Le souffle du passé



le souffle du passé Auteur : Mimi Yuy
Email : mimimuffins@yahoo.fr
Origine : Yami no matsuei
Disclamer : Persos pas à moua, je ne fais que l'en emprunter
Genre : Heu…. Yaoi ca vous suffit ^_^ ?
Couples : Muraki + Tsusuki

Avant de commencer un GRAND et ENORME MERCI pour toutes les reviews que vous avez laissé ^__^ ! Ca m'a fait un plaisir que vous ne pouvez imaginer. (moi qui pensais au départ que personne n'irait lors cette fic, je suis rassurée ^__^ : miciiiiiiii)
Mimi et Lunard666 : J'espère que vous aller pas trop être déçu par ce premier chapitre grandement consacré à Tsusuki et Muraki. Peux vous assurer que vous en aurez beaucoup plus un peu plus tard ^_^
Naëlle : Je suis pas très rapide je sais, mais je viens juste de capter que tu étais aussi la Naëlle d'une fic originale que j'adore. Un conseil à toutes celles et ceux qui n'aurait pas l'habitude d'aller sur les fics de Fantasy courrez lire : L'inconnu au bout du couloir. C'est une pure merveille que je ne serais trop recommander (A quand la suite T_T).
Ayé ai fini ^_^;; - Bonne lecture ^_______^


Chap 4 : Un dîner inattendu.



La fine silhouette d'Hisoka disparaissait au bout de la rue quand il détourna son regard d'elle. Comme il l'avait redouté, il semblait que son coéquipier ce soit quelque peu entiché de l'idée qu'il pouvait avoir des sentiments pour lui. Quelle ironie. Il s'agissait bien là, de la dernière raison à laquelle il aurait pensé. Pourquoi ne pouvait-il pas être comme tout le monde traumatisé par ses antécédents. Il s'en voulait de sa faiblesse. Ce gamin avait vécu plus d'horreur qu'aucun autre Dieu de la mort et s'en sortait pourtant mieux que lui. Lui qui était toujours si perturbé par ce passé inavouable qui ne cessait de le troubler malgré 70 ans de thérapie de toute sorte. Soupirant face à ce constat d'échec, il se dit qu'il lui fallait bien, un bon repas avant de trouver quelle pouvait être la solution au problème de son partenaire. [1] Il l'aimait, bien sûr mais cela n'avait rien à voir avec ce qu'il avait déjà partagé avec "Lui"[2]. Et lui avouer qu'il n'avait pas d'amour avec un grand "A", à lui offrir ne le soulagerait très certainement pas.

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Il était finalement rentré dans son petit appartement ressemblant plus à une chambre d'hôtel qu'autre chose et il avait honte. Honte d'avoir dit de telles paroles qui laissaient sous-entendre qu'il pouvait attendre quelque chose de Tsusuki. Comment pouvait-il les interpréter différemment après leur précédente conversation dans la salle de classe et sachant qu'il avait été si agressif avec lui depuis des semaines ? Il ne fallait pas être fin psychologue pour comprendre qu'il agissait alors par jalousie, envie ou colère de ne pouvoir atteindre ce qu'il espérait conquérir. Mon Dieu, il parlait comme s'il avait agit de la sorte intentionnellement. Alors qu'il prenait justement à peine conscience du pourquoi de ses sentiments contradictoires. Et s'il n'y avait que ca. Son corps réagissait anormalement et son esprit lui jouait des tours. Le cœur battant à vive allure, il ne rêvait plus que de sentir ses mains sur lui, de sa présence à ses cotés et de douceur. Pourtant dés qu'il faisait un geste d'approche à son égard comme tout à l'heure, il ne trouvait rien de mieux que de fuir comme un voleur. Pour résumé sa triste situation, il était pathétique.

