L'ultime bataille


Nom de l'auteur : Gwenaëlle
Adresse E-Mail : yukidu78@hotmail.com
Base : Gundam wing
Genre : viol, action, torture !!!!!!!!!!!!
Disclamers : Pas à moi les 'tits bishos !!!
Merci à tout ceux qui m'ont laissé une review, ça m'a fait très plaisir et j'espère que ce second chapitre vous plaira !!!


CHAPITRE 2


En voyant ça, Heero se précipita sur lui en ordonnant aux autres de fuir. Mais Wufei vint quand même l'aider à porter Trowa. Ce dernier était inconscient. Alors, Heero le prit dans ses bras et courut vers la sortie. Malheureusement au même moment, une vingtaine de gardes leur barrèrent la route.

_ Rendez-vous ou je n'aurai aucun scrupule à vous abattre ! Dit le gradé.

Wufei et Heero n'eurent pas d'autre choix que d'obéir. Il furent reconduit dans une cellule. Le seul point positif résidait dans le fait que Duo et Quatre étaient parvenus à s'échapper. Mais l'état critique de Trowa inquiétait Heero. En effet, le pilote aux yeux verts ne cessait de gémir et de bouger dans son sommeil.

_ Mais qu'est ce qu'ils lui ont fait? S'énerva Heero. C'est la première fois que je le vois dans ces conditions.
_ Ils l'ont violé, dit Wufei calmement

A ces mots, Heero se retourna d'un bloc vers le Chinois.

_ Quoi ?
_Quand je suis entré dans la base, j'ai vu Trowa entouré de quatre gardes. Ils sont entrés dans une pièce et en sont ressortit longtemps après, mais sans Trowa. Alors je suis rentré à mon tour et… je l'ai vu. Il était allongé, recroquevillé sur lui-même, nu et… il pleurait.
_ Il pleurait, murmura Heero qui n'arrivait pas y croire.

Un silence s'installa dans la sombre cellule, Wufei le rompit après quelques instants :

_Tu pleures.

Ce n'était pas une question. Stupéfait, Heero se tourna vers le Chinois et il sentit alors les rivières mouillées sur ses joues. Il y porta sa main et put constater, qu'en effet, il pleurait. Il resta un moment sans réagir, sans comprendre ce qui lui arrivait. C'était la première fois qu'il pleurait, la première fois depuis sa mise en condition de soldat parfait.

_Tu tiens beaucoup à lui, n'est-ce pas ? Lui demanda Wufei doucement.

Heero ne répondit pas et se contenta de regarder Trowa gémir dans son sommeil.

" Mais bon sang, se dit-il, qu'est-ce qui m'arrive? Je ne comprends pas. Pourquoi cette haine en moi ? Pourquoi cette inquiétude? Cette peur ? Je suis un soldat, un soldat parfait et je ne devrais rien ressentir. Alors pourquoi ? Est-ce Trowa lui-même qui me met dans cet état? Non, c'est impossible. Pourtant, je me suis inquiété pour lui. J'ai eut peur pour lui. Mais pourquoi ? "
Wufei comprenait très bien ce que pouvait ressentir Heero à ce moment là. Il le voyait à son visage: de l'incompréhension, de la peur. Il le saisissait très bien car il avait ressentit les même chose avec sa femme, maintenant morte. Il n'avait compris ses sentiments qu'une fois qu'elle fut morte et il en avait beaucoup souffert. Mais il pourrait éviter ça à Heero. Il s'approcha lentement de lui et se mit en face de son ami.

_ Heero, écoute-moi bien, je sais à quoi tu penses.

Le soldat parfait le regarda sans comprendre.

_Tu te poses des questions, n'est-ce pas ? Tu te demandes ce que tu ressens ? Tu ne comprends pas et tu as peur.
_ Mais......
_ Non, laisse moi finir. J'ai ressenti la même chose que toi. Je ne comprenais pas ce que j'avais, pourquoi je ressentais ça. Et, quand je l'ai enfin compris, il était trop tard.

Heero continuait à le regarder sans comprendre.

_ Heero, ce que tu ressens, c'est… de l'amour.

Le soldat parfait écarquilla les yeux sous l'effet de la surprise.

