Ce vide qui me creuse
Pseudo: Florinoir!!
/Seifer/Squall/ Meeeeerdeeeeuh!!!
Genre: Angst, OOC, blablabla...
Source: Un beau gosse taciturne, des ceintures, un blouson, des monstres à la
con et des gunblades... Un jeu rempli de bishos!!
/Zell/ Finaaaaal Fantaaaasyyyyyyyyyyyy 8!!!
Disclamer: Y a quedal à moi, sauf le coup de déprime!! Sinon c'est
Squaresoft...
Notes: Alors, Je sais qu'ils devraient être a la BGU à cet âge
là mais bon, hein, j'ai pas fini le jeu!! Gomen pour les incohérances!!
- On va jouer!!
- OUAIIIIS!!
Les enfants se précipitèrent dehors, Selphie et Zell en tête.
La petite silhouette sortit alors de derrière la porte du salon et sortit
pour partir à l'opposé de la direction qu'avait prit les autres.
Il longeat les falaises, et arriva en vue de son coin, un renfoncement tout
juste suffisant pour une personne, creusé un peu plus bas dans la roche, à l'abri
des regards. Il était dangereux d'y accéder, car il fallait descendre
la paroie raide sur deux ou trois mètres, avant de se glisser en s'accrochant à la
pierre dans le creux et de poser ses pieds sur le léger tapis sablonneux.
le mince garçon accomplit machinalement l'accrobatie souplement et se
rencogna dans le trou, une jambe repliée dans ses bras et l'autre pendante
dans le vide.Il posa la tête sur le tissu du jean recouvrant son genoux
et fixa l'horizon de ses yeux gris sombre, ses cheveux châtains voletant
paresseusement devant.
Il était un peu à l'abri du vent ici. A l'abri du bruit, des
autres...Seul... Toujours seul... A quoi ça servait de se méler
aux autres, de toute façon? Ils finissaient toujours par vous abandonner,
sans explications.
Comme ses parents.
Comme Ellone...
Comme...
Le garçon se mordit la lèvre, comme pour brusquement couper le
cours de ses pensées. Il baissa lentement le regard vers le bas, où les
vagues se fracassaient sur les rochers tranchant pour former un tourbillon
d'écumes... Il suffirait... De mettre l'autre jambe à côté de
celle qui pendait... D'appuyer ses mains au fond de la cavité... d'exercer
une brusque poussée...
Squall secoua la tête et remonta ses deux jambes, ayant inconsciemment
commencé à exécuter ce que lui dictait sa pensée...
Il soupira et resta là, ne se préoccupant pas du soleil qui se
couchait, du vent et du froid qui se levait, faisant frissonner la peau nue
de ses bras. ce n'est que lorsqu'il entendu les appels venant vers lui qu'il
se décida à bouger, ne voulant surtout pas que l'on découvre
sa cachette! Il escalada rapidement la falaise, et retourna vers l'orphelinat.
Il y était presque quand:
- Alors, microbe, encore à te la jouer pour qu'on s'occupe du pauvre
associal de service?
Squall grimaça intèrieurement; Seifer. Merde, il avait fallu
qu'il tombe sur lui! Et qu'est ce qu'il foutait dehors, d'ailleurs?!
- On m'a obligé à partir à ta recherche, Leonheart, je
serais sûrement pas venu de mon plein grè! Rajouta le blond barraqué du
même ton railleur et méprisant, semblant lire dans les pensées
du châtain.
Le garçon ne prit pas la peine de lui répondre et lui passa devant,
sans même lui jeter un regard. Le regard bleu de Seifer étincela
de rage, et il saisit vivement Squall par le bras, l'envoyant à terre
devant lui.
- Tu réponds quand j'te parle!! pigé, demi-portion?!
Le châtain se releva et fixa le blond.
- Essaies un peu de refaire ça et je te tuerais!
Les deux garçons se tenaient face à face, tendus. Puis ils se
ruèrent l'un sur l'autre, s'échangeant des coup de pieds et de
poings. Squall se retrouva rapidement désavantagé par sa taille
et son poids. Il encaissait plus qu'il ne donnait. Son regard se posa alors
sur les bâtons que les petits utilisaient pour jouer aux chevaliers.
