Douceur de la forêt
douceur de la foret
Auteur : Salmanda
Genre : morale, original
Présentation : ''salut salut... petite histoire de morale que je me suis tapé un dimanche après midi avant une épreuve d'écriture à l'école. fack... drole d'ambiance pour écrire. regardez ça ... ''
Dans sa cuisine, au devant d'une table ou était éparpiller bon nombre de cahiers et crayons. Une fille, pas encore assez mûre pour être qualifiée de jeune femme, mais pas assez jeune pour être qualifiée d'enfant.
Déjà quelques heures qu'elle travaille à son travail de mathématique, bien sur dérangée par son imagination trop fertile qui la déconcentrait mais également à cause de sa manie de fixée tout aussitôt qu'elle a perdu le fil. Mais tout compte fait c'est quelle était totalement désintéressée à ce fichu devoir. Elle décida de le continuer plus tard dans la soirée, et quel soulagement de voir ces pages blanches fermés.
Elle se détourna la tête, à l'intention de regarder sa petite maison de bois. La maison de son père, un bûcheron, a qui elle tenait tant. Cette maison qu'elle avait toujours connue comme telle, une cheminée, une table a manger, un sofa et une porte qui mène aux chambres. Rien de plus simple. En regardant sa petite maison, elle pensa à quelque discussion qui revenait souvent à l'école, sur le sujet qu'elle vivait dans les bois, mais à chaque fois elle dit la même chose
'' Dit-moi combien de fois avez-vous sorti, une nuit cristalline d'hiver, pour admirer les étoiles et s'allonger sur un lit de neige blanche ? Ou combien de fois t'es tu réveillé en sentant l'odeur d'une fraîche rosée sur les feuilles d'automne ? Moi au moins j'ai le plaisir de savourer pleinement ses moment en forêt ''.
D'accord elle répondait toujours cela, mais une partie d'elle-même, un recoin de son être, enviait totalement la vie des jeunes filles de la ville, qui ont des pères ingénieurs et qui ont tout ce bien matériel. Elle soupira longuement en brassant ses pensées dans sa tête, mais un doux bruit de chariot se fit entendre à l'avant de la maison. Son père, c'est son père qui revenait avec les chevaux. Et oui car à cette époque ou culture est encore la première ressource et que seul les ouvriers en usine habitait la ville, pour résumé c'était l'époque qui précédait l'exode rural des fermiers et cultivateurs. Mais beaucoup déjà était installé en ville. Juste à l'école, elle était la seule à vivre reculer de la civilisation, disons que 2 km a pied était bel et bien loin de la civilisation. Mais comme a chaque arrivé de son père, elle se précipita dehors.
- Bonjour papa, dit affectueusement la jeune fille.
- Allô Christine ! Répondit-il en descendant de la sorte de calèche. Tu as passé une belle journée ?
- Oui ! Répondit Christine.
C'est à ses courts moments, que Christine oublie tout de ses minimes soucis quotidiens. Elle est là avec son père. L'être le plus cher à ses yeux. Qui lui sourit, qui lui parle, qui l'écoute.
- Et bien ma chérie, on rentre ?
- D'accord.
Le dîner fut court mais agréable. Christine décida d'aller faire une petite marche dehors, alors que son père s'asseyait pour lire un bon roman. Elle sortie. Les derniers rayons de soleil éclairait encore la forêt. Et les petits grains de pollens juste illuminés comme il faut, brillaient dans cette lueur douce qui s'estompait petit a petit. Marchand a tête sans pensée. Elle trébucha alors sur une bizarre de racine. Elle enleva alors les feuilles mortes qui restait encore de l'automne et elle découvrit alors une jolie petite canne en métal très léger, qui était teinté verte émeraude. Christine la prit doucement et la contempla longuement. De cette canne en métal vert qui était, malgré sa dureté, sculpté au plus minime petits détails. Il y avait a ça base, un petit serpent enroulé montant le long de la canne. Mais en haut, était sculpté un énorme soleil doré, la seule chose doré de la canne, ce soleil servait en autre d'appui-main. Mais lorsque Christine mania la canne un peu plus, un énorme coup de vent se fit ressentir, la peur qui commença à envahir Christine lui fit échapper la canne qui se planta directement dans la terre sans verdure. Alors une grande lumière verte vint aveuglé Christine jusqu'à en faire tombée par terre.
