Inspiration

 

Auteur : Angel
Adresse E-mail : avec-caracteres@wanadoo.fr
Genre : originale


Chapitre 1 : Quand Jonathan rencontre Janny.

 

 

Jonathan William faisait partie des écrivaits qui avaient souvent du mal à faire paraître un article valorisant à leurs sujets dans les journaux du matin. Cet Anglais vivant à Londre, de nos jours, n’avait pourtant pas de si mauvaises idées. Mais son style faisait peur à voir, ce qui faisait chuter l’idée dans les méandres des mauvais romans, qu’on pouvait malheuresement ramasser à la pelle. Pour son malheur, il n’avait pas non plus de chance dans la société. Il n’vait pas d’amis, et encore moins de petite amie. Pourtant il n’était pas laid. Mais pas beau non plus. D’une trentaine d’années, il était grand et efflanqué, un peu squelettique et froid, le visage mince et pâle, les cheveux roux flamboyant (il était d’origine Irlandaise) et courts sur la nuque avec une frange sur le devant, et une petite moustache ornait sa lèvre supérieure. Il avait le nez droit et plat sur le dessus, les sourcils quasi-inexsistants, le menton en avant et le front légèrement bombé. Mais ses yeux verts clairs, qu’il tenait de sa grand-mère, étaient ravissants. Il avait de grandes mains fines, comme celles des joueurs de piano. Il vivait dans un petit studio du Wandsworth, en vivotant plutôt qu’autre chose, du peu d’argent que lui rapportaient ses livres. Ce jour-là, le 10 mars 2004, sa vie devait changer.