_ Mais qu'est-ce que tu racontes ? Je ne ressens pas d'amour...
_ Vraiment? Alors dis-moi, est-ce que tu n'es pas inquiet de voir Trowa comme ça ?
_ Je...
_ Est-ce que tu n'as pas peur pour lui?
_ ........
_ Est-ce que tu ne ressens pas de la haine pour ceux qui lui ont fait ça?

Heero avait baissé les yeux et semblait réfléchir.

_ Heero, tu es amoureux de Trowa. Il ne faut pas que tu en ais peur. Accepte-le. Cesse de réfléchir et laisse toi guider par tes sentiments.

Le soldat parfait gardait le silence.

" Serait-ce possible que je sois amoureux de lui ? Peut-être que Wufei a raison. Oui, peut-être que je suis amoureux de Trowa. Après tout, il est loin d être laid, au contraire. Il a de splendides yeux verts, comme des émeraudes, il a un visage magnifique et il est calme. Je me sens bien quand je suis près de lui. Il m'apaise."

Tout à ses réflexions, il ne se rendit pas compte qu'il souriait, cela amusa Wufei.

_ Alors ? Lui demanda-t-il sans perdre son sourire.

Heero se tourna vers lui.

_ Je... Je pense que... tu as raison.
_ Non, ne le pense pas, soit en sûr. Pour moi, ça ne fait aucun doute.

Heero baissa les yeux et, au bout d'un moment, il les releva et reprit d'une voix ferme:

_ Je suis amoureux de Trowa.

Rien qu'en disant ces mots, notre soldat fut soulagé. Malheureusement, ça ne dura pas longtemps car la porte de la cellule s'ouvrit et une dizaine de gardes entrèrent. Ils attachèrent les 3 pilotes au mur. Trowa fut réveillé par une gifle de l'un des gardes. Il jeta des regards apeurés autour de lui, ne sachant plus où il se trouvait. Puis son regard se posa sur Heero qui lui fit un sourire rassurant ce qui eut pour effet de le calmer. Treize ne tarda pas à faire son apparition. Il fit sortir des gardes, n'en gardant que 5 avec lui. Il avança jusqu'au milieu de la cellule. Les trois pilotes de gundam étaient alignés, les mains au-dessus de leur tête. Un sourire apparut sur les lèvres du colonel.

_ Alors comme ça, 05 est venu vous sauver, dit-il. Mes félicitations 05, ce fut une belle réussite!
_ Allez vous faire foutre! cracha Wufei.
_ Quel langage !!! Vous devriez apprendre les bonnes manières, petit.

Wufei était furieux. Cet homme avait le don de le faire sortir hors de ses gonds.

_ Je n'ai pas du tout apprécié votre tentative d'évasion, continua le général. Nous n'avions pas fini notre petit jeu. Mais bon, puisque vous êtes la, je vais pouvoir me divertir.

Il regarda les trois pilotes tour à tour avec un sourire sadique sur les lèvres, se demandant lequel il allait choisir. Son regard s'arrêta sur le plus grand des pilotes.

_ Il parait que tu as été très bien, lui dit-il, mes hommes ont beaucoup aimé. Ils m'ont d'ailleurs demandé de te remercier.
_ Ordure !! hurla Heero

Treize fit comme s'il ne l'avait pas entendu.

_ Vu qu'ils ont apprécié, nous allons continuer avec toi. Gardes !

Deux des gardes détachèrent Trowa et l'attachèrent en face de ses amis.

_ Qu'allez vous faire ? Demanda Heero, furieux, à Treize
_ M'amusez, fut la seule réponse qu'il obtint.

Treize fit un geste et un soldat lacéra le haut de Trowa, déjà tout déchiré, il tomba à terre, dévoilant le buste abîme. Le Français avait l'air terrorisé: il était aussi pale qu un mort et de violents tremblements le secouaient. Il jetait des regards désespérés a Heero qui sentit son cœur se serrer. Puis vint le premier coup. Un garde, tenant une ceinture du cuir à la main, le frappait furieusement et Trowa ne pu retenir ses hurlements.

_ Arrêtez!!! Hurla Heero qui ne pouvait regarder son ami se faire torturer. Arrêtez !!!!