Se faisant encore une fois propulsé à terre, il en saisit un
et se releva, défiant le garçon blond. Seifer eut un sourire
carnassier. C'était là qu'il voulait en venir. Il en prit un à son
tour et le combat continua, les deux étant cette fois à égalité.Ils
effectuaient des attaques, des feintes, des parades à une vitesse hallucinante
malgrès leurs douze et treize ans. Mais Squall était légèrement
plus vif que son adversaire, il le destabilisa et reussi à le frapper
au ventre. Seifer se plia en deux et leva un regard d'une intensité haineuse
incroyable.
- Tu vas crever pour ça, Squall!
- Amènes toi Almassy!!
Ils reprirent l'affrontement, mais cette fois les coups étaient plus
forts.
Beaucoup plus puissants. ILs ne cherchaient plus à les retenir. Totalement
plongés dans l'action.
- SEIFER!! SQUALL!! ARRETEZ CA TOUT DE SUITE!!!
Une femme s'interposa entre les deux enfants qui détournèrent
leurs bâtons à la dernière seconde pour éviter de
la toucher.
- MAIS QU'EST CE QUI VOUS A PRIS?!!! RENTREZ TOUT DE SUITE!!
Le châtain reprit son expression renfermée et suivit la gouvernante
en laissant tomber le bout de bois. Le blond les regarda partir devant avant
de balancer râgeusement l'arme à terre et les suivre.
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Squall était enfermé dans la chambre qu'il partageait avec
Irvine. Privé de veillée. Pour ce que ça lui manquait...
Il soupira et se laissa tomber sur son lit, bras en croix, yeux fixés
au plafond. Et de nouveau toutes ses sombres pensées l'assaillirent.
Il se sentait si vide... Inexistant... Il avait l'impression de voir défiler
sa propre vie, en spectateur.
Il leva une main devant son visage la fixant jusqu'à ce qu'elle disparaisse,
lui montrant le plafond. Un fantôme. Une vague présence. Il se
dit que pour Irvine, cela devait être comme si il était seul dans
la chambre. Squall ne s'était pas étalé, gardant deux
tiroirs pour ses affaires, ne laissant rien traîner. Seuls les biens
d'Irvine jonchaient le sol de la pièce. Seuls les affiches d'Irvine
décoraient les murs.
Squall compara leurs deux lits.
Celui d'Irvine était défait, les draps en boule.
Le sien était impeccable, comme si personne n'y dormait.
Un fantôme. Une vague présence dont l'absence importerait peu.
Mais n'était-ce pas ce qu'il voulait? Ne pas s'attacher, et faire en
sorte qu'on ne s'attache pas à lui.
Que sa disparition ne trouble personne.
Qu'on oublie jusqu'à la trace de son existence.
Sur cette dernière pensée, le garçon s'endormit, d'un
sommeil sans rêves.
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- On va faire du cerf-volant!! Sautilla Selphie au bord de la table.
- Non, on va s'entraîner à devenir de vrais seeds!! Martela
Zell.
- Terminez votre déjeuner avant de songer à vos jeux de l'après-midi,
les réprimenda la gouvernante.
- Quistis, tu voudrais me montrer ce que tu sais faire avec ton fouet?
- Oui mais tu dois trouver ta propre arme!!
Le repas. Toujours joyeux, animé.
Tous babillaient, riaient. Pensaient à leur avenir.
Avenir tout tracé pour des orphelins comme eux.
Académie millitaire.
Ce que Seifer pouvait détester avoir un chemin tout tracé, décidé sans
qu'il puisse dire son mot.
Il planta râgeusement sa fourchette dans l'assiette.
Il savait qu'il avait de la chance de pouvoir espérer un avenir, mais...
C'était dans son caractère de ne pas accepter ce que d'autres
voulaient pour lui, c'est tout!!
On le trouvait, hautain, prétentieux, petit gosse de treize ans qui
se prenait pour un coq, qui faisait sa crise d'adolescence...
Ne pouvaient-ils pas comprendre qu'il voulait avoir le contrôle de sa
vie?! Que son orgueuil était la preuve qu'il existait, que sa hargne
lui faisait garder son intégrité, criait à la face du
monde "j'existe!! Je vis!! C'est moi!! Je suis important, je ne suis pas
un parmis les autres mais moi?!
Qu'il ne voulait pas d'aide, qu'il voulait se prouver sa force, son droit de
vivre, pas survivre et suivre le mouvement comme un mouton mais vivre ?!
Etait ce si mal de vouloir se démarquer? De vouloir laisser une trace?