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Ce soir, les choses sérieuses allaient enfin commencer. Après s'être assuré par d'infimes expériences ce jour même, qu'il contrôlait toujours aussi bien sa poupée, il pouvait enclencher la seconde étape de ses manigances. Ils étaient si prévisibles. Il lui avait suffit de mettre sur leur route quelques âmes perdus pour qu'ils accourent à ses pieds tel des chiens de bergers bien dressés. Nul doute qu'il allait enfin pouvoir obtenir ce qu'il désirait depuis des années. Avoir ce Shinigami sous sa possession. Le séduire. Puis goûter ce corps immortel avant de s'en approprier les pouvoirs. Comme il était triste de voir un tel potentiel négligé par simple ignorance. Cet Asato devait très certainement être l'un des Dieu de la mort les plus puissants qui existaient et n'en avait aucune conscience. Mais tout cela n'avait que peu d'importance. Non l'important était qu'il allait prendre un plaisir sans fin en leur compagnie. Dans sa clairvoyance, il satisferait le plus impatient des deux. Après quoi, son partenaire mort, Tsusuki serait à point pour trouver consolation entre ses bras. Comment pourrait-il lui résister alors qu'il connaissait toutes ses pensées, toutes ses réflexions qu'il avait confié, il y avait de cela 70 ans à son grand-père. Trésor inégalable qu'il tenait sous la forme de cahier entre ses mains.

Un sourire satisfait par anticipation sur ses lèvres, le docteur Muraki sortit de l'infirmerie scolaire où il travaillait depuis quelques semaines. Sa direction, le meilleur fleuriste de la ville.

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A peine avait-il mit un pas dans la salle du restaurant qu'une horde de serveurs s'approchèrent de lui. Etonnement, il se trouvait soit accueillit comme un prince, soit mis dehors avant d'avoir franchi les premiers mètres. Etranges comportement de ces restaurateurs. En attendant, il avait besoin de soutiens ce soir, ce qui l'avait poussé à se rendre là où il savait être apprécié pour lui même. A savoir le meilleur client de la boutique. Confortablement installé à une petite table donnant sur la rue, il attendit l'arrivée de sa commande, l'esprit tourné vers un partenaire vivant ses premiers émois amoureux. Finalement Tatsumi était le plus perspicace d'entre eux. Hisoka leur faisait une sorte de crise d'adolescence. Et comme il ne voyait pas grand monde en dehors des Shinigami, il avait fallu qu'il porte son dévolu sur lui. Quoique l'affaire aurait put être pire. Il aurait pu s'agir de Yuma la croqueuse d'homme. En attendant, tout cela ne lui disait pas comment il devrait réagir à leur prochaine rencontre qui aurait lieu le lendemain matin à la première heure lors de leur rapport à Konoe.

Soupirant pour la dixième fois, une voix interrompit ses réflexions.

- Vous permettez ?

Relevant la tête en pensant accueillir son dîner, il ne vit qu'un bouquet odorant de roses rouge pourpres.

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Il ne cessait plus de tourner en rond autour du faible espace laissé vacant par son lit. Ces fichus meubles européens étaient peut-être plus confortables que les futons japonais, ils n'en restaient pas moins des plus encombrants. N'en pouvant plus, Hisoka reprit ses clefs bien décidé à mettre un terme une bonne fois pour toute à ses regrets. L'affaire était simple. Il retrouvait Tsusuki dans l'un des restaurants qu'il affectionnait tant, lui expliquait qu'il n'avait pas voulu insinuer qu'il recherchait une relation avec lui mais simplement un lien d'amitié et de confiance et l'histoire se terminait là. Son esprit ne serait plus perturbé par tout cela et ils pourraient reprendre avec sérénité leur mission. Claquant la porte derrière lui, il se dit soudain que Tsusuki n'avait d'ailleurs peut-être strictement rien imaginé et qu'il venait de monter toute cette affaire dans sa tête. Après un moment d'hésitation, il conclu par le fait qu'il pourrait toujours expliquer sa présence par le besoin de reparler avec plus de sérieux et de calme de leur mission en cours.

Pas rassuré du tout par ce qu'il s'apprêtait à faire, Hisoka débuta sa tournée des restaurants servant des plats copieux de bonne qualité pour pas chère.