Après peu, Christine retrouva faiblement la vue et put apercevoir une dame très grande, entièrement vêtu de mousse, feuille et branche. Avec un tremblement féroce jusqu'à l'épiderme de sa peau, Christine ne put que bégayé un faible ;
- Qui… Qui… est là ?
Voyant L'absence de réponse, Christine se leva retrouvant de plus en plus sa vue puisque l'intensité de lumière s'apaisait peu a peu pour laisser finalement qu'un faible lueur. S'efforcent de contenir son tremblement afin de répéter, avec une fausse assurance le Qui est là de tout a l'heure. Elle put avoir enfin une image nette de la personne en face d'elle. Une dame a la chevelure abondante et bouclé d'une couleur vert forêt, au yeux doux et au sourire chaleureux. Qui lui répondu enfin par un faible '' je me nomme Ectarine '' avec une voix douce s'approchant de la plus belle mélodie au monde. Christine contempla le visage souriant et ressenti la peur se dissipée faisant place à une chaleur intense qui coulait tout le long de son système sanguin. Christine prit la parole et commença par dire ;
- Qu'est ce que vous êtes ?
- Je suis une douceur de la forêt.
- Mais qu'est-ce qu'un douceur de la forêt ?
- Hi Hi… et bien c'est… comment dire… c'est des dames de la forêt tous simplement. Des esprits en charge de maintenir la douce et paisible vie d'une forêt.
- Ah bon… d'accord…
Après un court silence, Christine se retourna et partit. Mais quand elle se fut éloignée de quelques mètres. Ectarine lui dit d'une voix qui n'avait plus rien de doux. C'était plutôt une voix doucereuse et rauque. '' Fait gaffe a toi ''.
Curieuse, Christine se tourna pour apercevoir Ectarine. Une montée soudaine de frayeur fit son apparition en Christine en la vue de cette nouvelle dame plus du tout jolie. C'est yeux était devenu aussi noir qu'une terre brûlé, son sourire était maintenant sarcastique et il laissait apparaître d'énorme dents pourris. C'est cheveux n'était plus bouclé et lisse mais plutôt emmêlé et sale. Cette lueur verte qui en emmenait était maintenant rouge vif. L'affreuse personne pointa son horrible long doigt devant Christine et dit de sa voix désagréable ;
- Je suis ici pour maudire tes nuits, rendre insupportable tes jours et faire souffrir jusqu'à la plus petite molécule de ton corps.
- Mais pourquoi ? dit Christine affolée
- Car tu a envié quelque d'autre, alors que tu as tout pour être heureuse.
Mais la panique s'empara du centre neurologique de Christine et elle se précipita pour retirer la canne du sol. Ce qui fit immédiatement disparaître Ectarine dans un crie sourd et déchirant. Sans vraiment avoir réalisé ce qu'elle venait de voir et de faire elle lâcha la canne et parti en courant. Au fur et a mesure qu'elle avançait dans la forêt elle s'apercevait combien elle avait été profondément dans la forêt. Le souffle court, elle s'arrêta, désorientée. Elle fit quelques tours sur elle-même pour retrouver le sentiers de la maison. Et elle aperçue au ciel, une lune rouge et elle entendit un souffle de vent qui ressemblait étrangement a la voix rauque de Ectarine. Elle crie un grand coup et tomba inconsciente. Sa tignasse rousse étendu sur les feuilles parsemé de rosé et ses vêtements humides d'avoir trop été en contact avec le sol. C'est alors qu'un rayon de lumière vint doucement réveiller la jeune fille. Un peu surprise d'être étendu sur l'herbe au beau milieu de la forêt, elle se leva et prit un course jusqu'à la maison. Rentré dans la maison, elle vu son père étendu sur le sofa Et comme inquiète elle partit le réveiller.
- Bonjour chérie dit-il toute endormi
Christine soupira de soulagement et le serra fort dans ses bras. Depuis ce jour, elle n'a plus du tout envier qui que se soit.
FIN
Ps : c'est nul a chier je c L excuser moi :'(.. mais bon le vocabulaire était pas mal non ?
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