Il était hargneux, méchant, dur... Seifer avait apprit à ses
dépends qu'on oublie pas ceux qui vous font du mal.
Pas quand on est fort.
Et malgrès ce qu'il disait, il savait que ceux de l'orphelinat étaient
forts.
Lui même gardait à jamais gravé dans son esprit les visages
de chacuns des soldats qui avaient détruit sa famille.
Depuis neuf ans, pas un seul jour ne passait sans qu'il se remémore
les cris, le sang, les larmes... Les visages des victimes. Des bourreaux.
Sa façon de se montrer fort.
Lui ne se laisserait jamais aller.
Il ne suivrait pas le rang sans être en accord avec lui-même.
Il ne se laisserait pas happer, il s'affirmerait!!
Il ne se laisserait pas dépérir!!
Seifer jeta un coup d'oeil discret vers le bout de la table.
Squall mangeait.
Mécaniquement.
En silence.
Effaçant sa présence.
Les prunelles azurs du blond s'assombrirent de râge. Son poing se crispa
sur la fourchette.
Non, il ne s'effacerait pas, n'abandonnerait pas!!
Et il ne laisserait certainement pas cet abruti le faire!!!
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Squall attendit que tout les autres partent vers la plage. Il y avait beaucoup
de vent et la gouvernante avait accepté que les enfants aillent faire
voler leurs cerfs-volants dans la petite crique protégée des
fortes rafales en bas du phare.
Il attendit que les cavalcades se soient éloignées et sortit à son
tour pour rejoindre son endroit.
Il ne vit pas Seifer le suivre.
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Le châtain ne se glissa pas dans son trou, cette fois. Il s'assit
au bord de la falaise et laissa son regard se perdre au loin.
Imaginant ce que ce serait de voguer parresseusement dans le ciel, n'ayant
aucunes conscience, se fichant éperdument de disparaître au moinde
souffle de vent.
Imaginant de faire un instant parti du ciel... avant de perdre tout souffle
de vie et laisser son sang se méler à l'écume de l'océan...
- Ce serait trop facile.
La voix avait claqué, sêche.
Autoritaire, sacarstique.
Seifer.
Squall se leva et se retourna.
Le blond avait deux bâtons dans les mains.
Ils se fixèrent un moment, une grande silhouette droite et fière,
un imperméable flottant autour d'elle et une plus petite, frèle,
face à face.
Même aura. Seulement, l'une brillait, éblouissait. L'autre ternissait,
prête à s'évanouir. Si on ne la ranimait pas très
vite.
Sans un mot, Seifer lança l'un des bâtons à Squall.
Ce dernier le rattrapa, reflexe involontaire.
Puis les deux garçons s'élancèrent, leurs armes s'entrechoquèrent.
Violence. Rivalité.
L'ainé frappait de toutes ses forces, furieux de ne pas sentir la combativité du
châtain, furieux de le voir subir, encaisser.
- Ne me dit pas que c'est tout ce que tu sais faire!!!
Squall se fit projeter en arrière, le souffle coupé par le coup
qu'il s'était prit dans le ventre. Il toussa reprit son souffle et se
releva, reprenant le bout de bois.
Mais il n'attaqua pas.
Seifer poussa un cri de frustration et se rua sur le plus jeune.
Le garçon châtain para, puis au bout d'un moment, sous la pluie
de coups, laissa tomber le bâton et subit la râge du blond.
- Bordel!! Réagit connard!!! Faible!! Lâche!! T'es un pauvre minable,
une crevure!!! Bats toi!! Relèves toi!! N'y a-t-il donc plus rien à faire
pour que tu VIVE??!!
Le blond s'arrêta, essouflé. L'autre était par terre, couvert
de bleus, le visage caché dans ses bras tuméfiés.
Ecoeuré, Seifer jeta l'arme et crâcha:
- Et dire que j'ai crû un moment que tu en valait la peine, Leonheart!!
Il s'était éloigné de quelques mètres quand il
entendit une faible voix:
- Vi...vre?
Il se retourna, le regard de glace, observant le châtain se relever difficilement.
- Rien...Ne peut me faire vivre...
Squall essuya le sang sur sa bouche et regarda Seifer. Le blond fut bouleversé par
ce qu'il vit dans les yeux du garçon. Vide, résignation, tristesse,
désespoir.