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- Que faites vous ici ?
- Rien de bien spécial. J'avais une petite faim alors je suis entrée. Je ne pouvais pas ne pas vous saluer en vous voyant assis là.
- Et ces fleurs ?
- Elles sont pour vous bien sûr.
- En quelle honneur ?
- L'envie de vous prouver tout mon attachement, bien qu'elles ne soit pas à la mesure de votre beauté mon bel étalon.

Tsusuki en avait des frissons. Cette homme n'avait donc aucun respect. Après tout ce qu'il avait fait subir à son partenaire, toutes les personnes qu'il avait assassiné pour son simple plaisir ou l'avancé de ses recherche, il osait se montrer face à lui en toute innocence. Pire, il n'hésitait pas une seconde à le draguer sans aucun complexe.

- Ne soyez donc pas aussi prude.

Voilà que maintenant, il avait droit au pied glissé avec délicatesses le long d'une de ses jambes. A n'en pas douter, il s'était endormi à son bureau où il faisait un cauchemar des plus crédibles. Tatsumi n'allait plus tarder à venir le secouer pour l'engueuler qu'il ne cessait de bailler aux corneilles et Hisoka le regarderait d'un de ses regards qui équivalaient à le traiter de "baka". Sauf qu'au lieu de sentir les secousses de son ancien partenaire, le pied s'aventurait à présent plus au dessus de sa jambe le faisant tout simplement réagir pour sa plus grande humiliation. Comment pouvait-il seulement accepter que cet homme abjecte le touche de la sorte sans rien dire ? Car tout aussi révoltant que puisse être cette situation, ce meurtrier assis face à lui, était avant tout un séducteur inégalé. Il avait beau chercher à fuir son regard, reculer à ses gestes d'approche, il n'en était pas moins hypnotisé par ses yeux d'un gris anthracite faisant ressortir toute la sensualité de son corps parfait.

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Il ne lui restait plus que deux ou trois restaurants possibles. Après cela, il devrait abandonner et rentrer chez lui pour attendre patiemment le lendemain matin. Il aurait déjà du le faire depuis que la pluie tombait sans discontinuer, mais il ne voulait pas abandonner avant de les avoir tous essayé. Tournant au bout d'une avenue, il s'engagea enfin sur cette petite ruelle fréquentée par les amoureux au bout de laquelle se trouvait l'un des restaurants qu'il affectionnait tant. Tsusuki l'y avait traîné quelques semaines plus tôt où il avait pu constater que le personnel le connaissait sur le bout des doigts. Ils y avaient mangé dans une atmosphère paisible. Et à bien y réfléchir, c'était peut-être à cette même époque qu'il avait commencé à ressentir cette chaleur au fond de lui dés qu'il osait poser un peu plus longtemps que nécessaire son regard sur lui.

Etait-il seulement possible qu'il puisse un jour ressentir quelque chose à son égard ? Courait-il après des chimères ou avait-il une chance s'il se battait suffisamment pour obtenir ce qu'il désirait ? Après tout, il savait de source sûre que Tsusuki avait vécu une situation très similaire avec Tatsumi par le passé. Alors peut-être était-il plus à même de le comprendre. Ce doute devenait trop douloureux. Impatient, il couru jusqu'au restaurant quand une sensation de glace pur lui étreignit le cœur. A cette impression de peur panique qui s'emparait à présent de son esprit, il vit face à lui comme incrusté dans ses yeux des scènes d'une violence rare dont il était le principal protagoniste. La personne responsable de sa torture lui tournait le dos. Et alors qu'il s'avançait malgré tout vers la vitrine illuminée, son bourreau se retournait enfin pour lui dévoiler son visage. Aussitôt ses visions du passé s'effacèrent pour le laisser face à un homme souriant qui le regardait droit dans les yeux.