Mais c'était peine perdue. Le garde continuait de battre Trowa avec un certain plaisir. Le torse de ce dernier était en sang. Au bout d'un moment, le garde stoppa et Trowa cessa de crier, pensant que c'était enfin fini. Mais il se trompait. Il sentit une chose visqueuse sur lui et ouvrit les yeux. Ce qu'il vit lui donna envie de vomir: deux gardes étaient en train de lécher ses plaies. Trowa n'avait même plus la force de se dégager et subit cette nouvelle torture en gémissant. Une fois que les gardes eurent lécher toutes les plaies, un autre s'avança et prit son menton dans sa main pour le forcer à relever la tête. Puis il s'empara de ses lèvres et l'embrassa férocement, lui mordant la langue. Cette fois, Trowa ne put empêcher ses larmes de s'écouler. Tout en continuant à l'embrasser, le garde descendit sa main et la glissa dans le pantalon du jeune homme. Il prit son sexe et commença son mouvement de va-et-vient. Trowa sanglotait, n'en pouvant plus. Le soldat rompit le baiser, lécha les larmes du Français, et descendit sur son torse. Il mordit violemment un téton, faisant hurler Trowa de douleur.
Heero et Wufei tentaient de se détacher mais les chaînes étaient solides et ils ne purent qu'assister à cette scène terrible, le dos coller aux murs froids, les poings cripés dans leurs étaux d'acier.
L'homme continuait toujours de s'acharner sur le brun, s'amusant à le faire crier.

_ Sil vous plait, se mit a geindre le jeune homme, arrêtez...je vous en pris...laissez-moi...

Mais le soldat n'écoutait pas. Trowa l'excitait beaucoup et il n'avait pas l'intention de le lâcher. Il reprit possession des lèvres du pilote et le força à ouvrir la bouche. Puis il descendit à son cou et le mordit. Trowa retint son cri, et cette fois, essaya de se dégager. Mais le soldat le frappa au visage, faisant éclater sa lèvre sous l'impact.
Le coup laissa Trowa dans l'inconscience pendant un moment, laissant le temps au soldat de lui enlever son pantalon. Il prit le sexe du garçon, le faisant couiner de douleur. Mais il ne resta pas longtemps ainsi.
Il préférait entendre les plaintes de son prisonnier. Il donna un dernier coup de langue et se redressa. Puis, avec l'aide d'un autre garde, il le retourna et reprit le fouet en main. Les coups qu'il donnait, étaient encore plus fort que les précédents et la pièce fut remplit des hurlements déchirants de la victime. Celui-ci avait mal, peur. Il n'en pouvait plus, son corps n'était plus qu'une poupée désarticulée sans force ni volonté.

_ Arrêtez, murmura-t-il, je vous en pris...

Trowa était un pilote de gundam et on lui avait apprit à supporter la douleur. Mais Trowa avait aussi été violé et tous ses souvenirs enfouis étaient remontés à la surface de son esprit, laissant un jeune homme terrorisé, apeuré. Un enfant. Un enfant de dix-sept ans. Il n'était plus le soldat surentraîné. Un enfant qu'on torturait. Alors, une image surgit dans son esprit, une image rassurante, amicale. Une image aimante; Heero... Heero pourrait l'aider.

_ Heero !!! Souffla-t-il, je t'en pris, aide-moi…

A l'appel presque inaudible de son nom, Heero avait sursauté. Trowa l'appelait. Trowa lui demandait son aide. Un moment, il fut heureux que ce soit lui que Trowa appelle mais c'était un appel au secours et il devait faire quelque chose.
Il tira alors de toutes ses forces sur ses chaînes, se faisant mal aux poignets, se déchirant même la peau. Mais, il réussi a dégager une de ses mains des anneaux métalliques qui le maintenaient prisonniers. Il tenta alors de dégager son autre poignet mais, à ce moment la, une main ferme lui maintint le bras au mur et l'immobilisa. C'était Treize.

_Tu cherches encore à t'évader, dit-il d'une voix doucereuse. Quand comprendras-tu que tu ne peux pas y arriver? Tu ne me laisse donc pas le choix.

Il fit un geste à un des gardes qui sortit de la cellule. Pendant ce temps, Treize avait commandé à un autre de rattacher le poignet de Heero. Le soldat revint en tenant une seringue à la main qu il donna à son général. Ce dernier s'approcha de Trowa.

_ Pour avoir tenter de t'évader, tu vas mourir 01 et tu vas emmener 05 avec toi. Mais réjouis-toi, tu vas mourir de la main de l'un de tes amis.


A suivre...



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