Inspiration
Auteur : Angel
Adresse E-mail : avec-caracteres@wanadoo.fr
Genre : originale
Chapitre 2 : Quand le pluie vous mouille alors que vous êtes sous un parapluie.
Le lendemain, Jonathan ecrivit une vingtaine de pages en une demi-heure.
Les idées se bousculaient avec violence dans son crâne et ne
demandaient qu’à êtres couchées sur papier. Pendant
toute la matiné, il ne pensa qu’a écrire. Ce qu’il
fit. En tout, il écivit une cinquantaine de feuilles manuscrites en
trois heures. Jamais ça ne lui était arrivé. Il exultait
en dansant de bonheur dans son coin cuisine tout en se préparant des
spaguettits pour le déjeuner. Une fois le repas fini et la vaiselle
lavée, il voulut écrire de nouveau, mais quelque chose l’en
empêcha. Une petite pharse lui revint en mémoire : « A
demain ! ». Et Janny ? Peut-être qu’il pourrait la remercier…Après
tout, c’était elle qui lui avait donné ses idées.
Il jeta un coup d’œil à sa montre : 13h30. il réfléchit
et regarda son manuscrit. Il avait bientôt fini son livre, de toutes
façons, alors pourquoi se priver d’une balade au parc ? Il se
leva, mit son manteau, empocha son carnet, et partit.
Il arriva alors que le temps se couvrait. De gros nuages noirs menaçaient
de crever à tout moment. « J’aurais dû prendre mon
parapluie. Pensa-t-il tout haut.
-Ce n’est pas grave, j’ai le mien. Il se retourna et sourit.
Janny se tenait debout derrière lui, un parapluie en main, elle lui
sourit en retour et s’approcha. Elle demanda : alors, ce livre, ça
avance ?
-Pas mal, je suis venu te remercier.
-Pourquoi ?
-Parce que j’ai eu plein d’idée, ce matin et j’ai
très bien avancé !
-Je n’y suis pas pour grand-chose, fit-elle en haussant une épaule.
-Ben si, puisque c’est toi qui m’a proposé des idées, ça
m’a inspiré.
-Non, non. Ça venait de vous, je vous assure !
-Peut-être, si tu le dis ! S’exclama-t-il en riant. Tu viens,
on va s’asseoir sur le banc d’hier ?
-Oui. Ils se dirigèrent lvers le petit banc, et s’assirent.
Elle demanda : alors, maintenant, ça raconte quoi, votre histoire
?
-Et bien, en fait, un jour, le premier mari de la femme-qui s’appelle
Anabelle, elle est française-avait été tué, et
le coupable courait toujours. Et, en fait, c’est le jeune policier-il
s’appelle marc, il est américain-, le coupable ! il souffre
de schizophrénie et il ne s’en souvient pas, mais le second
mari de la femme, qui lui était sur l’enquète avant que
les deux amants ne s’enfuient, le découvre et part à leur
poursuite pour arréter le policier, et sauver sa femme, même
s’il ne l’aime plus, car, en parallèle, il a une maîtresse.
Jonathan repris son souffle, car il avait tout dit d’une seule traite,
et il regarda la jeune fille qui souriait.
-C’est bien. Dit-elle. Son sourire s’élargit et elle ouvrit
les bras. Il va pleuvoir…Ajouta-t-elle en ouvrant son parapluie. En
effet, dès que l’instrument fut au-dessus de leurs têtes,
il se mit à pleuvoir violemment. Ils se levèrent et Jonathan
demanda :
-Je te paye une glace ?
-Non, merci. C’est gentil, mais je ne peux pas vous retenir, vous avez
encore des pages à écrire. Mais si vous voulez me faire plaisir,
prévenez-moi quand vous donnerez votre manuscrit à votre éditeurs,
je voudrais vous accompagner.
-D’accord, mais tu voudrais bien me raccompagner chez moi, déjà ?
Je n’aimerais pas être mouillé !
-Mais, vous ne prenez pas le bus ?
-Si, mais de l’arret où j’arrive jusqu'à chez moi,
il y a une sacrée trotte. Et puis, j’aimerais te parler un peu à propos
de livres et autres trucs.
-Je vais plutôt vous prétez mon parapluie.
-Mais tu vas être trempée !
-Ce n’est pas grave, j’habite à deux pas.
-Si tu n’habite pas loin, pourquoi es-tu venue avec un parapluie ?
Il rougit, car il se rendit compte que ce qu’il venait de dire était
ridicule. Mais elle se contenta de sourire et de s’exclamer en s’éloignant,
après lui avoir tendu le parapluie :
-C’est évident ! Parce que vous n’en aviez pas ! »Elle
partit en courant et il resta planté sous son parapluie. Puis il secoua
la tête et marmonna : « Vraiment bizarre, comme fille… »Puis
il pris la direction de chez lui.
En arrivant dans son studio, il accrocha le parapluie à une poignée
de porte et enleva son manteau. Soudain, il se rendit compte qu’il
avait les cheveux trempés, alors qu’il n’avait pas quitté le
dessous du parapluie depuis le début de la pluie.
A suivre...
Une note de fin de chapitre :
Ce chapitre était très court…Enfin bref. Donc voilà.
Et je n’ai rien à dire. Absolument rien. Et je ferais mieux
d’arrêter de taper pour rien. En plus, ça me fait mal
aux doigts, au bout d’un moment…Oh, tait-toi, Angel ! Donc, je
vous laisse et vous souhaite une bonne lecture !