C'était impossible, pas lui. Pas lui face à …face à …. Il ne croyait pas à ce que ses yeux lui montraient. C'était tout simplement une de ses visions. Oui, une vision de plus à ajouter à la liste de toutes celles qu'il voyait à longueur de journée sans jamais en parler à personne. Il savait les gérer. Il avait appris à les faire passer pour un regard froids et distant. Rien ne pouvait plus l'atteindre. A l'inverse de Tsusuki, il avait fait table rase du passé. Alors pourquoi il recommençait à voir des choses qui n'existaient pas ?

Il ferma les yeux pour les rouvrir lentement après avoir compter jusqu'à cinq. Tout redeviendrait normal et il pourrait enfin retrouver cet ogre qu'il avait en guise de partenaire. Mais quand les yeux furent rouverts, il fut le témoin d'un homme qu'il détestait plus que tout au monde s'approcher de celui qu'il aimait pour la première fois de sa vie pour s'emparer de sa main qu'il porta alors avec une lenteur exagérée jusqu'à ses lèvres. Il était pétrifié. C'était un mauvais cauchemar. Rien qu'un mauvais cauchemar alors qu'il venait de s'endormir sur son lit suite à la fatigue accumulée durant cette longue journée. Mais ce dernier ne cessait pas. Bien au contraire, Muraki s'apprêtait à présent à l'embrasser. C'en était trop pour lui. Tout. Il pouvait tout accepter et supporter. Tout, sauf ça.

Ne pouvant en endurer d'avantage, le jeune homme s'enfui, se frayant difficilement un passage dans la foule de passants heureux.

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Tsusuki s'était éloigné petit à petit du médecin qui réussissait par un sort mystérieux à se trouver toujours face à lui. Moralité, il était à présent dos à la fenêtre et devait se faire une raison, on ne délogeait pas le docteur Kazutaka aussi facilement. Cet homme était une véritable sangsue qui n'avait aucune intention de laisser fuir sa proie, en l'occurrence : lui.

Après mainte insistance, il se résolu à accepter le bouquet de roses. Drôle d'idée que d'en offrir à un homme. Mais bon, il ne souhaitait pas faire d'esclandre dans cet établissement spécialisé dans les repas entre amoureux. Manque de chance, il l'avait à peine pris qu'une épine de bonne taille se fichait dans sa main droite, laissant perler de fines gouttelettes de sang. Le sourire de satisfaction que faisait son vis à vis, face à cette scène ne pouvait que lui rappeler que cet homme était fou. Quoiqu'à bien y réfléchir, il venait peut-être de réagir face à une scène de l'extérieur. Car reposant ses yeux sur lui, il s'était emparé avec autorité de sa main pour stopper le plus gros de l'hémorragie d'un mouchoir blanc et soyeux. Il allait donc ramener sa petite menotte à lui, quand cette dernière fut alors portée aux lèvres chaudes de Muraki. De toute évidence, le médecin ne la considérait pas encore comme totalement guérie.

Exaspéré par ce comportement qu'il n'appréciait absolument pas, Tsusuki tenta de reprendre quelques instants ses esprits. Sauf qu'une fois encore, c'était sans compter sur la persévérance de l'homme assis face à lui qui se penchait à présent de sorte à ce qu'il se noie totalement dans ses pupilles argentées. Il était finalement trop dur de combattre la tentation de goûter à ces lèvres dont il avait sentit la douceur sur ses doigts. Il abandonnait donc toute résistance quand il aperçu le reflet de son coéquipier dans les yeux de Muraki. C'était impossible que ce dernier soit présent ce soir là derrière la fenêtre de ce restaurant et pourtant c'était bien lui qu'il avait entraperçu. Aucun doute. Une image fugitive dont il s'expliquait la présence par le travail de son subconscient. Cet homme était un monstre, une aberration de la nature cachée sous un voile de beauté. Un être démoniaque responsable de millier d'assassinats. Et le souvenir de son passé commun avec son partenaire venait de lui être rappelé par l'image de ce dernier au visage livide de terreur. Reculant d'un geste brusque, Tsusuki se détacha enfin de l'emprise des lèvres affamées au goût de miel qui le dévorait. Sans plus attendre, il s'empara au plus vite de sa veste, abandonnant sans aucun regret son dîner sans y avoir touché.