Mais il ne montra rien de son trouble et atttendit que le plus jeune s'exprime.
- Même nos combats ne me font plus ressentir... C'est comme si j'étais
mort...
En disant cela, le châtain recula lentement vers le bord de la falaise,
sans quitter des yeux son aîné.
- Mon âme est morte... Rien ne la ranime...Même pas toi...
Il était maintenant au bord du précipice. Et Seifer eut soudainement
peur.
- Leonheart, dis pas de conneries. Faut avoir de la volonté!! Tu respire,
donc tu peux exister!!
Le blond s'était rapproché du garçon. Le malaise grandit
dans ses entrailles quand il vit le châtain lui sourire.
Mais c'était un sourire désabusé, presque dément.
- Qu'est ce qui me ferait revivre, Seifer? Qu'est ce qui pourrait ne serait
ce qu'un instant me faire ressentir? Me sentir exister?!
Squall avait les talons dans le vide. Un coup de vent violent et il tomberait.
Un simple mouvement de recul et il dévalerait la falaise. Seifer se
força à rester calme.
- Squall, arrête ça et viens m'affronter!!! Je te ferais sentir
que tu vis, crois moi, tu vas te prendre encore une raclée!! A moins
que tu ais peur?!
- Je vais voler, je me sentirais entier... Puis je disparaîtrais en bas...
Emporté par la vie même... Je ferais véritablement parti
du néant... Mais avant ça...
- Tu le feras pas... Affirma Seifer d'une voix qu'il ne put empêcher
de trembler.
- Je n'en ais jamais valu la peine, Seifer... Finalement, vous aviez raison
de me laisser... Rien ne peux ranimer une coquille vide...
Et le garçon bascula en arrière.
Seifer hurla sans s'en rendre compte et se jeta sur la main du châtain...
...
La rata.
-SQUAAAAAAAAAAAAAAALL!!!
Le corps de son cadet plongea dans le vide, droit sur les flots déchaînes,
droit sur les récifs...
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Le blond se rua sur le petit sentier quasi impraticable menant jusqu'en
bas de la falaise.
Il refusait de penser qu'il était trop tard, il allait le sauver, il était
encore en vie!!!!
Il le fallait!!!
Il dévalait l'embryon de chemin, ne prenant pas garde aux rochers lui écorchant
les jambes et les mains, ne sentant pas ses yeux brûlant de larmes. Il
arriva en bas et se précipita dans l'eau, regardant fébrilement
autour de lui.
Puis il vit le frèle corps flotter au grés des flots.
Par une chance inouïe, le châtain avait évité les
récifs, étant tombé dans une sorte de piscine naturelle
entre les pierres meurtrières. Mais il était tombé de
haut.
Trop haut.
Il nagea jusqu'au plus jeune et le ramena sur la terre ferme. Il l'allongea
sur le dos.
Squall ne respirait pas.
Râgeur et paniqué, le blond commença un massage cardiaque.
- Imbécile!! Crétin!! Pauvre débile inconscient!!! Réveilles
toi!!
Pas de réactions. Le châtain était réellement mort.
- REVEILLES TOI!!!!
Au bord de la crise de nerfs, Seifer appuya encore plus son massage, lui insuffla
frénétiquement de l'air dans les poumons.
Sans changements.
- Tu ne PEUX pas mourrir!! T'as pas le droit de faire ça!! T'AS PAS
LE DROIT DE ME FAIRE CA!! PAS TOI!! Rageat-il, ne sentant pas les larmes couler
en abondances sur ses joues.
Mais le châtain ne bougeait toujours pas.
- SQUAAAAAL!!! Hurla le blond en tapant sur la poitrîne sans vie de son
cadet dans un geste désespéré.
Et Squall toussa, recrâcha l'eau de ses poumons en remuant faiblement.
Au bout d'un moment, il ouvrit les paupières et vit l'image flou de
Seifer, en larmes.
Seifer qui pleurait.
- ...Fer... Sei...fer...
Le blond n'osait en croire ses yeux. Et quand il revit les paupières
qui s'étaient refermées laisser réapparaître les
perles grises, il craqua complètement.
- IMBECILE!!! CONNARD!!! Mais qu'est ce qui t'as PRIS, MERDE!!!
N'en pouvant plus, il saisit le garçon dans ses bras, à lui faire
mal, à l'étouffer. Il se mit à hoqueter.
- Im...bé...cile... Taré...