Il était en manque d’inspiration deouis déjà trois jours. En ce moment, il écrivait une histoire d’amour, qiu se passait à Las Vegas, entre un jeune policier et la femme de son supérieur, de deux ans son ainée, et leur fuite à travers les état-unis pour fuir le mari jaloux. À chaque fois, il s’asseyait devant sa chaise, devissait son stylo, en posait la pointe sur sa feuille (il n’avait pas assez d’argent pour se payer un ordinateur)…Et restait immobile. Il cherchait un peu, puis se levait, allait à la fenêtre, dans le coin cuisine pour boire un verre d’eau, et autres détails de la vie de tous les jours qui l’empêchait de chercher sérieusement. Bref, il n’écrivait plus. Il décida d’aller se changer les idées à Hight Park, et emmena un petit carnet pour noter ses idées, si toutefois il en avait.
Une heure plus tard, il arrivait enfin. Il était 14h36 et il faisait beau, de légers nuages flottant dans le ciel. Jonathan se balada un peu, puis s’assit sur un petit banc, ouvrit son carnet et se mit à réfléchir de nouveau. Mais rien ne venait. Deux heures plur tard, il était encore là, à réfléchir. Cela commençait sérieusement à l’enerver… Il tapota sa page de carnet du bout de son stylo et regarda les alentours, avec rage.
« Je sais, c’est dur. » Fit une voix derriere lui. Il se retourna vivement et vit une jeune fille debout derrière lui, d’une quinzaine d’années environ. Elle souriait. Elle avait des cheveux noirs qui lui descendaient jusqu’aux épaules et des yeux de la même couleur, si foncés qu’on distinguait à peine ses pupilles. Elle portait un jean de toile claire et un t-shirt bleu ciel orné d’un cœur ailé et couronné rouge, avec l’inscrition «Queen’s love ». Elle portait aussi un blouson de jean de la même couleur que son pantalon. Il la toisa et demanda : « Qu’est-ce qui est dur ?
-De trouver l’inspiration.
-Et qu’est-ce que tu en sais ? Demanda l’homme exaspéré.
Elle ouvrit les bras et son sourire s’élargit.
-J’écris.
-Comment ça, « tu ecris » ?
-J’écris des histoires. Il haussa un sourcil.
-Tu as quel âge ?
-Quatorze ans.
-Et tu écris ? tu n’es pas un peu jeune ?
-Non. Du moment qu’on aime, il n’y a pas d’âge pour faire quelque chose. Jonathan haussa l’autre sourcil. Bizarre cette gamine. Il s’accouda au dossier du banc et demanda :
-Tu écris quoi ? Des dissertations à l’école ?
-Oui, comme tous les écoliers, mais, quand je rentre chez moi, je m’assoie devant mon ordinateur et j’écris mes histoires à moi. Elle fit le tour du banc et s’assit à côté de l’écrivain. Vous écrivez quoi, comme histoire ? Repris-t-elle en penchant le tête du côté gauche. Il hésita à se confier à cette fille. Il ne la conaissait pas, bon sang ! ! Mais quelque chose emmanait d’elle et l’invitait à parler. Il parla donc.
-L’histoire d’un policier à Las Vegas qui tombe amoureux de la femme de son patron, et elle en tombe amoureuse aussi. Alors, ils s’enfuient parce que le mari de la femme les as découverts et les poursuits. Dit-il à toute vitesse, comme s’il avait honte de son histoire. D’ailleurs, elle fit la grimace.
-Aouch. Ça craint !
-Ah bon. Fit-il, véxé.
-À la base, c’est pas trop mal, mais il faudrait enjoliver tout ça.
-Hein ? Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
-Ben, par exemple dit -elle en haussant les épaules, vous pouvez dire, qu’en fait, les deux amants sont les enfants cachés du patron, et s’il ne la jamais dit, c’est parce que c’est des enfants illégaux, ou alors, il est amoureux du policier et sa femme, s’était un mariage de raison, ou d’autre trucs du même genre. C’est le bizarre qui attire les gens, maintenant. ‘Faut pas croire ! Jonathan la fixa un moment puis lui demanda :
-Comment t’appelles-tu ?
-Janny.
-Janny Comment ?
-Janny tout court.
-Très bien, Janny Tout-Court, tu habites où ? Elle agita la main vers la ville et dit d’un air vague :
-Quelque part par là.
-Excuse-moi, j’ai dû paraître dangereux.
-Non, ça va.
-Où sont tes parents ? Elle fit le même geste et répéta la même phrase. Il fronça les sourcils. Vraiment bizarre. Il s’appuya contre le dossier du banc et demanda : tu viens souvent ici ?
-Oui. Tous les jours.
-Et l’école ? Elle haussa les épaules et ne répondit pas. Soudain elle se leva et lança :
-Courage, vous trouverez l’inspiration ! ! À demain ! ! » Elle partit en courant sur le sentier de graviers blancs et Jonathan la regarda partir avec étonnement. À demain ? Ils étaient censés se voir le lendemain ? Peut-être avait-elle pensé qu’il reviendrait et qu’elle le reverrait. Mais non. Demain, il allait écrire. Cette rencontre un peu etrange mais agréables au final le « mettait en idées » comme il disait lorsqu’il avait un peu d’inspiration qui lui venait. Il allait suivre les conseils de cette fille, Janny, et allait tarabiscoter un peu son histoire. Il rentra donc le cœur léger dans son petit studio, dina avec appetit son reste de bœufs de la veille et se coucha de bonne humeur, et cela lui fit grand plaisir, car il ne s’était pas couché de bonne humeur depuis plusieurs jours.

 

A suivre...

 

Note de fin de chapitre :
Ce n’est pas mon premier écrit original, mais c’est le premier que je publie ! Et oui, je n’exelle pas que dans le domaine de la Fanfic !…Je plaisante. L’idée de cette histoire met venu après avoir vu au cinema le film « Neverland », avec Jonnhy Deep (Ah, j’adore cet acteur…D’ailleur, je lui ai fait un petit hommage, en disant que Jonathan avait le visage mince et pâle, comme lui dans « Sleepy hollow » ! !). Vous l’avez vu ? Si non, courez le voir, c’était très bien, et ça vaut le détour ! donc, voilà…Oh là là ! ! Tout ce que j’ai à publier ! ! Mais comme Internet ne marche pas en ce moment, je suis privé de mes sites préférés et de la boîte à mails ! ! ! Bouh, c’est trop injuste (é_è) (T_T)! Enfin, bref, ressaissit-toi, Angel ! Tu dois ecrire le reste de tes ecrits ! Pour tes fans ! (Ben quoi, je peux toujours rêver, non ?) Allez, bonne lecture !