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Il était désespéré. Fou de colère et de peine. De la peine, oui, de voir que celui qu'il pensait honnêtement apprendre à aimer, puisse accepter que cet homme s'approche de lui de la sorte, le touche, le caresse. Mais la surprise passée, il était avant tout, fou de colère à l'encontre de Tsusuki. Cet idiot n'apprendrait-il donc jamais rien ? Combien de fois devrait-il encore se battre pour le sortir des griffes de ce médecin ? A chaque fois, qu'il le croisait c'était la même histoire. Son partenaire bien que connaissant leur ennemi, trouvait toujours le moyen de rester entre ses mains baladeuses. Ses paroles à son encontre n'étaient-elles donc pas suffisamment explicites pour qu'il comprenne une bonne fois pour toute que ce type ne voulait rien d'autre qu'établir sa dominance sur son corps ? Ce n'était pourtant plus un gamin. Comment pouvait-il se faire avoir à chaque fois aussi facilement.

Courant sans trop savoir où il se dirigeait, Hisoka s'aperçu rapidement qu'il était plus proche de la Neuvième Division que de son appartement. Hésitant alors à repartir dans le sens inverse, il entendit une voix bien connue le sortir de sa torpeur.

Il ne pensait pas trouver quiconque à cette heure et sous cette pluie battante. Pourtant, il n'était pas sortie de son bureau depuis plus de deux minutes qu'il le reconnu. Ignorant volontairement les larmes du jeune homme se mêler à l'eau de pluie ruisselante sur ses joues, Tatsumi entreprit de protéger Hisoka sous son parapluie avant de l'attirer vers un endroit sec. De toute évidence, son ami était en état de choc.

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Il était enfin rentré chez lui. Et tout ce qu'il pouvait conclure de cette journée désastreuse est qu'il n'avait toujours pas trouver de moyen efficace pour se soustraire de l'hypnotique présence de ce Muraki. Encore une chance que son coéquipier n'avait pas été présent pour assister à pareille débâcle. C'était terrifiant de voir comment une telle personnalité avec de telles perversions pouvait être à ce point normale et équilibrée en sa seule présence. Voyait-il aussi l'amour différemment selon ses partenaires ? Se rendant compte de la tournure de ses pensées, Tsusuki se serrait frappé. Comment pouvait-il seulement parler d'amour avec cet être immonde ? Seigneur, comment pouvait-il seulement ressentir une telle envie à son simple souvenir ? Effrayé par ses propres réactions, le Shinigami se rua dans la salle de bain prendre au plus vite une douche froide.

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Muraki, rentra à son tour dans ses nouveaux quartiers pour retrouver dans une chambre obscure, les centaines de poupées en porcelaine de sa mère. Elles étaient toutes si dociles, si blanches et si laiteuses. A l'image même de celle qu'il reprendrait très bientôt sous son contrôle. Sortant de la pièce, il entreprit de rédiger la petite note à destination de sa future victime. Sa petite entrevue avec Tsusuki l'avait quelque peu échauffé au point qu'il était à présent impatient de voir si sa "chose" saurait le divertir suffisamment pour patienter jusqu'à l'obtention de celui qu'il désirait tant depuis la découverte de ces précieux cahiers.


A suivre.


Comme vous pouvez vous en rendre compte, va pas y avoir que de la joie dans les prochains épisodes ^__^;

[1] Oui, il est pas très rapide sur ce coup. Il a toujours pas compris que la solution n'était rien d'autre que lui en petite tenue dans le lit de son futur mamour ^_____^
[2] Bah qui c'est ce "Lui" ??? ^__^ Allons, allons, cherchez bien. Il est grand, beau, bien bâti et porte de petites lunettes => Si vous répondez Muraki, je vous étripe !!!



Fics Yami No Matsuei

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