La découverte d'une amazone
la décvouverte
Auteur: Usagi-mini
Salut, je m'appelle Kayura. Je vis sur une île nommée : l'île des 4 Dragons, je suis orpheline, mon orphelinat est pour fille uniquement et il enseigne le maniement des armes blanches, les arts martiaux, et les arts amazones. Moi mon domaine se sont les arts amazones, et j'aime assez aussi les armes blanches. Mes cheveux ont la couleur de la neige aux reflets d'argents et mes yeux sont rouge couleur de sang. Même si je pratique les arts martiaux et que j'y excelle, je n'aimes pas ça du tout, les arts amazones sont bien plus subtils, mystérieux et originaux. Je suis assez grande, dans les environs d'1m75-77, j'ai la peau marron-doré, et un gigantesque tatouage de dragon dans tout le dos. Quand on m'a découvert, j'étais dans un landau, je tenais un atamé et le tatouage était déjà là. Nous sommes 4 par chambres, celles qui vivent avec moi depuis 17 ans et des poussières sont mes amies, bien que j'aie un don pour me disputer absolument tous les jours avec l'une d'entre elles, cette fille se nomme Laralia, elle a les yeux et les cheveux orangent. Une autre s'appelle Blue, avant de mourir, ça mère l'avait appelée comme ça car ses yeux et ses cheveux étaient bleus océans. ET la dernière se nomme Blina, une belle blonde aux yeux bleus électriques. Dans deux semaines, il y a un tournois d'arts martiaux organisés par notre orphelinat, bien entendu j'y participe! Je suis la championne en titre de ces tournois qui ont lieu une fois par an depuis dix ans. Et je n'ais pas la moindre attention de perdre ce titre. De ma vie, je n'ai jamais porté à la ceinture cet atamé que l'on avait retrouvé à côté de moi. Et je ne sais pourquoi, mais aujourd'hui je l'y accrochais machinalement. Je parti devant le miroir pour m'attacher les cheveux et en levant la tête je restai bouche bée, à la place de mon reflet se tenait une jeune fille de mon âge et de mes traits mais avec les cheveux rouges et les yeux noirs. Par réflexe, je sorti mon atamé et me mis en position de combat. La jeune fille m'imita mais au lieu d'un atamé, elle tenait un sabre. Sur le coup de la surprise je laissai glisser l'atamé au sol, et mon reflet redevint aussitôt normal. Avec prudence, je ramassai mon arme, et la jeune fille avec un sourire narquois réapparut. Elle me dévisagea, puis parla :
_ Alors ? Tu ne me demandes qui je suis ?
Interloquée, mais poussée par la curiosité, je lui posai la question. Sa réponse me cloua sur place:
_ Ta partie la plus noire...
_ C'est impossible.
Comment cela pouvait-il l'être ? La jeune fille de l'autre côté du miroir me sourit. D'un sourire glacial et tueur. Plus je la regardais, plus j'avais envie de vomir… Je finis par jeté l'atamé par terre. On frappa à la porte. Je partit ouvrir, c'était Laralia. Je lui souris et fit mine de sortir, mais elle m'attrapas par le poignet :
_ Que ce passe t-il ?
_ Rien ….
Je me desserrais de son étreinte et partis. J'allais jusque dans la cour qui était en faite un immense terrain recouvert d'herbe haute, de fleurs sauvages, d'arbres et qui avait aussi son propre ruisseau. Je m'assis sur une grosse pierre sous un arbre qui rayonnait grâce aux rayon du soleil. Mes cheveux toujours lâchés virevoltaient au gré du vent, les oiseaux chantaient, et pourtant je me sentais mal. J'avais la nausée. Et d'ailleurs, je finis par vomir…du sang. Je reculais tétaniser et dégoûtée. J'était au bord de l'évanouissement. A croire que parler avec son reflet nuisait gravement à la santé. J'entendis quelqu'un arriver, mais j'était incapable de réagir. Je sentis que l'on me ceinturais quelques secondes avant mon évanouissement.
*************
J'ouvris paresseusement les yeux. J'était dans une salle toute blanche, les meubles, les tapis, les rideaux, les draps.. tout étaient absolument blanc. De quoi vous donner rapidement mal à la tête. La tête plus lourde qu'une enclume, je me levais. Quelqu'un entras. C'était la directrice de l'orphelinat. Elle m'adressa un sourire chaleureux et réprobateur dont elle as le secret. Puis me somma de me recoucher, ce que je ne fis pas. Après s'être assise sur le lit, elle entrepris de me faire des reproche :
_ Qu'est-ce qui tas pris de sortir en si mauvaise état ?? Avec 40° de fièvre et du sang dans l'estomac on fait comme tout le monde : on vas as l'hôpital !!
_ Heu…
Du sang dans l'estomac ? Quarante de fièvre ? Cet atamé me faisait décidément un sale effet !!Je pris un verre remplis d'eau à côté de moi et commença as le boire lentement. C'est ce moment que la directrice choisit pour m'annoncer une nouvelle étrange :
_ Ta sœur arriveras dans 10 minutes.
Je faillis m'étrangler avec l'eau. Je n'avais aucune famille, rien du tout, et là on m'annonçais tout à coup que j'avais une sœur, et qu'elle venait me chercher. La directrice n'attendis pas ma réponse : elle s'empressa de sortir. Je ne savais pas quoi faire, alors je restait bêtement debout près du lit, à attendre ma " sœur ". On finit par frapper à la porte. Je me raidit. Puis je sentit mon ventre gargouiller, comme si c'était le moment. Une jeune fille légèrement plus âgée que moi entra. Ses cheveux étaient noirs eben et ses yeux l'était encore plus. Elle me sourit, je ne lui rendit pas, puis en me rendant compte que je serrais les points si fort que j'en saignait et que je la regardais les dents serrés, je décidait de me détendre un peu. Enervée sans savoir pourquoi, je m'assis sur le lit, et lui parlas d'un air détacher :
_ Salut, tu est qui toi au juste ?
_ Je me nomme Phœnix, j'ai 19 ans et je suis venue te chercher petite sœur.
_ Phœnix ? Moi c'est Kayura, j'ai 17 ans, je ne te connais pas et je ne veux pas te connaître, au revoir.
Je ne compris pas moi même ma réaction, mais je lui jetais un regard haineux et sortis de la pièce. Elle ne me fit pas barrage. En la dépassant je senti un courant électrique me parcourir le corps. Mais la directrice, ne l'entendant pas de cette oreille me barra le chemin. Sans rien dire, elle me poussa vers ma prétendu sœur. Aussi absurde que cela puisse paraître, je n'avais pas la force de lutter, je compris rapidement que cette sensation électrisée y était pour quelque chose.
Originales