre de sang coulant doucement jusqu'à ses pieds qui intrigua Muraki. De tout évidence son jouet s'était trop débattu avec ses liens. A peine eut-il alors le temps de se tourner vers lui pour s'assurer que ce dernier restaient bien en place qu'il sentit l'arrivé de ce fichu oiseau de feu. Comme dans un mauvais rêve, les évènements de Kyoto se renouvelaient une fois encore.
- Qu'est-ce que ?
Se tournant finalement vers le responsable de cette apparition, il eut la surprise de voir Tsusuki inconscient sur la table d'opération. Mais alors si ce n'était pas lui qui dirigeait Susaku ? Qui incitait cet " esprit " à mettre le feu à toute sa maison ?
- Quelque chose te tracasse Muraki ?
Il n'y croyait pas. Face à lui, Hisoka s'avançait libre de tous liens. Mais si les entraves physiques étaient insuffisantes, ne lui restait-il pas celles tissées plusieurs années auparavant ? Ne voyant aucune de ses volontés suivis par le jeune homme, Muraki comprit soudain qu'il n'avait bel et bien plus aucune maîtrise sur ce garçon. Pire, ce dernier ne semblait plus être ce Shinigami empathe et continuellement effrayé qui se cachait sous un masque de froide indifférence. Non. Il voyait alors en lui, comme son reflet dans un miroir à quelques années d'écarts. Une silhouette filiforme et sensuelle qui s'approchait de lui telle la mort portant sa faux. Et dans les yeux de cet être intemporel, une haine glaciale, un désir de violence inassouvie et de cruauté. A cet instant, Hisoka lui procurait une onde de plaisir et de convoitise à l'état pure. Ils étaient bien loin de l'image d'un ange pur et ensanglanté qu'il donnait un peu plus tôt. Face à sa colère, toutes les définitions des " Dieux de la mort " prenaient un sens plus cohérent.
- Tu ne réponds pas ?
Le plus étrange était que sa voix même avait changée. Comment cela pouvait-il être possible ?
- Tu m'en vois désolé mais je crois qu'est venu ton tour de souffrir.
N'en revenant toujours pas, celui qui n'avait été qu'un jouet, un pantin œuvrant à ses pieds des années durant, lui fit comprendre qu'il serait à présent un adversaire à sa mesure. Invoquant son propre Shikigami, Muraki et Hisoka s'affrontèrent par l'intermédiaire du monstre à trois têtes et de l'oiseau de feu. Pourtant malgré la force générée par sa colère, la maîtrise d'un élément ne lui appartenant pas épuisa beaucoup plus rapidement Hisoka qui finit par montrer de sérieux signes de faiblesse. N'en attendant pas plus, Muraki lança alors sur lui une dernière offensive des plus puissantes, explosant ainsi les restes déjà calcinés de leur entourage. Comment aurait-il pu deviner qu'au même instant un tigre blanc surgirait derrière lui pour l'attaquer à son tour. A travers le feux et les débris retombant rudement à terre, il reconnu la silhouette de Tsusuki s'avancer vers eux. Celui-ci venait d'accorder ses dernières forces à celle de son partenaire.
L'ultime attaque du médecin ayant eu raison de toute son énergie, ce fut sans surprise que Tsusuki et Hisoka achevèrent finalement Muraki d'un dernier coup combiné. En moins d'une seconde l'esprit du félin arrachait de sa gueule et de ses griffes les trois têtes du monstre lui faisant face. Tandis que le corps de ce dernier se consumait sous le feu ardent engendré par Susaku. Voyant Muraki s'effondrer sous le contrecoups de ses blessures profondes, Tsusuki tenta de s'approcher de lui pour s'assurer qu'il était enfin bel et bien mort quand la structure entière de la maison s'écroula sur eux.
A suivre..
Je la trouve un peu bâclée cette fin de combat ^_^;;
Décidément le jour où je serais satisfaite d'un chapitre est encore loin ^^.
Quoique pour une fois, je suis assez contente du début. ^_____^
Prochain chapitre, un affrontement d'un tout autre ordre ^^ ou comment Tsusuki va t'il se faire pardonner sa traîtrise par Hisoka ! (Il va avoir un sacré boulot sur ce terrain ^_^;;)
Fics Yami no Matsuei
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