Squall ressera de toutes ses faibles forces ses bras autour de Seifer. Seifer
qui pleurait pour lui.
- Seifer...
Il ne put plus parler et laissa lui aussi libre court à ses larmes.
Les deux garçons pleuraient, leur complicité d'antant brisée,
leurs douleurs secrètes, les plaies de leurs âmes, leur révolte...
Puis Squall, épuisé, s'évanouit.
Seifer le prit dans ses bras et le remonta.
Il trouva un endroit facilement repérable et à l'abri du vent
et y déposa précautionneusement le châtain.
Après un dernier regard et une caresse sur la joue du garçon
inconscient, il tourna les talons et rentra furtivement dans sa chambre afin
de se changer et effacer les traces de l'épisode de la falaise.
Plus tard, des cris lui apprirent que Squall avait été retrouvé.
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Squall se reveilla alors qu'une main apaisante lui caressait le front.
Il ouvrit les yeux et vit au dessus de lui le visage inquiet et soulagé de
la gouvernante. Derrière elle se tenaient Quistis, Zell, Irvine et
Selphie.
- Que...
- Tu es resté inconscient deux jours. On t'as retrouvé sur
la plage, trempé et couvert de bleus... Tu nous a fait une de ses
peurs!!!
- On a crû que t'étais mort!! Renchérit Zell, les larmes
aux yeux.
Squall était étonné. Ainsi, des gens pleuraient pour lui?
- SQUAAAAAL!!!
Le châtain fronça les sourcils.
Que..?
Prennant cela pour un signe de fatigue, la gouvernante dit:
- On va te laisser te reposer... Venez les enfants...
Tous sortirent de la chambre.
Squall se laissa aller. Tout était un peu flou dans sa tête...
Mais il était heureux de voir qu'on s'inquiétait un peu de son
sort...
Peut-être qu'il vivrait, finalement...
-N'y a-t-il donc plus rien à faire pour que tu VIVE??!!
Squall cligna des yeux.
Se pourrait-il que... Seifer lui ait sauvé la vie?
Se sentant sombrer à nouveau dans le sommeil, il ne put que penser à en
avoir le coeur net avant de se rendormir.
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- Seifer...
- Tiens, le miraculé est réveillé? Tout pour te faire
remarquer, Leonheart... Dommage qu'ils t'aient retrouvé avant que
tu crève... Je sais pas ce que t'as foutu mais ce qui est sûr
, c'est que c'était encore une connerie... Puis finalement, tant mieux
que tu soit encore en vie, j'pourrais continuer à te tabasser... Tu
veux quoi?
- Rien! Et pour me tabasser, faudrait déjà que tu réussise à me
toucher, pauvre con!
- Quand tu veux, morveux!!
Squall serra les poings et partit en claquant la porte. Comment avait-il pu
croire que ce connard léverait le petit doigt pour lui!! Ils se détestaient!!
Il avait besoin de faire un tour avant de tuer cet abruti!!
Seifer suivit des yeux la silhouette du châtain partir vers les falaises.
Il vit Zell venir vers lui et après un moment, les deux enfants partirent
ensembles.
Vers la plage retrouver les autres.
Le blond eut un sourire. Squall savait désormais qu'il n'était
pas seul.
Un voile de tristesse passa dans son regard azur avant qu'il prenne sa longue
veste et qu'il se dirige à son tour vers la petite crique.
Il avait son rôle à jouer.
OWARI... Ou à suivre, vous en pensez quoi?
/Flo/ Ma première fic Final Fantasy 8!! J'suis toute émute!!
/Seifer/ Merde!! Gundam Wing ne lui suffit plus!!
/Heero/ Kamisama, enfin libre!!!
/Flo/ Sûrement pas Hee-chan, je t'aime trop!!
/Heero/ On pouvait rêver...
/Squall/ Génial, tu commence fort, j'suis dépressif et c'est
l'autre andouille qui me sauve...
/Seifer/ Tu sais ce qu'il te dit l'autre andouille?!
/Squall/ On règle ça à la gunblade?!
/Seifer/ Ouais!!
/Flo/ Ben on est pas couché... Vous amochez pas trop, j'ai besoin de
bishos en bon état moi!!
/Heero/ Pour mieux les bousiller toi-même...
/Flo/ Mon bébé d'amûûûr!! Tu comprends tellement
vite!!!
/Heero/ La force de l'habitude...